Le terme est plus souvent utilisé en relation avec les micro-organismes (émergence de mécanismes d'immunité aux antimicrobiens). médicaments, aux antibiotiques); ou des plantes (aux maladies).
En ce qui concerne les humains et les animaux, le terme immunité est plus souvent utilisé.
La résistance du corps n'est pas une valeur constante, mais dépend des conditions environnementales, s'affaiblissant en cas d'hypothermie sévère, de malnutrition, fatigue physique. Les mammifères qui hibernent présentent une grande résistance aux infections et aux toxines pendant l'hibernation ; oui, quand même Infection aiguë, comme une peste, prend une forme latente chez les gaufres et les marmottes en hibernation.
Microbiologie VV
Ce terme est souvent appelé résistance aux antibiotiques.
Résistance des micro-organismes - insensibilité totale ou partielle à antimicrobiens, notamment les antibiotiques, les fluoroquinolones, etc. Cela peut être obtenu grâce à la biosynthèse par le micro-organisme d'enzymes qui inactivent le médicament, ou en modifiant la structure des composés attaqués par l'antibiotique, dans lesquels le micro-organisme pourrait continuer à vivre en présence du médicament antimicrobien.
Un exemple de la première méthode est la synthèse par des bactéries de bêta-lactamases, qui dégradent les antibiotiques de la famille des pénicillines et d'autres antibiotiques bêta-lactamines.
La deuxième méthode consiste à se protéger contre les médicaments résistants à la méthicilline. Staphylococcus aureus, l'infection nosocomiale la plus dangereuse. Chez ce staphylocoque, la structure de la protéine PBP2a, à laquelle se lient les antibiotiques, change série de pénicilline. Les staphylocoques dont la structure protéique est altérée deviennent résistants aux β-lactamines, c'est-à-dire résistant aux antibiotiques bêta-lactamines.
La résistance est étroitement liée à la réactivité de l’organisme, représentant l’une de ses principales conséquences et expressions. Il existe des résistances non spécifiques et spécifiques. La résistance non spécifique désigne la capacité de l’organisme à résister aux effets de facteurs de nature diverse. Une résistance spécifique caractérise haut degré la résistance du corps aux effets de certains facteurs ou de leurs groupes proches.
La résistance d'un organisme peut être déterminée par des propriétés relativement stables divers organes, tissus et systèmes physiologiques, y compris pas associé à des réactions actives à cet impact. Ceux-ci incluent, par exemple, la barrière caractéristiques physico-chimiques peau, empêchant la pénétration de micro-organismes à travers elle.
Tissu sous-cutané a des propriétés d'isolation thermique élevées, le tissu osseux est très résistant aux contraintes mécaniques, etc. De tels mécanismes de résistance incluent également des propriétés telles que l'absence de récepteurs ayant une affinité pour un agent pathogène (par exemple, une toxine) ou le sous-développement des mécanismes nécessaires à la mise en œuvre du processus pathologique correspondant (par exemple, des réactions allergiques).
Dans d'autres cas de formation de R.o. réactions protectrices-adaptatives actives visant à maintenir l'homéostasie dans des conditions potentiellement effets nuisibles facteurs environnementaux ou changements défavorables dans environnement interne corps. L'efficacité de telles réactions et, par conséquent, le degré de résistance à divers facteurs dépend des facteurs congénitaux et acquis caractéristiques individuelles corps.
Ainsi, certains individus ont une résistance élevée (ou, au contraire, faible) à divers maladies infectieuses, refroidissement, surchauffe, exposition à certains substances chimiques, poisons, toxines.
Des fluctuations importantes de la résistance individuelle peuvent être associées aux caractéristiques de la réactivité du corps lors de son interaction avec un agent dommageable. La résistance peut diminuer en cas de manque, d'excès ou d'insuffisance qualitative de facteurs biologiquement significatifs (nutrition, activité motrice, activité de travail, charge d'information et situations stressantes, intoxications diverses, facteurs environnementaux et etc.). L'organisme a la plus grande résistance dans des conditions d'existence biologiques et sociales optimales.
La résistance change au cours de l'ontogenèse et sa dynamique d'âge par rapport à diverses influences n'est pas la même, mais en général, elle s'avère être la plus élevée dans âge mûr et diminue à mesure que le corps vieillit. Certaines caractéristiques de la résistance sont associées au sexe.
