La léthargie et la somnolence constantes chez une personne au cours d'une journée de travail active sont un problème répandu dans la civilisation moderne et la société développée. Le plus souvent, les habitants des grandes villes souffrent de tels symptômes.

Dans la grande majorité des cas, les facteurs provoquant une somnolence régulière sont des facteurs externes (ou une combinaison de ceux-ci). Ce n'est qu'après leur exclusion que l'on peut parler d'une éventuelle pathologie ou maladie nécessitant un diagnostic complexe et un traitement approprié de la part d'un spécialiste spécialisé.

Facteurs externes et mode de vie

Les causes typiques provoquant la faiblesse et la somnolence dans cette catégorie comprennent les événements et phénomènes suivants :

Oxygène

Un manque régulier de l'élément principal qu'est l'air, nécessaire à la respiration humaine, peut entraîner une grande variété de manifestations négatives, dont la première est la somnolence.

Le plus souvent, ce problème se manifeste dans des espaces clos avec de grandes foules de personnes. Les domaines à risque typiques sont le travail à domicile et au bureau.

Le cerveau est le premier à réagir au manque d’oxygène, provoquant une sensation de fatigue, de somnolence, des bâillements et des maux de tête tout au long de la journée. À moyen terme, les processus de transport et métaboliques impliquant cet élément dans les organes internes sont perturbés, ce qui peut conduire à des pathologies plus graves.

Comment se débarrasser de ce facteur négatif? Passez plus souvent du temps à l'air frais, aérez régulièrement les pièces où vous vous trouvez en permanence, dans les cas extrêmes, utilisez un ozoniseur, faites attention à la présence d'un système de ventilation de base et essayez de rester le moins possible dans des zones complètement isolées de l’air soufflé.

Météo

Dans les pays et les régions où le temps est instable et change fréquemment, les gens sont plus susceptibles de souffrir d'une somnolence sévère et constante. Cela est dû à un changement systémique brutal des conditions atmosphériques, qui donne constamment envie de dormir et donne une sensation de léthargie dans tout le corps.

Donc, lorsque la pression diminue, sa composante artérielle diminue parallèlement chez les hommes et les femmes, ce qui provoque une détérioration de l'apport d'oxygène et d'autres substances aux principaux organes et systèmes.

Une autre facette du problème est la formation d'un contexte psychologique négatif chez une personne. Des pluies constantes, un minimum de lumière et de chaleur, de la saleté, de la neige fondante dans la rue et d'autres phénomènes atmosphériques persistants ont un effet déprimant, surtout si une personne est sujette à la dépression et au stress. En conséquence, il sera en proie à des crises de faiblesse corporelle et de somnolence pendant la journée, dont il est assez difficile de se débarrasser par des méthodes simples.

Orages magnétiques

Les tempêtes géomagnétiques sont directement liées à l'activité solaire - s'il y a un siècle ce facteur négatif figurait dans la catégorie « évident-incroyable », c'est désormais un fait scientifiquement prouvé.

Des phénomènes particulièrement puissants à l’échelle cosmique peuvent non seulement affecter le bien-être des humains, mais même interférer avec le fonctionnement de l’électronique radio dans le monde entier. Au cours des dernières décennies, une branche de la biophysique s'est développée pour étudier l'influence des tempêtes géomagnétiques sur les organismes terrestres : l'héliobiologie.

Parmi symptômes négatifs de base de l'influence des orages magnétiques sur l'homme, la somnolence, un rythme cardiaque rapide, des augmentations de la tension artérielle, une dépression sévère et une fatigue sont particulièrement perceptibles.

Ce facteur atmosphérique et physique n'affecte qu'indirectement les personnes endurcies qui n'ont pas de problèmes de santé ; par conséquent, pour neutraliser les manifestations, accorder une attention maximale à la prévention générale du corps et recevoir un traitement rapide pour toute maladie.

