Plénitude de la vessie chez l'homme. Une sensation de vidange incomplète de la vessie et des symptômes qui l'accompagnent. Qu'est-ce que l'incontinence urinaire

Qu'est-ce que l'incontinence urinaire ?

L'incontinence urinaire est toute condition entraînant une perte involontaire d'urine. Cette définition nécessite une clarification de nombreux facteurs supplémentaires liés à la maladie dans chaque cas spécifique. Par exemple, les conditions dans lesquelles survient l'incontinence, le type d'incontinence (urgente (du latin urgens, gen. urgentis - urgent, urgent, de urgere - se précipiter), l'incontinence urinaire d'effort ou mixte), la fréquence des manifestations et la gravité des symptômes, l'impact de la maladie sur la qualité de vie d'une femme, le désir d'obtenir soins médicaux Et aspect social maladies. Dans tous les cas, l’incontinence urinaire est une pathologie qui nécessite la consultation d’un spécialiste.

Qu’est-ce que les mictions fréquentes ? Quelle est la norme ?

Le nombre de mictions n'est pas une valeur fixe et dépend de nombreux facteurs, tels que régime de consommation d'alcool, volume d'urine produite, capacité Vessie, etc. Dans des conditions d'eau standard (consommation de 1 à 2 litres de liquide), la quantité d'urine quotidienne est de 800 à 1 500 ml. En règle générale, le nombre de mictions au cours de la journée varie de 5 à 8.

Une fréquence accrue des mictions peut être associée à la formation d'une grande quantité d'urine - polyurie. Actuellement, la polyurie est considérée comme une affection dans laquelle le volume quotidien d'urine dépasse 2,8 litres. Si le patient considère que ses mictions sont fréquentes, mais que le volume d'urine produit pendant la journée reste normal (moins de 2,8 litres), alors cette condition est appelée pollakisurie, ou mictions fréquentes en jour.

La miction nocturne est-elle une pathologie ?

La formation d’urine la nuit dépend de nombreux facteurs. Auparavant, il était considéré comme pathologique d'interrompre le sommeil pour uriner plus de 2 fois par nuit. Or, cet indicateur a été à juste titre annulé. La nycturie est considérée comme la nécessité d'une seule miction la nuit avec interruption du sommeil. Si ce problème survient en raison de la formation de un grand nombre de urine (plus de 1/3 du volume quotidien), cette condition est appelée polyurie nocturne.

Quelles sont les causes des mictions douloureuses ?

Normalement, la miction ne s’accompagne pas de douleur. Chez les femmes miction douloureuse peut être causé par des maladies de la vessie, urètre ou le vagin.

La douleur dans la vessie est généralement ressentie dans la région pubienne. Elle peut augmenter lors de la miction ou, à l'inverse, diminuer lors de la vidange de la vessie. La douleur urétrale associée à la miction est ressentie par le patient directement dans l'urètre et s'intensifie généralement avec la miction. L'urine pénétrant dans l'ouverture vaginale peut provoquer des douleurs si elle est enflammée. L'inflammation de l'urètre a le plus souvent nature bactérienne et nécessite un examen et un traitement supplémentaires.

Urgence urinaire ou urgence ?

La définition moderne de l’envie impérative (du latin impe-rativus – impérative, motivante, obligatoire, involontaire, obsessionnelle.) d’uriner, ou autrement urgente, ressemble à « une envie soudaine, forte et difficile à contrôler d’uriner ». La définition utilisée suppose l'urgence comme une sensibilité anormale de la vessie, qui est à la fois épisodique et permanente. La principale différence entre une forte envie d'uriner et une envie urgente réside dans le fait qu'en cas d'urgence, le patient n'est pas en mesure de supprimer l'envie et de retarder la miction, ce qui conduit à la nécessité d'interrompre son activité (par exemple, travail ou voyage). aller aux toilettes.

Pourquoi l'incontinence urinaire « d'effort » ?

L'incontinence urinaire d'effort est une affection qui se traduit par une perte involontaire d'urine lors d'un effort physique, d'un effort, d'une toux ou d'un éternuement. Le mot « stressant » dans dans ce cas signifie stress physique. Cependant, de nombreuses personnes associent cette expression au stress psycho-émotionnel, ce qui entraîne confusion et malentendus. C’est pourquoi aujourd’hui, de nombreux experts remplacent à juste titre ce terme par un terme plus compréhensible, tel que « incontinence d’effort ».

Quelles sont les causes des difficultés à uriner ?

Certains patients se plaignent d'une sensation de difficulté à uriner, d'un jet d'urine lent. De tels symptômes peuvent survenir en cas de problème de contractilité de la vessie ou d’obstruction du col de la vessie ou de l’urètre. Dans le premier cas, la vessie n'est pas capable de développer la force nécessaire à la libre excrétion de l'urine - par exemple, si son innervation est altérée, conduisant à une acontractilité du détrusor. Dans un autre cas, la difficulté à uriner est causée par une obstruction au niveau du col de la vessie ou de l’urètre. chez la femme et l'hyperplasie prostatique chez l'homme sont les principales causes d'obstruction de l'orifice vésical.

Parfois, le jet d’urine peut être interrompu pendant la miction. Cette condition est appelée miction intermittente et peut être causée, par exemple, par la présence d'un calcul dans la vessie ou par une contraction involontaire du sphincter urétral chez les patients présentant une dyssynergie détrusor-sphincter.

Pourquoi le sentiment surgit-il vidange incomplète vessie après la miction ?

Cela peut être dû à la présence d'urine résiduelle dans la vessie, c'est-à-dire à une vidange incomplète de la vessie lors de la miction, ou à une inflammation de la vessie, qui entraîne une modification de sa sensibilité.