Une augmentation significative de la résistance non spécifique et spécifique peut être obtenue grâce à l'adaptation à diverses influences : activité physique, froid, hypoxie, facteurs psychogènes, etc. Dans le même temps, l'adaptation et la résistance élevée à toute influence peuvent s'accompagner d'une augmentation de la résistance à d'autres facteurs. Parfois, des relations opposées peuvent survenir, lorsqu'une augmentation de la résistance à une catégorie d'influences s'accompagne d'une diminution de celle-ci envers d'autres.
Une place particulière est occupée par la mobilisation très spécifique des propriétés protectrices et adaptatives de l'organisme lorsqu'il est exposé à système immunitaire. De manière générale, la mise en œuvre des mécanismes R.o. est assuré, en règle générale, non pas par un organe ou un système en particulier, mais par l'interaction d'un complexe de divers organes et systèmes physiologiques, y compris tous les maillons des processus de régulation.
État et caractéristiques du R. o. peut-être dans dans une certaine mesure déterminé par la méthode tests fonctionnels et charges utilisées notamment dans la sélection professionnelle et la pratique médicale.
(Sirotinin I.N. Evolution de la résistance et de la réactivité de l'organisme)
Chaque jour, chaque personne est confrontée à de nombreuses particules agressives provenant du monde qui l'entoure. Tous, dans certaines circonstances, peuvent provoquer le développement de diverses conditions pathologiques, y compris ceux qui portent menace sérieuse vie et santé. Cependant, notre corps dispose de certains mécanismes qui l’aident à prévenir l’attaque de ces virus, bactéries et champignons agressifs. Parlons de ce dont dépend la résistance du corps aux maladies et découvrons quels moyens existent pour augmenter la résistance du corps humain aux maladies.
La résistance naturelle du corps a son propre nom : l'immunité. Il se forme progressivement dans notre corps, peu de temps après la naissance, et sous l'influence de certains facteurs, il peut diminuer. L'enfant reçoit une immunité passive naturelle alors qu'il est encore dans l'utérus, puis avec lait maternel. Au fil du temps, le corps commence à se former immunité active, rencontrant divers virus, bactéries et autres particules agressives tout au long de la vie.
Pour l'activité forces de protection Le corps est responsable de plusieurs organes ; en général, ces parties du système immunitaire sont représentées par la rate, thymus, et ganglions lymphatiques. De plus, de nombreuses cellules immunitaires – phagocytes et lymphocytes – circulent dans le sang de chaque personne.
La capacité du système immunitaire à résister aux attaques de particules agressives dépend de nombreux facteurs, notamment les gènes, les habitudes quotidiennes et la nutrition. De plus, dans la plupart des cas, l’état d’immunodéficience (diminution des résistances corporelles) est encore insuffisamment expliqué. dans le bon sens vie. De plus, une diminution naturelle des forces de protection se produit avec l'âge, sous l'influence du stress et dans le contexte d'une consommation prolongée. médicaments antibiotiques, ainsi qu'en raison de l'influence agressive de facteurs environnement( , nourriture de qualité insuffisante, émissions industrielles, mauvaise eau etc.).
Comment augmenter la résistance naturelle du corps ?
La première et la plus importante étape pour améliorer l’immunité consiste à se débarrasser de divers mauvaises habitudes. Non seulement la nicotine et l'alcool sont interdits, mais aussi mauvaise alimentation, mode de vie sédentaire la vie, le surmenage systématique, ainsi que des situations stressantes.
Il est extrêmement important de suivre une routine quotidienne, d’avoir une alimentation équilibrée, de pratiquer une activité physique modérée et de se promener systématiquement. air frais.
Si vous essayez d'améliorer votre immunité, il est préférable d'éviter un stress physique et mental excessif, de trouver du temps pour bon repos, ainsi que pour le durcissement.
Il est extrêmement important de manger systématiquement autant de fruits et de légumes que possible ; un yaourt de haute qualité, qui contient des lactobacilles vivants, constitue également une excellente option nutritionnelle. Pour améliorer l'immunité intestinale, il est possible de prendre des gélules de lactobacilles, par exemple issues de la préparation « Yaourt ».
Médicaments
Les médicaments destinés à renforcer l’immunité peuvent désormais être achetés librement et sans ordonnance dans n’importe quelle pharmacie. Cependant, tout médecins qualifiés mettre en garde contre leur utilisation excessive. Après tout, l’efficacité de ces médicaments n’est pas considérée comme prouvée, vous ne devriez donc pas vous contenter de les utiliser.