Lieu de résidence

Un facteur externe important est le lieu de résidence de la personne souffrant de somnolence. Le climat et le relief jouent ici un rôle énorme - par exemple, dans les plaines, les zones continentales spéciales à aridité accrue et dans les chaînes de montagnes, certains symptômes négatifs peuvent survenir, en particulier chez les personnes qui ne vivent pas en permanence dans ces groupes de territoires.

Cet article est souvent lu avec :

Les habitants des grandes villes ressentent également plus souvent de la somnolence– le revers de la médaille de l’urbanisation mondiale, avec son rythme de vie accéléré et ses risques élevés de stress, notamment dans les endroits où vivent densément des centaines de milliers de citadins, prédétermine l’apparition d’une fatigue chronique caractéristique.

Dans ce cas, une personne a besoin d'un bon repos régulier avec des vacances, dans certains cas, d'un changement de lieu de résidence avec le choix d'une zone où le terrain et le climat sont individuellement optimaux.

Manque de vitamines et de microéléments

Une autre raison de l’augmentation de la fatigue et de la somnolence est le manque de vitamines. L'hypovitaminose ou avitaminose est à l'origine de la formation d'un large groupe de pathologies très diverses, tout en provoquant des syndromes graves, voire des maladies.

La somnolence et les maux de tête sont le plus souvent provoqués par un manque de vitamines B et P.

De plus, la léthargie, la fatigue intense et, par conséquent, l'état négatif mentionné ci-dessus se produisent dans le contexte d'un manque d'un certain nombre de minéraux, en particulier l'iode et le fer.

La solution à ce problème est aussi triviale que possible- il s'agit d'une correction de l'alimentation, y compris dans le régime des aliments riches en rutine, fer, iode et acides pantothéniques, ainsi que de la prise de complexes de vitamines et de minéraux, notamment en période automne-hiver, lorsque la plupart des fruits et légumes frais sont simplement indisponible.

Alimentation mauvaise ou malsaine

La consommation régulière d'aliments et de liquides fournit quotidiennement au corps humain toutes les substances nécessaires, dont la plupart ne sont pas synthétisées par ses propres systèmes et organes.

Une alimentation insuffisante, excessive ou inappropriée peut aggraver considérablement le bien-être, conduire à la formation de pathologies et à la formation de maladies.

Plusieurs risques majeurs:

• Manque de vitamines dans les aliments et les minéraux peuvent provoquer de la somnolence ;
• Carence calorique régulière directe affaiblit le corps dans son ensemble - le jeûne constant provoque un certain nombre d'états limites, dont la somnolence ;
• Nourriture trop abondante et extrêmement grasse oblige l'estomac à travailler à charge maximale, ce qui altère le fonctionnement des systèmes associés et peut entraîner de la fatigue, de la somnolence et d'autres symptômes.

Mauvaises habitudes

Les deux mauvaises habitudes les plus courantes sont le tabac et la consommation d’alcool.

Dans le premier cas La nicotine provoque une constriction des vaisseaux sanguins périphériques qui transportent l'oxygène vers le cerveau, ce qui peut provoquer une somnolence.

Dans la seconde, l'effet systémique des boissons alcoolisées sur le corps affecte non seulement le foie et, par analogie avec le tabagisme, resserre les vaisseaux sanguins, mais crée également les conditions préalables à l'intoxication, qui à leur tour ont leur propre ensemble de symptômes négatifs, allant des maux de tête à la somnolence. .

De tels problèmes ne peuvent être résolus qu'en abandonnant progressivement les mauvaises habitudes mentionnées ci-dessus - le faire seul n'est pas toujours facile, donc si nécessaire, contactez des spécialistes spécialisés pour obtenir une aide qualifiée.