Douleur pelvienne chronique

Le syndrome de douleur pelvienne chronique est une douleur constante ou intermittente dans la région pelvienne, associée à des symptômes des parties inférieures. voies urinaires, des dysfonctionnements sexuels, des troubles intestinaux ou des maladies gynécologiques. En règle générale, pour poser un tel diagnostic, il est nécessaire d'exclure les maladies infectieuses. organes génito-urinaires Et tube digestif lors d'une étude complète.

Qu’est-ce que l’hyperactivité vésicale ?

Le terme « vessie hyperactive » est actuellement interprété comme un ensemble de symptômes comprenant l’urgence, les mictions fréquentes, l’incontinence par impériosité et la nycturie. La présence de symptômes individuels chez les patients, tels qu'une urgence urinaire, une pollakiurie ou une nycturie, peut être la manifestation d'une autre maladie qui n'est pas directement liée à la vessie, par exemple un calcul vésical avec lithiase urinaire. Le principal symptôme d’une vessie hyperactive est l’urgence, avec ou sans fuite urinaire involontaire, qui peut s’accompagner de mictions fréquentes et de nycturie. Dans le même temps, le symptôme d’une vessie hyperactive peut être associé à d’autres conditions pathologiques comme les infections des voies urinaires ou les masses vésicales.

Dysfonctionnement neurogène de la vessie

La cause du développement d'un dysfonctionnement neurogène de la vessie peut être diverses lésions du système nerveux : traumatismes, tumeurs, sclérose en plaques, opérations sur les organes pelviens, paralysie cérébrale, diabète etc. Parfois, un dysfonctionnement neurogène de la vessie survient sans raison apparente. Elle se manifeste sous deux formes principales : la vessie hypo-réflexe et la vessie hyper-réflexe. Avec une vessie hyporéflexive, la vessie déborde, mais il n'y a pas d'envie d'uriner. Si la vessie est fortement sollicitée, l'urine peut s'écouler constamment en gouttes. Avec une vessie hyperréflexe, la situation inverse est observée. Même une petite quantité d’urine pénétrant dans la vessie provoque la contraction de cette dernière. Dans ce cas, il existe une forte envie d’uriner et une incontinence urinaire peut survenir. Une personne urine très souvent par petites portions et se réveille avec envie au milieu de la nuit. Avec une vessie hyperréflexe, on observe souvent une incontinence urinaire, accompagnée d'impulsions impératives incontrôlables.

La cystite est-elle simplement une inflammation ?

La cystite est une inflammation de la paroi de la vessie ; l'un des plus courants maladies urologiques. En règle générale, la cause de la cystite est une infection.

La cystite non infectieuse survient lorsque la membrane muqueuse de la vessie est irritée, par exemple par excrétion dans l'urine. médicaments avec leur utilisation à long terme V fortes doses; pour les brûlures de la muqueuse, par exemple en cas d'injection d'une solution concentrée dans la vessie substance chimique, suite au lavage de la vessie avec une solution dont la température dépasse 45° (cystite brûlée) ; en cas de lésion de la muqueuse corps étranger, calcul urinaire, et aussi dans le processus examen endoscopique; à radiothérapie pour les tumeurs des organes génitaux féminins, du rectum, de la vessie (cystite radique). Dans la plupart des cas, une infection rejoint rapidement le processus inflammatoire initialement aseptique.

Des agents infectieux peuvent pénétrer dans la vessie chemin ascendant- à maladies inflammatoires urètre; chemin descendant- le plus souvent avec des lésions rénales tuberculeuses ; avec le flux sanguin - avec maladies infectieuses ou disponibilité foyer purulent dans d'autres parties du corps (amygdalite, pulpite, furonculose, etc.) ; par voie lymphogène - pour les maladies des organes génitaux (endométrite, salpingo-oophorite, paramétrite).

Il existe des cystites primaires, qui surviennent au début organe sain, et la cystite secondaire, en tant que complication d'une maladie préexistante de la vessie ou d'autres organes ; en fonction de la prévalence du processus - cystite focale et diffuse ; la cystite cervicale, dans laquelle elle est impliquée dans processus inflammatoire col de la vessie uniquement ; trigonite - inflammation de la membrane muqueuse du triangle de la vessie. La nature changements morphologiques Et cours clinique distinguer la cystite aiguë et chronique, ainsi que formulaire spécial cystite chronique- la cystite interstitielle.

La sensation de vessie pleine se produit si souvent dans les maladies des voies urinaires qu'elle devient un symptôme courant et est également courante chez les hommes et les femmes. La sensation de vessie pleine survient chez ceux qui souffrent de maladies des organes urinaires, mais cela se produit encore plus souvent en cas de pathologie de la vessie elle-même.

D'où vient le malaise ?

Le fait est que, pour une raison quelconque, la vessie n'est pas complètement vidée. Une sensation de vessie pleine se produit si une barrière est créée à l'écoulement du liquide (divers rétrécissements du canal, urétrite, tumeurs, leucoplasie, calculs, prostatite). Une cause tout aussi fréquente est le faible tonus de la vessie, lorsqu'elle ne peut pas se contracter complètement en raison de l'étirement de ses parois, en raison de la pathologie existante de l'innervation de la vessie elle-même et des organes pelviens à la suite de diverses lésions de la moelle épinière, hernies, nerfs pincés, vessie hyperactive, sclérose en plaques, diabète. La même image est causée déficience en fer, car la carence en fer augmente la faiblesse de la paroi musculaire de l'organe.

La raison peut être de fausses commandes du cerveau ; en fait, il n’y a pas de retard réel dans le contenu de la bulle. Des impulsions accrues proviennent parfois directement de la bulle si elle envoie de faux signaux au cerveau. Présence d'inflammation divers organes le bassin entraîne une irritation réflexe des parois de la vessie, ainsi qu'une sensation de vessie pleine (appendicite, entérocolite, salpingo-oophorite, etc.). Dans de tels cas, un étirement excessif des parois de la vessie peut provoquer douleur aiguë, sensation de plénitude au dessus du pubis.