La seule exception concerne les médicaments origine naturelle, par exemple, teinture d'échinacée ou adaptogènes : teinture d'éleuthérocoque ou de ginseng. De tels produits sont sûrs et, avec une consommation appropriée et modérée, ils peuvent réellement stimuler l'activité du système immunitaire. Ils sont généralement prescrits goutte à goutte. Ainsi, la teinture d'échinacée doit être prise cinq à quinze gouttes trois fois par jour, et la teinture d'éleuthérocoque doit être prise vingt à quarante gouttes trois fois par jour. La durée du traitement est d'un mois.
La médecine traditionnelle
De telles compositions ont réellement un effet positif sur l'activité des défenses de l'organisme. Ils contiennent généralement une quantité énorme substances utiles, représentés par des vitamines, des minéraux, des phytoncides, etc. Ces recettes sont souvent à base d'oignons et d'ail, de miel et d'autres produits apicoles, ainsi que de divers plantes médicinales Avec propriétés uniques.
Ainsi, pour préparer l'un des médicaments destinés à augmenter la résistance du corps, vous devez presser une demi-gousse d'ail, infuser cette masse avec un verre de lait bouillant, couvrir avec un couvercle et laisser reposer quelques minutes. Prenez ce mélange en y dissolvant une cuillère à soupe de miel, une fois par jour pendant un mois.
Préparez quelques cuillères à soupe de feuilles hachées noyer un demi-litre d'eau juste bouillie. Infusez ce médicament dans un thermos pendant huit à dix heures, puis filtrez. Prenez le mélange obtenu chaque jour, un quart de verre.
Prendre une boisson à base d'aiguilles de pin a également un excellent effet immunostimulant. Pour le préparer, rincez quelques cuillères à soupe d'aiguilles de pin avec de l'eau bouillante dans une passoire. Ensuite, infusez cette matière première avec un verre d'eau juste bouillie et faites bouillir pendant vingt minutes. Mettez le récipient de côté pendant encore une demi-heure, puis filtrez. Prenez ce remède à raison d'un verre chaque jour. Il peut également être sucré avec du miel ou du sucre.
S'il y a une diminution importante de la résistance du corps, vous devriez demander l'aide d'un médecin. Après tout, l’immunodéficience peut être le symptôme de nombreuses maladies nécessitant un traitement approprié.
Résistance du corps(lat. resistentia résistance, contre-action ; synonyme résistance) - la résistance du corps aux effets de divers facteurs dommageables.
La résistance est étroitement liée à réactivité du corps , représentant l’une de ses principales conséquences et expressions. Il existe des résistances non spécifiques et spécifiques. La résistance non spécifique désigne la capacité de l’organisme à résister aux effets de facteurs de nature diverse. La résistance spécifique caractérise un degré élevé de résistance de l'organisme aux effets de certains facteurs ou de leurs groupes proches.
La résistance du corps peut être déterminée par les propriétés relativement stables de divers organes, tissus et systèmes physiologiques, incl. pas associé à des réactions actives à cet impact. Il s’agit par exemple des propriétés physico-chimiques barrières de la peau, qui empêchent la pénétration des micro-organismes à travers celle-ci. Le tissu sous-cutané a des propriétés d'isolation thermique élevées, le tissu osseux est très résistant aux contraintes mécaniques, etc. De tels mécanismes de résistance incluent également des propriétés telles que l'absence de récepteurs ayant une affinité pour un agent pathogène (par exemple, une toxine) ou le sous-développement des mécanismes nécessaires à la mise en œuvre du processus pathologique correspondant (par exemple, des réactions allergiques).
Dans d'autres cas de formation de R. o. Les réactions protectrices-adaptatives actives visant à maintenir l'homéostasie sous des influences potentiellement nocives de facteurs environnementaux ou de changements défavorables dans l'environnement interne du corps sont d'une importance décisive.
L'efficacité de telles réactions et, par conséquent, le degré de résistance à divers facteurs dépendent des caractéristiques individuelles congénitales et acquises de l'organisme. Ainsi, certains individus tout au long de leur vie ont une résistance élevée (ou, au contraire, faible) à diverses maladies infectieuses, au refroidissement, à la surchauffe et aux effets de certains produits chimiques, poisons et toxines.Des fluctuations importantes de la résistance individuelle peuvent être associées aux caractéristiques de la réactivité du corps lors de son interaction avec un agent dommageable. La résistance peut diminuer avec un déficit, un excès ou une insuffisance qualitative de facteurs biologiquement significatifs (alimentation, activité physique, activité professionnelle, charge d'information et situations stressantes, intoxications diverses, facteurs environnementaux, etc.). L'organisme a la plus grande résistance dans des conditions d'existence biologiques et sociales optimales.