Médicaments qui provoquent la somnolence

Un grand nombre de médicaments dans la liste des effets secondaires comportent une section sur l'effet de la substance active sur le système nerveux central, où la somnolence est une manifestation négative typique. Les groupes les plus connus de ces médicaments:

• Antihistaminiques. Les médicaments antiallergiques des premières générations (par exemple, Diphenhydramine, Tavegil) ont de nombreux effets secondaires et un effet de somnolence prononcé ;
• Sédatifs. Tout sédatif, quelle que soit sa composition, ralentit le fonctionnement du système nerveux central et crée les conditions préalables à la somnolence. Les représentants typiques sont Persen, teinture d'agripaume, Fitosed ;
• Neuroleptiques. Ils ont un effet inhibiteur systémique direct sur le fonctionnement du système nerveux central, ce qui provoque de forts symptômes caractéristiques. Les représentants typiques sont Haloperidol, Eglonil.;
• Somnifères. Comme les sédatifs, ils provoquent une somnolence même après la fin de l'action directe - leur demi-vie par rapport à l'organisme peut atteindre une journée. Les représentants typiques sont Sonmil, Donomil ;
• Tranquillisants. Le principe de fonctionnement de ces médicaments est de supprimer la peur, l’anxiété et l’émotivité en relaxant les muscles lisses et le système nerveux. Les représentants typiques sont le Relanium, le Phenazepam ;
• Médicaments contre le rhume. La plupart des remèdes combinés modernes contre les symptômes du rhume contiennent des composants vasoconstricteurs, qui provoquent une diminution de l'apport d'oxygène et de la somnolence. Les représentants typiques sont Flukold, Coldrex, Teraflu.

Maladies et état du corps

Non seulement des facteurs externes peuvent provoquer de la somnolence, mais aussi des maladies, des pathologies et divers syndromes ; la somnolence diurne met souvent en garde contre une maladie grave.

Troubles hormonaux

Le plus souvent observé chez les femmes en raison des caractéristiques physiologiques du corps, bien qu'ils apparaissent parfois également chez les hommes (le plus souvent avec des pathologies de la glande thyroïde). Les facteurs typiques conduisant à des déséquilibres hormonaux comprennent :

1. Activité physique intense et déséquilibrée ;
2. Avortement, problèmes gynécologiques, grossesse ;
3. Régime alimentaire extrêmement restrictif ou obésité ;
4. Puberté avec formation de la fonction reproductrice ;
5. Autres facteurs.

Le processus de traitement des déséquilibres et des troubles hormonaux dépend de la pathologie spécifique à l'origine du problème et est développé individuellement par un spécialiste spécialisé.

Épuisement nerveux

Par épuisement nerveux, les experts entendent un complexe symptomatique qui forme un syndrome non spécifique. Généralement, cette pathologie se manifeste à la fois par des troubles psycho-émotionnels et par des troubles intellectuels du spectre cognitif.

De plus, des pathologies physiques typiques peuvent être diagnostiquées - de l'arythmie et des modifications de la pression artérielle aux spasmes musculaires, en passant par la névralgie et le syndrome douloureux avec déficience de la vision périphérique.

Les premiers signes d'épuisement nerveux comprennent une faiblesse constante accompagnée de somnolence.

Le processus de traitement de l’épuisement nerveux dépend de la cause du syndrome. Si son étiologie n'est pas claire ou si la personne est âgée, des nootropiques et des sédatifs sont prescrits.

Dépression

La dépression est un trouble mental bien connu caractérisé par un retard moteur, une somnolence, une détérioration de l'humeur, une anhédonie sur fond de pensée critique et pessimiste.

Comme le montrent les statistiques mondiales, c'est la dépression est le trouble de l'humeur et le trouble mental le plus répandu dans le monde.

La prévalence globale dans les pays développés atteint 15 à 20 pour cent de la population active totale.

Il est presque impossible de résoudre seul le problème de la dépression et de s’en sortir efficacement.. Le psychiatre prescrira des médicaments appropriés, notamment des tranquillisants et des sédatifs, et recommandera également une psychothérapie.