Le contenu retenu de la vessie constitue un bon environnement pour le développement flore pathogène, ce qui provoque une inflammation et une sensation de plénitude dans l’organe. Normalement, un adulte en bonne santé peut retenir jusqu'à 300 ml d'urine dans son corps pendant plusieurs heures dans certaines circonstances.

La cause peut être un adénome de la prostate avec faux sièges de toilettes et sensations douloureuses à la miction, pyélonéphrite, fibromes, annexites, constipation fréquente. Si la vessie n’est pas complètement vidée, elle se remplit naturellement plus rapidement et l’envie impérative et incontrôlable réapparaît. Les sensations de plénitude vésicale surviennent chez les femmes enceintes, chez les personnes âgées, et enfin, suite à une augmentation de la quantité de thé, de café, d'alcool consommée, lors de la prise de diurétiques lors du traitement de pathologies du cœur, des reins, du foie ou de la consommation d'aliments salés. .

Symptômes de pathologie

Chez une personne en bonne santé, le nombre moyen de mictions par jour est d'environ 5 à 6 fois par jour, si la fréquence est augmentée, nous parlons de sur la pathologie. Lorsque la vessie n’est pas complètement vidée, la sensation de satiété persiste, ce qui provoque une gêne. Ce symptôme est généralement accompagné d'autres :

• sensations douloureuses pendant les mouvements actifs;
• si une personne souffre d'un DCI, il y a attaques graves douleur (coliques) ou douleur lombaire insupportable ;
• il y a une sensation de distension au-dessus du pubis ;
• la douleur après la miction provoque un étirement excessif des parois de la vessie;
• la présence d'infections ajoute une douleur intense et une sensation de brûlure ;
• le besoin de forcer en urinant;
• le jet devient intermittent, irrégulier, à la fin, et souvent après être allé aux toilettes, des douleurs apparaissent ;
• légère fièvre possible, frissons, malaises, incontinence urinaire partielle, nycturie.

Une vessie pleine crée des problèmes et de l'inconfort.

Mesures diagnostiques

La cystoscopie est une procédure douloureuse, réalisée sous anesthésie locale, mais permet un examen approfondi surface intérieure vesica urinaire. À étiologie inconnue L'IRM et la tomodensitométrie sont prescrites. Comme il existe de nombreux facteurs de survenue d’une pathologie de la vessie, plusieurs diagnostics sont à l’étude pour en déterminer avec précision la cause. Par conséquent, le diagnostic peut prendre plus d’une journée, mais cela est nécessaire pour faire un choix traitement optimal. Un diagnostic difficile est, par exemple, l'hyperactivité vésicale.

Principes de thérapie

Si la cause de la maladie n'est pas claire et qu'il n'existe pas de traitement approprié, les complications ne tarderont pas à venir.

Une vessie pleine provoque une stagnation de l'urine avant et après la miction - c'est une cause fréquente d'inconfort, notamment urine résiduelle Diverses bactéries se multiplient activement et le processus inflammatoire peut se propager à d'autres parties des voies urinaires - les uretères, l'urètre, atteignant même les reins - et provoquer une pyélonéphrite. Par conséquent, avec ce symptôme, il n’est pas nécessaire de perdre du temps et de se faire examiner attentivement.

S'il existe une étiologie bactérienne, par exemple une inflammation de la vessie chez la femme due à caractéristiques anatomiques structures, le traitement est effectué avec des antibiotiques. Les antispasmodiques détendent et aident à soulager la douleur lors des spasmes, tandis que les analgésiques éliminent les douleurs de nature non spasmodique. En présence de tumeurs, calculs, sténoses, ruptures vésicales, il est nécessaire traitement chirurgical, et divers types, le choix est assez large. Les petits calculs sont éliminés de manière conservatrice en les dissolvant avec des plantes médicinales ; en cas de problèmes avec d'autres organes, la maladie sous-jacente est traitée, par exemple, en cas de constipation, la cystite est secondaire et disparaîtra après.

Selon les statistiques, 17 % des femmes et 16 % des hommes souffrent d'une maladie de la vessie, mais seulement 4 % demandent l'aide d'un spécialiste. Beaucoup de gens ne réalisent tout simplement pas qu’ils ont des problèmes de santé. Alors, comment reconnaître la présence d’une maladie de la vessie ? Tout d’abord, il faut savoir ce que l’on entend par ce terme.

Que signifie l’hyperactivité vésicale (OAB) ?

La vessie est un organe entièrement constitué de tissu musculaire. Sa tâche est d'accumuler et d'éliminer l'urine par l'urètre. Il convient de noter que l'emplacement, la forme et la taille de l'organe changent en fonction de son remplissage. Où se trouve la vessie ? L'organe rempli a une forme ovoïde et est situé au-dessus de la connexion de transition entre les os du squelette (symphyse), à ​​côté de paroi abdominale, déplaçant le péritoine vers le haut. La vessie vide se trouve entièrement dans la cavité pelvienne.

GPM est syndrome clinique, dans lequel il existe une envie fréquente, inattendue et difficile à supprimer d'uriner (elles peuvent survenir aussi bien la nuit que le jour). Le mot « hyperactif » signifie que les muscles de la vessie travaillent (se contractent) de manière accrue avec une petite quantité d'urine. Cela provoque de fréquentes envies intolérables chez le patient. Ainsi, le patient développe la fausse impression d’avoir une vessie constamment pleine.