La résistance change au cours de l'ontogenèse et sa dynamique liée à l'âge par rapport à diverses influences n'est pas la même, mais en général, elle s'avère être la plus élevée à l'âge adulte et diminue à mesure que le corps vieillit. Certaines caractéristiques de la résistance sont associées au sexe.
Une augmentation significative de la résistance tant non spécifique que spécifique peut être obtenue grâce à l'adaptation à diverses influences : stress physique, froid, hypoxie, facteurs psychogènes, etc. De plus, l'adaptation et une résistance élevée à toute influence peuvent s'accompagner d'une augmentation de la résistance à d'autres facteurs. . Parfois, des relations opposées peuvent survenir, lorsqu'une augmentation de la résistance à une catégorie d'influences s'accompagne d'une diminution de celle-ci envers d'autres.
Une place particulière est occupée par la mobilisation très spécifique des propriétés protectrices et adaptatives de l'organisme lorsqu'elle influence le système immunitaire. De manière générale, la mise en œuvre des mécanismes de R. o. est assuré, en règle générale, non pas par un organe ou un système en particulier, mais par l'interaction d'un complexe de divers organes et systèmes physiologiques, y compris tous les maillons des processus de régulation.État et caractéristiques du R. o. peut être déterminé dans une certaine mesure par la méthode des tests fonctionnels et des charges, utilisée notamment dans la sélection professionnelle et dans la pratique médicale.
Qu'est-ce que la résistance
organisme réactivité résistance pathogène
La résistance de l'organisme s'entend comme sa résistance à diverses influences pathogènes (du latin resisteo - résistance). La résistance du corps aux effets indésirables est déterminée par de nombreux facteurs, de nombreux dispositifs barrières qui empêchent impact négatif facteurs mécaniques, physiques, chimiques et biologiques.
Facteurs de protection cellulaires non spécifiques
Les facteurs de protection cellulaires non spécifiques comprennent fonction de protection peau, muqueuses, le tissu osseux, locale processus inflammatoires, la capacité du centre de thermorégulation à modifier la température corporelle, la capacité des cellules du corps à produire de l'interféron, les cellules du système phagocytaire mononucléaire.
La peau possède des propriétés barrières dues à épithélium multicouche et ses dérivés (poils, plumes, sabots, cornes), présence de formations réceptrices, cellules du système macrophage, sécrétions sécrétées par l'appareil glandulaire. La peau intacte d'animaux sains résiste aux contraintes mécaniques, physiques, facteurs chimiques. Il représente une barrière insurmontable à la pénétration de la plupart des microbes pathogènes et empêche la pénétration des agents pathogènes non seulement mécaniquement. Il a la capacité de s'auto-nettoyer grâce à une exfoliation constante de la couche superficielle, à la sécrétion de sécrétions par la sueur et glandes sébacées. De plus, la peau possède des propriétés bactéricides contre de nombreux micro-organismes issus des glandes sudoripares et sébacées. De plus, la peau possède des propriétés bactéricides contre de nombreux micro-organismes. Sa surface constitue un environnement défavorable au développement de virus, bactéries et champignons. Ceci est expliqué réaction acide créé par les sécrétions sébacées et glandes sudoripares(pH - 4,6) à la surface de la peau. Plus le pH est bas, plus l'activité bactéricide est élevée. Grande importance transmettre aux saprophytes cutanés. La composition spécifique de la microflore permanente comprend jusqu'à 90 % de staphylocoques épidermiques, quelques autres bactéries et champignons. Les saprophytes sont capables de sécréter des substances qui ont un effet néfaste sur les agents pathogènes. Par la composition spécifique de la microflore, on peut juger du degré de résistance de l'organisme, du niveau de résistance.
La peau contient des cellules du système macrophage (cellules de Langerhans) capables de transmettre des informations sur les antigènes aux lymphocytes T.
Les propriétés barrières de la peau dépendent conditions générales organisme défini alimentation nutritive, soin des tissus tégumentaires, nature de l'entretien, fonctionnement. On sait que les veaux émaciés sont plus facilement infectés par la microsporie et la trichofetia.