Perturbations endocriniennes

Une partie importante de tous les cas problématiques de somnolence constante chez les femmes sont causés par des perturbations endocriniennes physiologiques - il s'agit du syndrome prémenstruel régulier, ainsi que de la ménopause.

Le syndrome prémenstruel est un complexe de symptômes chez le beau sexe 2 à 8 jours avant le début des règles, exprimé par un certain nombre de troubles temporaires conditionnellement pathologiques - de la somnolence et du déclin psycho-émotionnel à l'agressivité, l'enflure, la céphalée et même la crise systémique.

La ménopause, en tant que phénomène permanent, survient chez les femmes entre 45 et 55 ans et est associée à une involution de la fonction ovarienne, à la disparition des menstruations régulières et à un changement fondamental des niveaux hormonaux.

Résoudre le problème dans les deux cas– l'hormonothérapie substitutive, ainsi que des recommandations générales pour améliorer la santé du corps et maintenir le tonus de tous les systèmes/organes d'une femme.

Dystonie végétovasculaire (VSD)

La dystonie végétative-vasculaire au sens moderne est un syndrome complexe présentant des symptômes étendus, résultant des effets combinés de plusieurs maladies et pathologies de nature chronique.

Les manifestations typiques au niveau du système nerveux autonome comprennent la somnolence, la fatigue chronique et les fluctuations de pression artérielle et intracrânienne. Dans ce cas, le patient ne se sent pas bien, se plaint de douleurs modérées fréquentes, de troubles respiratoires, etc.

Thérapie complexe du problème comprend généralement le renforcement des vaisseaux sanguins, une activité physique limitée, des exercices de respiration, des massages et un mode de vie sain. Lorsque la cause du syndrome est trouvée, si elle s'exprime par une maladie spécifique, un traitement médicamenteux conservateur est prescrit.

Déficience en fer

Une carence aiguë en fer dans le corps humain peut provoquer une anémie correspondante. Elle s'exprime par un certain nombre de symptômes spécifiques. Ainsi, un manque d'hémoglobine (protéine contenant du fer) perturbe la liaison des globules rouges à l'oxygène, ce qui fait que celui-ci est moins bien acheminé vers les cellules de tous les principaux organes et systèmes du corps, provoquant fatigue, vertiges, somnolence et autres manifestations de ce spectre.

Solution– prendre des complexes de vitamines et de minéraux, ainsi que corriger l'alimentation avec l'inclusion de bouillie de sarrasin, de viande rouge, de légumes, de poisson, de fruits individuels et d'autres produits riches en fer dans l'alimentation quotidienne.

Diabète

La maladie du spectre endocrinien la plus connue et la plus répandue dans le monde est le diabète sucré, associé à une altération de l'absorption du glucose.

Ce problème est de nature complexe, peut provoquer un grand nombre de pathologies et, compte tenu des réalités modernes, ne peut être complètement guéri - tous les efforts de la médecine moderne dans cet aspect visent à normaliser les processus métaboliques dans le corps et à réduire les risques de développement d'éventuels complications.

Les manifestations connues du diabète de tout type comprennent généralement une sensation de faim, des maux de tête, une somnolence périodique, des démangeaisons cutanées, une faiblesse musculaire et des troubles du fonctionnement du cœur et des yeux.

Syndrome de fatigue chronique – symptômes et traitement

Syndrome de fatigue chronique - cet ensemble de symptômes, combinés en un seul concept, est apparu relativement récemment dans le discours quotidien des médecins ; ce qui peut provoquer une fatigue chronique et une somnolence. Elle est plus fréquente dans les pays développés et se traduit par une fatigue persistante et à long terme qui ne peut être éliminée même après un bon repos prolongé.

Il est à noter que presque tous les groupes de la population adulte vivant dans les grandes villes et les zones métropolitaines courent un risque potentiel de détecter le syndrome.