Développement de la maladie

L'activité excessive de la vessie est causée par une diminution du nombre de récepteurs M-cholinergiques. Leur nombre change sous l'influence de certaines raisons. En réponse à un manque de régulation nerveuse, les tissus musculaires lisses de l'organe se forment formations structurelles relations étroites entre cellules voisines. Le résultat de ce processus est une forte augmentation de la conductivité impulsion nerveuse dans la muqueuse musculaire de la vessie. Les cellules musculaires lisses ont une activité spontanée élevée et commencent à répondre à un stimulus mineur (une petite quantité d'urine). Leur contraction se propage rapidement à d’autres groupes de cellules de l’organe, provoquant le syndrome de l’hyperactivité vésicale (vessie hyperactive).

Facteurs d'apparition de sols contaminés par des gaz

1. Neurogène :

Maladies des systèmes nerveux central et périphérique (par exemple, maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer) ;

Accident vasculaire cérébral;

Sclérose en plaques;

Ostéochondrose ;

Diabète;

Blessures à la moelle épinière ;

Hernie de Schmorl ;

Conséquences du traitement chirurgical de la colonne vertébrale ;

Spondylarthrose de la colonne vertébrale ;

Intoxication;

Myéloméningocèle.

2. Non neurogène :

HBP ;

Âge;

Troubles anatomiques de la zone vésico-urétrale ;

Troubles sensoriels, principalement associés à un manque d'œstrogènes pendant la période postménopausique.

Formes de la maladie

En médecine, il existe deux formes de maladie GPM :

GPM idiopathique - la maladie est causée par une modification de l'activité contractile de la vessie, la cause des troubles n'est pas claire ;

Vessie neurogène - les troubles de la fonction contractile de l'organe sont caractéristiques des maladies du système nerveux.

Symptômes caractéristiques

Une vessie hyperactive se définit par les symptômes suivants :

Envie fréquente d’uriner, avec libération de petites quantités d’urine ;

Incapacité à retenir l'urine - une envie soudaine d'uriner si forte que le patient n'a pas le temps d'aller aux toilettes ;

Mictions répétées la nuit (une personne en bonne santé ne doit pas uriner la nuit) ;

L'incontinence urinaire est une fuite incontrôlable d'urine.

GPM chez les femmes

L'hyperactivité vésicale chez les femmes se développe le plus souvent pendant la grossesse et la vieillesse. Pendant la grossesse, le corps subit de grands changements et subit un stress important, associé à une augmentation de la taille de l'utérus. Des mictions fréquentes pendant cette période provoquent un inconfort considérable. femme enceinte, mais une femme ne devrait pas être gênée d’en parler à son médecin. Aujourd'hui, il existe un large choix de médicaments pour ce problème qui ne nuisent ni à la mère ni au bébé. Dans ce cas, l'automédication est strictement interdite. Votre médecin vous expliquera comment traiter votre vessie pendant la grossesse.

Chez les personnes âgées, le GPM survient avec le début de la ménopause. Cela est dû aux changements niveaux hormonaux les femmes, le manque de vitamines et de minéraux, l'apparence troubles nerveux pendant cette période, etc. Dans cette situation, une femme devrait également demander l'aide d'un médecin. À un traitement approprié symptômes douloureux les maladies disparaîtront au bout de quelques semaines.

GPM chez les hommes

Les maladies de la vessie sont également courantes chez les hommes. S'il n'y a pas de maladies du système nerveux, la cause la plus fréquente d'HPM est la pathologie de la prostate. Une hypertrophie de la prostate exerce une pression sur les parois de la vessie. Cette pathologie on le trouve souvent chez les hommes d’âge moyen et plus âgés. Si le GPM est une conséquence d'une maladie de la prostate, le traitement doit alors être complet. Les mictions fréquentes sont un problème tout à fait résoluble. Mais pour cela, dès l'apparition des premiers symptômes de la maladie, un homme doit consulter un spécialiste.

GPM chez les enfants

Les mictions fréquentes sont beaucoup plus fréquentes chez les enfants que chez les adultes. Cela est dû à la structure particulière de la vessie et fonctionnement actif reins à un âge précoce. Mais si un enfant de moins de 3 ans n'a pas appris à contrôler sa miction, il doit alors être montré à un médecin. Pour corriger la miction chez les enfants, il existe médicaments spéciaux, destiné aux jeunes patients.

Le plus souvent, une miction incontrôlée chez les enfants est une conséquence de la peur. Dans ce cas, le trouble sera traité en association avec une correction état psychologique enfant. Les parents ne devraient pas attribuer à l'âge les mictions fréquentes et incontrôlables chez un enfant. Si le trouble n'est pas traité, la maladie apportera beaucoup d'inconfort au bébé à l'avenir.

Diagnostique

1. Faire une anamnèse (le médecin enregistre les plaintes du patient).

2. Analyse des problèmes de santé existants (présence de maladies chroniques, interventions chirurgicales, etc.).

3. Prise de sang générale.

4. Analyse biochimique sang.

5. Analyse générale de l'urine.

6. Analyse d'urine selon Nechiporenko.

7. Analyse d'urine selon Zimnitsky.

8. Culture d'urine pour la microflore bactérienne et fongique.

9. Échographie de la vessie.

10. IRM (imagerie par résonance magnétique).

11. Cystourethroscopie.

12. Examen aux rayons X.

13. CUDI (étude urodynamique complexe).

14. Consultation avec un neurologue.

15. Examen neurologique pour identifier les maladies de la moelle épinière et du cerveau.

Vessie hyperactive : traitement

Les méthodes suivantes sont utilisées pour traiter le GPM :

1. Thérapie médicamenteuse(médicaments antimuscariniques ayant un effet régulateur sur la vessie, etc.). Traitement conservateur occupe une place de premier plan dans le traitement du GPM. Les patients se voient prescrire :

Bloqueurs M-anticholinergiques, bloqueurs adrénergiques qui réduisent les impulsions efférentes ;

Antidépresseurs (calmants système nerveux et ainsi améliorer le contrôle urinaire) ;

Substances toxiques (réduire la sensibilité terminaisons nerveuses vessie), par exemple, la butolotoxine est administrée par voie intravésicale ;

Médicaments à base d'hormones antidiurétiques (provoquent une diminution de la formation d'urine).