Muqueuses cavité buccale, l'œsophage, tube digestif, respiratoire et appareil génito-urinaire, recouverts d'épithélium, représentent une barrière, un obstacle à la pénétration de divers facteurs nocifs. La muqueuse intacte représente un obstacle mécanique à certains produits chimiques et foyers infectieux. Grâce à la présence de cils épithélium cilié de la surface voies respiratoires sont affichés dans environnement externe corps étrangers, micro-organismes entrant avec l'air inhalé.
Pour l'irritation des muqueuses composants chimiques, objets étrangers, des déchets de micro-organismes apparaissent réactions défensives sous forme d'éternuements, de toux, de vomissements, de diarrhée, ce qui aide à éliminer les facteurs nocifs.
Les dommages à la muqueuse buccale sont évités par une salivation accrue, les dommages à la conjonctive sont évités par un écoulement abondant de liquide lacrymal, les dommages à la muqueuse nasale sont évités. exsudat séreux. Les sécrétions des glandes des muqueuses ont des propriétés bactéricides dues à la présence de lysozyme. Le lysozyme est capable de lyser les staphylo- et streptocoques, les salmonelles, la tuberculose et de nombreux autres micro-organismes. En raison de la présence d'acide chlorhydrique suc gastrique supprime la prolifération de la microflore. Les micro-organismes qui peuplent la muqueuse intestinale jouent un rôle protecteur, organes génito-urinaires animaux en bonne santé. Les micro-organismes participent à la transformation des fibres (ciliés du proventricule des ruminants), à la synthèse des protéines et des vitamines. Représentant principal microflore normale dans le gros intestin se trouve Escherichia coli. Il fermente le glucose, le lactose, créant des conditions défavorables au développement microflore putréfactive. Une diminution de la résistance des animaux, notamment chez les jeunes animaux, se traduit par coli V agent pathogène. La protection des muqueuses est assurée par des macrophages, empêchant la pénétration d'antigènes étrangers. Concentré à la surface des muqueuses immunoglobulines sécrétoires, qui sont basés sur des immunoglobulines de classe A.
Le tissu osseux remplit de multiples fonctions de protection. L'un d'eux est la protection du centre formations nerveuses depuis dommages mécaniques. Les vertèbres protègent moelle épinière des blessures, et les os du crâne protègent le cerveau et les structures tégumentaires. Côtes, sternum remplir une fonction protectrice vis-à-vis des poumons et du cœur. Les os tubulaires longs protègent le principal organe hématopoïétique - la moelle osseuse rouge.
Les processus inflammatoires locaux s'efforcent tout d'abord d'empêcher la propagation et la généralisation du processus pathologique. Une barrière protectrice commence à se former autour de la source de l’inflammation. Initialement, elle est provoquée par l’accumulation d’exsudat – un liquide riche en protéines qui adsorbent les produits toxiques. Par la suite, à la frontière entre sain et tissu endommagé une tige de démarcation est formée à partir d'éléments de tissu conjonctif.
La capacité du centre de thermorégulation à modifier la température corporelle est important pour lutter contre les micro-organismes. Une température corporelle élevée stimule processus métaboliques, activité fonctionnelle des cellules du système réticulomacrophagal, leucocytes. De jeunes formes de globules blancs apparaissent - des neutrophiles jeunes et en bande, riches en enzymes, ce qui augmente leur activité phagocytaire. Les leucocytes dans quantités accrues commencer à produire des immunoglobulines et du lysozyme. Microorganismes à haute température perdre la résistance aux antibiotiques et autres médicaments, et cela crée des conditions pour traitement efficace. La résistance naturelle lors de fièvres modérées augmente en raison des pyrogènes endogènes. Ils stimulent les systèmes immunitaire, endocrinien et nerveux, qui déterminent la stabilité de l’organisme. Actuellement en cliniques vétérinaires Les pyrogènes purifiés par des bactéries sont utilisés pour stimuler la résistance naturelle du corps et réduire la résistance. microflore pathogène aux médicaments antibactériens.
Le maillon central des facteurs de protection cellulaire est le système des phagocytes mononucléés. Ces cellules comprennent les monocytes sanguins, les histiocytes tissu conjonctif, Cellules de Kupffer du foie, macrophages pulmonaires, pleuraux et péritonéaux, macrophages libres et fixes, macrophages libres et fixes des ganglions lymphatiques, rate, rouge moelle, macrophages des membranes synoviales des articulations, ostéoclastes du tissu osseux, cellules microgliales système nerveux, cellules épithélioïdes et géantes des foyers inflammatoires, cellules endothéliales. Les macrophages exercent une activité bactéricide grâce à la phagocytose et sont également capables de sécréter un grand nombre de biologiquement substances actives, qui possèdent des propriétés cytotoxiques contre les micro-organismes et les cellules tumorales.