Les symptômes du syndrome de fatigue chronique ne sont pas spécifiques et peuvent appartenir à tout un groupe d'autres pathologies et maladies. Cependant, même si un examen approfondi ne révèle aucun problème de santé grave, alors Le SFC peut être diagnostiqué si les manifestations suivantes sont présentes ::

• Fatigue systémique profonde et somnolence ;
• Troubles multiples du sommeil, y compris pathologiques ;
• Problèmes de mémoire à court et à long terme, de vitesse de réaction, de mémorisation ;
• Crises d'apathie ou d'agressivité ;
• Se sentir épuisé tout au long de la journée active, immédiatement après le réveil et avant de se reposer la nuit.

Un traitement efficace du syndrome de fatigue chronique est impossible sans un diagnostic complet de l'ensemble de l'organisme. Dans une proportion importante de cas, les manifestations du SFC sont causées par des maladies chroniques sous forme effacée, des perturbations du transport de l'oxygène vers les tissus, un dysfonctionnement mitochondrial, des problèmes de métabolisme cellulaire, des infections et des virus sous forme indirecte, etc.

Cela nécessite une thérapie basée sur un régime individuel prescrit par le médecin traitant. En l'absence de raisons évidentes il est recommandé comme mesure supplémentaire:

1. Régime à jeun ;
2. Normalisation des rythmes circadiens ;
3. Massage, hydrothérapie, thérapie par l'exercice ;
4. Entraînement autogène, séances de psychothérapie ;
5. Certains médicaments symptomatiques - antihistaminiques, entérosorbants, tranquillisants, etc.

Comment se débarrasser de la somnolence ?

• Traiter en temps opportun tous les types de maladies, notamment les maladies chroniques ;
• Se soumettre régulièrement à des examens préventifs et à des diagnostics complets de base dans cet aspect ;
• Organisez vos rythmes quotidiens et hebdomadaires. Prévoyez votre temps de manière à bénéficier d'au moins 8 heures de repos complet la nuit. Pendant la journée, il est également conseillé de faire des pauses non seulement pour le déjeuner, mais aussi pour la détente générale. 2 journées complètes par semaine – week-end, sans stress au travail ;
• Mode de vie sain- trivial et efficace. L'abandon des mauvaises habitudes, une activité physique modérée régulière, le jogging et la natation, ainsi que d'autres activités classiques connues et promues par les médecins depuis l'époque soviétique, réduisent considérablement le risque de développer un syndrome de fatigue chronique ;
• Mange bien. Mangez moins d'aliments frits, salés et marinés, réduisez la consommation d'aliments contenant de grandes quantités de glucides simples (par exemple, les muffins). Introduisez des légumes et des fruits dans votre alimentation, n'oubliez pas les soupes chaudes, la viande rouge et le poisson. Mangez fractionné, en divisant la dose quotidienne en 5 à 6 repas, sans trop manger le soir et avant de vous coucher.
• Massage, relaxation, aromathérapie et autres aspects similaires - comme un complément agréable, utile et vraiment efficace.

Vitamines contre la fatigue, la faiblesse et la somnolence

Les vitamines ne sont pas des médicaments au sens direct du terme ; elles n’agissent pas immédiatement, montrant un effet thérapeutique rapide, voire immédiat. Cependant cela ne signifie pas qu'ils ne sont pas nécessaires - pour éliminer l'hypovitaminose, à l'aide de complexes de vitamines et de minéraux, vous pouvez réduire considérablement les risques de formation et de développement d'une somnolence constante à moyen terme.

La composition de la préparation complexe sélectionnée doit contenir les éléments suivants en quantité suffisante :

• Vitamine A. Améliore la lutte de l'organisme contre les infections de tout type, protège les muqueuses, soutient la production de globules rouges responsables des processus métaboliques avec le fer.
• Groupe de vitamines B. B1, B2, B3, B5, B6, B7, B9, B12– cette longue liste de substances est responsable d’un grand nombre de processus et de systèmes et doit être prise en cas de somnolence constante, de fatigue, de stress, de dépression.
• Vitamines D, P et C. L’immunité et la croissance cellulaire saine constituent une barrière fiable contre tout syndrome, pathologie ou maladie.