Les femmes souffrent souvent d’hyperactivité vésicale pendant la ménopause. Le traitement dans ce cas consiste à prendre des médicaments hormonaux.

2. Traitement non médicamenteux.

La thérapie comportementale consiste à développer une routine de miction et une correction du mode de vie. Pendant la période de traitement, le patient doit suivre une routine quotidienne, éviter les situations stressantes et effectuer quotidiennement randonnée sur air frais, surveillez votre alimentation. Il est interdit aux personnes souffrant de GPM de manger des aliments épicés, des boissons gazeuses et contenant de la caféine (thé, café, cola), du chocolat, des succédanés du sucre et de l'alcool.

De plus, pendant la période de thérapie comportementale, le patient doit vider la vessie selon un certain horaire (en fonction de la fréquence des mictions). Cette méthode permet d'entraîner les muscles de la vessie et de rétablir le contrôle de l'envie d'uriner.

La physiothérapie peut consister en une stimulation électrique, une électrophorèse, etc.

La thérapie par l'exercice est une variété d'exercices visant à renforcer les muscles pelviens.

Le traitement est basé sur le feedback connexion biologique. Le patient, à l'aide de dispositifs spéciaux (des capteurs spéciaux sont installés et insérés dans le corps de la vessie et du rectum ; les capteurs sont également connectés à un moniteur qui affiche le volume de la vessie et enregistre son activité contractile) observe à quel volume de liquide, la vessie se contracte. À ce stade, le patient doit, par des efforts volontaires, par la contraction des muscles pelviens, supprimer l'envie et restreindre le désir d'uriner.

3. Chirurgie utilisé uniquement dans cas sévères(dénervation de la vessie, chirurgie plastique intestinale pour détourner les urines vers l'intestin, stimulation du nerf sacré).

Complications du GPM

Une vessie hyperactive affecte la qualité de vie du patient. Le patient développe les troubles mentaux: dépression, troubles du sommeil, inquiétude constante. Une désadaptation sociale se produit également - une personne perd partiellement ou complètement la capacité de s'adapter aux conditions environnementales.

La prévention

1. Visite chez l'urologue à cet effet examen préventif une fois par an (livraison tests nécessaires, réalisation d'une échographie de la vessie si nécessaire, etc.).

2. Il n'est pas nécessaire de reporter une visite chez le médecin si des symptômes de problèmes urinaires apparaissent.

3. Il est important de faire attention à la fréquence des mictions, au développement de l'envie et à la qualité du jet en cas de maladies neurologiques.

Aussi avec objectif préventif Vous pouvez faire des exercices de Kegel pour renforcer les muscles de votre vessie.

1. Vous devez d’abord contracter vos muscles, car lorsque vous retenez la miction, comptez lentement jusqu’à trois et détendez-vous.

2. Ensuite, tendez et détendez les muscles - il est important d'essayer de le faire le plus rapidement possible.

3. Les femmes doivent pousser vers le bas (comme pendant l'accouchement ou la selle, mais pas aussi fort) ; pour les hommes de faire des efforts, comme lors du passage des selles ou de la miction.

Des mictions fréquentes ont un impact très négatif sur tous les domaines de la vie. Pour éviter le développement problèmes psychologiques, il est nécessaire de demander l'aide d'un spécialiste à temps.

Toute personne éprouve la sensation d’une vessie pleine plusieurs fois par jour. S'en débarasser, personne en bonne santé va juste aux toilettes.

Cependant, la miction ne conduit pas toujours au résultat souhaité - une sensation de satiété peut persister. Une telle violation est le signe d'un problème dans le système urinaire ou, plus rarement, le signe d'un dysfonctionnement d'autres systèmes.

La structure de la vessie est un réservoir où l'urine s'accumule, avec des sphincters verrouillables. Il existe deux sphincters, dont l'un est contrôlé consciemment. Ils sont situés à la jonction de la vessie et du canal urinaire – l'urètre.

Lorsque la vessie est pleine, ses parois s'étirent, une envie apparaît, mais l'un des sphincters retient l'urine aussi longtemps que la personne le souhaite. En urinant, il détend le sphincter, l'urine sort par l'urètre. Normalement, jusqu'à 20 ml d'urine peuvent rester dans la cavité.

Après la miction, une partie du liquide peut être retenue, provoquant une véritable sensation de satiété. Soit l'urine n'est pas excrétée, soit jusqu'à un litre de liquide peut s'accumuler dans une vessie pleine, soit la totalité n'est pas évacuée. La pathologie est considérée comme une accumulation de plus de 50 ml de liquide. L'urine ne peut pas être éliminée pour deux raisons :

• il existe une barrière mécanique à sa sortie ;
• les muscles impliqués dans le processus de miction sont affaiblis.

Caractéristiques de différents types de pathologie

Une véritable sensation de distension vésicale est plus fréquente chez les hommes.

Les tumeurs, calculs et anomalies anatomiques des voies urinaires peuvent agir comme des obstacles mécaniques.

On dit qu'une fausse sensation de satiété existe s'il n'y a pas d'urine dans la vessie, mais que l'envie persiste. Cette condition se produit en raison de signaux générés dans :

• cerveau ou moelle épinière;
• l'organe lui-même ;
• tissus environnants.

Le plus souvent, une fausse sensation de vidange incomplète est enregistrée chez les femmes présentant un dysfonctionnement vésical.