La phagocytose est la capacité de certaines cellules du corps à absorber et digérer des substances étrangères. Des cellules qui résistent aux agents pathogènes, libérant l'organisme de ses propres cellules génétiquement étrangères, de leurs débris, corps étranger, furent nommés I.I. Mechnikov (1829) phagocytes (du grec phaqos - dévorer, cytos - cellule). Tous les phagocytes sont divisés en microphages et macrophages. Les microphages comprennent les neutrophiles et les éosinophiles, les macrophages comprennent toutes les cellules du système phagocytaire mononucléaire.
Le processus de phagocytose est complexe et à plusieurs niveaux. Cela commence par l'approche du phagocyte du pathogène, puis on observe l'adhésion du micro-organisme à la surface de la cellule phagocytaire, puis l'absorption avec formation d'un phagosome, l'association intracellulaire du phagosome avec le lysosome et, enfin, la digestion de l'objet de la phagocytose par les enzymes lysosomales. Cependant, les cellules n’interagissent pas toujours de cette manière. En raison d'un déficit enzymatique en protéases lysosomales, la phagocytose peut être incomplète (incomplète), c'est-à-dire Seules trois étapes se produisent et les micro-organismes peuvent rester dans le phagocyte à l’état latent. Dans des conditions défavorables pour le macroorganisme, les bactéries deviennent capables de se reproduire et, détruisant la cellule phagocytaire, provoquent une infection.
La résistance est une résistance à quelque chose. De plus, une telle propriété peut s'avérer à la fois très utile et perturber le fonctionnement de l'ensemble. corps humain. C’est pour cette raison qu’il est nécessaire d’expliquer exactement à quoi il y a une résistance. Ceci est très important, car la résistance aux effets des bactéries et à l’influence de ses propres hormones affecte naturellement différemment la santé.
Résistance à certains microbes
Ce type de stabilité semble être très utile. Dans le même temps, une personne n’a pas toujours une résistance totale. Cela est dû au fait que lorsque les défenses de l’organisme diminuent, la capacité à supprimer la croissance et le développement de la microflore non seulement nocive, mais également opportuniste diminue. En conséquence, l'une ou l'autre maladie survient. Un bon exemple est la tuberculose. Les humains y opposent une relative résistance. Cela provoque l’absence de manifestations cliniques et le non-développement de la maladie correspondante dans des conditions où l’immunité de l’organisme est suffisamment forte. haut niveau. Dans le même temps, il n’est pas toujours capable de détruire complètement Mycobacterium tuberculosis. En conséquence, s'il reste en vie, il bénéficie d'excellentes opportunités de croissance et de reproduction lorsqu'il commence à décliner. En fin de compte, si l'immunité reste suffisamment longtemps à un niveau faible, le développement d'une tuberculose à part entière est tout à fait possible.
La résistance aux antibiotiques – un problème moderne
Il convient de noter que les humains ne sont pas les seuls à résister à certains substances étrangères. Les micro-organismes ont aussi souvent une bonne résistance. En même temps, il se forme en eux du fait que pendant le traitement maladies infectieuses Souvent, tous les agents pathogènes ne meurent pas. Surtout dans les cas où une personne a été traitée avec des antibiotiques non pas pendant 5 à 7 jours, comme prescrit par le médecin, mais pendant seulement 2 à 3 jours. Jusqu'au moment où ils disparaissent pendant le traitement manifestations cliniques. Sans aucun doute, une telle personne se rétablira très probablement, mais les micro-organismes survivants peuvent devenir résistants aux antibiotiques avec lesquels ils ont été traités. La résistance n’est donc pas toujours bénéfique pour l’organisme. Dans certains cas, c’est un facteur qui doit être pris en compte lors du traitement des patients.
Cette propriété permet aux globules rouges de survivre dans des conditions changeantes. composition chimique sang. Le fait est que niveau normal Teneur en NaCl dans le plasma sanguin - 0,9%. Le niveau de modification de la résistance des érythrocytes peut souvent servir de signe diagnostique de certains processus pathologiques, se produisant dans le corps. Avec son aide, il est possible d'établir la présence de certaines maladies.
Comme vous pouvez le constater, la résistance est un terme très, très polyvalent. Cela peut souvent signifier des concepts qui apportent tous deux grand avantage, et sont nocifs pour la santé humaine.