DANS dernières années Les médecins constatent une augmentation du nombre de patients atteints de cette pathologie, qui se produit sans modification de la composition qualitative de l'urine. Cela prouve que les pathologies neuroendocriniennes et les changements mentaux deviennent plus souvent source de dysurie.

Chez la femme enceinte, le fœtus en pleine croissance exerce une pression sur la vessie, provoquant une sensation désagréable de satiété, même avec peu d'urine.

Boire des boissons diurétiques, comme celles contenant de l’alcool, de la caféine ou de l’aspartame, provoque une fausse envie.

Toute sensation de satiété, si elle survient de manière constante, nécessite de contacter un urologue.

Causes de la sensation de vessie pleine

La sensation de vessie pleine après la miction peut survenir périodiquement ou être constante. Cela se produit en raison d'une pathologie ou de l'influence de facteurs physiologiques.

Le débordement de la vessie peut être causé par :

• boire beaucoup de liquides (plus de 2,2 litres par jour),
• prendre des substances qui stimulent le système urinaire.

Dans ces cas, l'inconfort n'indique pas une maladie ; il peut être éliminé en réduisant la quantité de liquide consommée ou en remplaçant les médicaments.

DANS groupe séparé Les raisons de la sensation de plénitude de la vessie se distinguent par des facteurs neuroendocriniens, iatrogènes (lésions de la moelle épinière dues à des opérations, des manipulations) et des troubles mentaux.

Une sensation constante de vessie pleine est possible avec des maladies des organes voisins - intestin grêle, appendice, ovaires.

Principaux facteurs

Pourquoi ma vessie ne se vide-t-elle pas complètement ? La rétention d'urine se produit si son écoulement est obstrué. Raisons possibles ce:

• Compression mécanique du canal urinaire :

1. intestins pleins avec constipation ;
2. utérus hypertrophié;
3. tumeurs, néoplasmes;
4. ganglions lymphatiques hypertrophiés;
5. hypertrophie de la prostate.

• Obstruction urétrale due à :

1. blocage par des calculs, un caillot de sang, du pus, des corps étrangers ;
2. sténoses urétrales;
3. néoplasmes.

• Faiblesse du détrusor.

Caractéristiques chez les hommes et les femmes

Chez un homme, la sensation de vessie pleine survient le plus souvent lorsque les voies urinaires sont obstruées en raison de pathologies de la prostate (adénome, prostatite). L'hyperplasie du lobe central de la prostate entraîne une compression de l'urètre. Il devient difficile d’uriner à travers le canal rétréci. Pour cette raison, la vessie commence à se remplir de l’urine restante.

Raison courante stagnation de l'urine - pathologie de l'urètre. Le rétrécissement de l'urètre (rétrécissement) est plus fréquent chez les hommes en raison de sa longue longueur. La sténose est causée par des lésions urétrales (le plus souvent), des maladies infectieuses (gonorrhée) et des brûlures chimiques lors de l'automédication.

Chez la femme, la sensation de satiété s'avère souvent fausse, ses sources :

• cystite;
• urétrite;
• calculs vésicaux;
• fibromes, endométriose.

La cause est des signaux irritants provenant de la vessie ou d’autres organes, le plus souvent lorsqu’ils sont enflammés. Les impulsions douloureuses chez la femme provoquent une contraction de la vessie, une augmentation de la pression intravésicale, ce qui provoque une sensation de plénitude. Des inflammations similaires peuvent survenir chez les hommes, mais chez les femmes, elles sont plus souvent enregistrées. L'urètre féminin est plus large et plus court, ce qui facilite la pénétration rapide des micro-organismes vers le haut. Les rapports sexuels provoquent le transfert de bactéries de la vulve vers les organes voisins.

Les organes urinaires et génitaux de la femme ont une localisation anatomique proche, un apport sanguin et une innervation communs. Cela crée les conditions préalables à l'implication mutuelle des organes urogénitaux dans processus pathologiques.

Les calculs peuvent également bloquer les voies urinaires, provoquant une accumulation de liquide. Le calcul ne peut fermer l'entrée de l'urètre qu'au moment de la miction, puis le processus s'arrête brusquement. Lors du changement de position du corps, le débit urinaire est restauré. De plus, les calculs endommagent la membrane muqueuse de la vessie, provoquant des impulsions douloureuses.

Le dysfonctionnement de la vessie associé à l'endométriose ou aux fibromes est causé par deux facteurs : la compression des tissus et Déséquilibre hormonal affectant l'appareil récepteur de l'organe.
Chez la femme, une sensation de vessie pleine sans douleur survient lorsque :

• règles,
• grossesse.

Sensation de vidange incomplète de la vessie et symptômes associés

Quelle que soit l'étiologie, une vessie trop remplie devient elle-même la cause du développement de maladies et de l'apparition de certains symptômes associés.

1. Avec un remplissage excessif prolongé de la vessie, la paroi musculaire s'étire, une atonie des muscles des organes et un étirement des sphincters se développent. La faiblesse des sphincters qui retiennent l’urine lui permet de sortir sous forme de gouttes ou de fuites séparées.
2. L'urine accumulée constitue un environnement propice au développement rapide de micro-organismes. Par conséquent, une stagnation constante de l'urine et une sensation de plénitude de la vessie s'accompagnent souvent d'une complication sous forme d'inflammation infectieuse.
3. L’un des signes d’une inflammation aiguë est la douleur. Par conséquent, la sensation de vidange incomplète chez la femme s'accompagne souvent de douleurs lors de la miction.
4. En essayant de se débarrasser de la sensation de vessie pleine, les hommes et les femmes vont souvent aux toilettes et font des efforts intenses et prolongés pour uriner. Ce travail accru du détrusor entraîne une hypertrophie, qui déforme l'uretère et interfère avec le mouvement de l'urine depuis les reins. Stagnation de l'urine dans la partie supérieure voies urinaires Lancements mécanismes pathologiques dans les reins.
5. L'urine concentrée dans la vessie et les reins constitue un environnement propice à la formation de calculs.

Conditions pathologiques associées

Certains symptômes ne sont pas associés à la plénitude de la vessie, mais accompagnent cette sensation chez la femme et l'homme :

• Syndrome douloureux en dehors de la miction. L'intensité et la localisation sont déterminées par l'organe dans lequel il se trouve foyer pathologique. Une douleur intense est typique de conditions aiguës, léger - pour une inflammation lente et un début lent du passage de l'urine.
• Troubles du processus de miction. Ils peuvent être une manifestation d'irritation :

1. mictions fréquentes et douloureuses;
2. pulsions impératives ;
3. envie accrue la nuit;

ou obstruction :

1. difficulté à uriner;
2. ruisseau aminci;
3. augmentation de la durée de la miction.

• Des envies soudaines et irrésistibles qui ne se limitent pas à la production d’urine.
• Incontinence urinaire. L'urine qui coule sans envie est due à la faiblesse des sphincters et des muscles du plancher pelvien. Une forte contraction du sphincter et du détrusor entraîne une envie aiguë, accompagnée d'une libération rapide et incontrôlée d'urine - la personne n'a pas le temps d'aller aux toilettes. Ce type de miction involontaire est observé avec la cystite, les néoplasmes et la lithiase urinaire.

La pratique montre que jusqu'à 70 % des femmes de plus de 40 ans perdent le contrôle de leur continence urinaire et que seulement 3 à 20 % expriment le désir de se faire soigner.

• La température corporelle atteint des niveaux subfébriles, qui ne sont plus élevés qu'en cas d'inflammation des reins.
• Les ballonnements de la vessie surviennent progressivement, voici pourquoi sensations douloureuses cela n'arrive pas toujours.
• Sang et écoulement dans les urines. Du sang frais dans les urines apparaît avec des tumeurs de l'urètre et de la vessie, des calculs ou une cystite hémorragique. Les flocons blancs dans l'urine sont des caillots de mucus qui apparaissent lorsque les organes du système urinaire deviennent enflammés. Écoulement jaune ou vert mauvaise odeur parler d’inflammation purulente. Les flocons bruns sont un signe de glomérulonéphrite.
• Troubles sexuels. Une augmentation des symptômes entraîne un affaiblissement du désir sexuel, une dysfonction érectile, une disparition des érections nocturnes et une diminution de la fréquence des rapports sexuels.

Si l’un de ces symptômes apparaît, vous devez consulter un médecin, malgré la sensibilité du problème. Même une combinaison de plusieurs symptômes ne permettra pas à l'urologue de poser un diagnostic précis - des recherches supplémentaires seront nécessaires.

Diagnostique

L'examen du patient vise à identifier la cause de la pathologie afin de prescrire le traitement approprié. Il est assez difficile d'établir la cause des violations. Après avoir examiné les antécédents médicaux en tenant compte des symptômes, le médecin pratique générale nommera examens généraux.

Les femmes peuvent être mentionnées examen complémentaire organes génitaux à un gynécologue, chez les hommes, ils sont examinés prostate. Prise de rendez-vous possible examen échographique, TDM avec produit de contraste (urographie) ou IRM. Méthodes informatives sont la cystoscopie et la cystographie.

Traitement

Si vous avez une sensation constante de vessie pleine, vous devriez aide professionnelle médecins Auto-traitement tourne autour conséquences désagréables: lésion de l'urètre lors de la tentative d'insertion d'un cathéter, infection, rupture possible de l'organe en l'absence de traitement.

Le traitement est effectué après diagnostic par un médecin diagnostic précis. DANS urgence Le patient reçoit un cathéter urétral pour éliminer le liquide. Selon le type de maladie, un traitement médicamenteux ou chirurgie. Pour les spasmes, des antispasmodiques sont prescrits, la douleur est soulagée par des analgésiques. La cystite et d'autres pathologies d'étiologie inflammatoire sont traitées avec des antibiotiques. Les tumeurs, sténoses et caillots sanguins sont éliminés rapidement.

L'adénome de la prostate est traité en fonction du stade de développement - de manière conservatrice ou chirurgicale. Les petits calculs sont dissous avec des médicaments dont le choix est déterminé par l'origine des formations ; les plus gros, en cas de difficulté d'écoulement de l'urine, sont retirés chirurgicalement. Le traitement des contractions neurogènes excessives des muscles et des sphincters est effectué avec des bloqueurs anticholinergiques. Lorsque les muscles s'affaiblissent, des exercices sont prescrits pour leur redonner tonus et alimentation.

La prévention

Si une gêne apparaît dans la vessie, cela est associé à de la douleur et à d'autres symptômes associés indique le développement d'une pathologie. Une visite opportune chez un urologue qualifié permettra d'établir un traitement correct et de prévenir d'éventuelles complications.

Pour la prévention, il est nécessaire de subir des examens de routine avec un thérapeute. Image saine la vie (marcher au grand air, nutrition adéquat, maintenir une bonne hygiène) permettra d’éviter de nombreuses maladies et favorisera la longévité.

L'un des symptômes courants des maladies système génito-urinaire est une sensation de vidange incomplète de la vessie. La médecine moderne sait comment se débarrasser d'un tel problème. L'essentiel est d'identifier la cause de cette maladie et de commencer un traitement compétent à temps.

Pourquoi cela arrive-t-il?

Les pathologies de l'appareil génito-urinaire se manifestent comme suit :

D'abord.

Après être allé aux toilettes, on a la sensation d'avoir la vessie pleine.

Deuxième.

Le patient éprouve encore et encore le besoin d'uriner. Ceci n’est pas pratique, surtout s’il n’est pas possible d’aller à la selle aussi souvent.

Troisième.

En urinant, d’autres symptômes de la maladie peuvent être ressentis, comme des brûlures et des picotements.

Dans la plupart des cas, cette affection est causée par la présence d’urine restant dans la cavité organique. Des obstacles empêchent son écoulement de se déplacer normalement.

Parfois, la raison pour laquelle la vessie ne se vide pas complètement est l'atonie, dans laquelle elle ne peut pas se contracter normalement. La tonicité de ses parois est fragilisée, et les muscles ne parviennent plus à le soutenir dans la position souhaitée.

Certains patients n'ont aucun obstacle à l'écoulement de l'urine, mais celle-ci n'est pas encore complètement éliminée du corps et la personne veut toujours aller aux toilettes. Cela peut indiquer la présence de signaux erronés reçus par le cerveau.

Cette condition est typique dans le cas du développement de certaines pathologies : annexite, appendicite, salpingoophorite etc. Stress prolongé, chocs et tension nerveuse peut également agir comme une cause psychologique.

Le problème ne peut pas être laissé au hasard. Après tout, une plénitude constante de la vessie détériore la qualité de vie et peut avoir des conséquences néfastes. conséquences sérieuses. L'urine qui reste dans l'organe est un bon terrain fertile pour les bactéries, qui peuvent déclencher un processus inflammatoire.

Symptômes associés et types de maladies

Pour poser un diagnostic précis, il est nécessaire d'évaluer les symptômes qui accompagnent les maladies.

Maladies de la prostate

Le patient se plaint de douleurs dans le bas-ventre et a des problèmes d’érection. Le jet d'urine est faible et intermittent, et du sang peut être libéré. Avec une tumeur maligne de la prostate, le patient perd du poids et développe de la fièvre.

Urétrite, cystite, pyélonéphrite

Souvent, une vidange incomplète de la vessie chez la femme peut indiquer le développement de et. Ces maladies s'accompagnent de brûlures, de picotements et de douleurs lors de la miction. Cela peut provoquer des maux de tête et une augmentation de la température. L'urine devient trouble. En cas d'inflammation des reins, des douleurs sont ressenties dans le bas du dos et l'abdomen.

Calculs vésicaux

Exprimée en colique néphrétique Et douleur sévère dans la région lombaire, le bas de l'abdomen. Ses signes incluent également des traces de sang dans les urines, des déplacements fréquents aux toilettes, dont le nombre augmente avec le mouvement.

Annexe

Ce maladie féminine, dans lequel la température corporelle augmente, une douleur est ressentie à l'aine et un écoulement peut être observé. La femme ressent une vidange insuffisante, elle est tourmentée par des frissons, une faiblesse et des troubles gastro-intestinaux.

Hypotension

Outre les troubles de la miction, le patient éprouve des problèmes au niveau du tractus gastro-intestinal, des tensions dans les muscles pelviens et des sensations douloureuses. Une personne ressent constamment la présence de liquide dans la vessie, l'acte de miction lui-même est lent et faible. Maladie chronique provoque une incontinence fécale et urinaire.

Rétrécissement de l'urètre

Le rétrécissement de l'urètre empêche le patient d'uriner correctement. Le débit urinaire est faible, accompagné d'une sensation constante de vessie pleine. Des douleurs apparaissent dans la région pelvienne et en allant aux toilettes, il y a du sang dans les urines.

Vessie hyperactive

Ce diagnostic est souvent posé en excluant d'autres maladies. Vidange incomplète vessie hyperactive se produit rarement. Cette maladie se caractérise urination fréquente, des envies urgentes et fortes. Dans certains cas, une incontinence urinaire survient.

Raison sensation désagréable D'autres pathologies peuvent également servir : diabète sucré, radiculite, lésions de la moelle épinière, sclérose en plaques. La sensation de vessie pleine peut être la conséquence de maladies graves, donc si vous ressentez ce symptôme vous devez contacter immédiatement un spécialiste.

Quel médecin dois-je contacter ?

Un urologue diagnostique et traite les maladies du système génito-urinaire. Une femme peut avoir besoin de faire examiner ses ovaires et son utérus. Ensuite, l'urologue orientera la patiente vers un gynécologue, qui effectuera un frottis vaginal pour exclure la présence d'une infection. Un urologue traite également les maladies des organes génitaux chez l'homme.

Il n’est pas nécessaire d’être gêné pour parler de votre problème à votre médecin. Description détaillée les symptômes l’aideront à diagnostiquer la maladie plus rapidement. Il vaut mieux choisir un spécialiste haute société, car la santé et même la vie sont en jeu.

Diagnostic et traitement

Après avoir fait une anamnèse, le médecin détermine par palpation les modifications de la taille de la vessie. Il prescrit généralement les études suivantes :

• Analyse sanguine générale ;
• Analyse générale d'urine ;
• Culture d'urine ;
• Échographie des organes génito-urinaires ;
• Cystoscopie ;
• Urographie de contraste.

Dans certains cas, un scanner ou une IRM peut être nécessaire. Ce n'est qu'après les résultats de l'examen que le médecin pourra diagnostiquer avec précision et prescrire un traitement visant à éliminer la cause profonde de la pathologie.

Pour éliminer les maladies infectieuses, une cure d'antibiotiques est prescrite et agents antibactériens, en présence de lithiase urinaire - médicaments pour éliminer les calculs. Si la maladie est caractère psychologique, le médecin prescrit généralement des sédatifs qui calment le système nerveux.

Quelques maladies gynécologiques, à cause desquels la vessie n'est pas complètement vidée, nécessitent l'utilisation de médicaments hormonaux. Dans certains cas, le patient peut se voir prescrire une intervention chirurgicale.

Malheureusement, même la délivrance complète de symptômes désagréables ne peut pas garantir qu'une personne ne sera pas gênée par des rechutes à l'avenir.