Le nombre de maladies qui surviennent avec une somnolence sévère est si grand qu'il est tout simplement impossible de les intégrer dans cet article.

Et cela n'est pas surprenant, puisque la somnolence est la première manifestation de la dépression du système nerveux central et que les cellules du cortex cérébral sont exceptionnellement sensibles aux effets de facteurs défavorables externes et internes.

Cependant, malgré sa non-spécificité, ce symptôme revêt une grande importance dans le diagnostic de nombreuses pathologies.

Tout d'abord, cela s'applique aux lésions cérébrales diffuses graves, lorsqu'une somnolence sévère et soudaine est le premier signe alarmant d'une catastrophe imminente. Nous parlons de pathologies telles que :

• traumatisme crânien (hématomes intracrâniens, œdème cérébral);
• intoxication aiguë (botulisme, intoxication aux opiacés) ;
• intoxication interne grave (coma rénal et hépatique) ;
• hypothermie (gel);
• prééclampsie chez les femmes enceintes présentant une toxicose tardive.

Étant donné qu'une somnolence accrue se produit dans de nombreuses maladies, ce symptôme a une valeur diagnostique lorsqu'il est considéré dans le contexte d'une pathologie (somnolence en cas de toxicose tardive de la grossesse, somnolence en cas de traumatisme crânien) et/ou en combinaison avec d'autres symptômes (diagnostic posyndromique).

Ainsi, la somnolence est l’un des signes importants du syndrome asthénique (épuisement nerveux). Dans ce cas, cela s'accompagne d'une fatigue accrue, d'une irritabilité, de larmoiements et d'une diminution des capacités intellectuelles.

Une somnolence accrue associée à des maux de tête et des étourdissements est un signe d'hypoxie cérébrale. Dans de tels cas, le manque d'oxygène peut être causé à la fois par des causes externes (rester dans une pièce mal ventilée) et internes (maladies des systèmes respiratoire et cardiovasculaire, des systèmes sanguins, intoxications par des poisons qui bloquent le transport de l'oxygène vers les cellules, etc. .).

Le syndrome d'intoxication se caractérise par une combinaison de somnolence avec perte de force, maux de tête, nausées et vomissements. Le syndrome d'intoxication est caractéristique des intoxications externes et internes (empoisonnement par des poisons ou des déchets de l'organisme en cas d'insuffisance rénale et hépatique), ainsi que des maladies infectieuses (empoisonnement par des toxines de micro-organismes).

De nombreux experts distinguent séparément l'hypersomnie - une diminution pathologique du temps d'éveil, accompagnée d'une somnolence sévère. Dans de tels cas, la durée du sommeil peut atteindre 12 à 14 heures ou plus. Ce syndrome est plus typique de certaines maladies mentales (schizophrénie, dépression endogène), de pathologies endocriniennes (hypothyroïdie, diabète, obésité) et de lésions des structures du tronc cérébral.

Et enfin, une somnolence accrue peut être observée chez des personnes en parfaite santé souffrant d'un manque de sommeil, d'un stress physique, mental et émotionnel accru, ainsi que lors de voyages associés à des fuseaux horaires traversants.

Un état physiologique est également une somnolence accrue chez les femmes enceintes au cours du premier trimestre, ainsi qu'une somnolence lors de la prise de médicaments dont l'effet secondaire est une dépression du système nerveux (tranquillisants, antipsychotiques, antihypertenseurs, antiallergiques, etc.).

Fatigue constante, faiblesse et somnolence, signes d'une nervosité
épuisement

Le plus souvent, la somnolence, associée à une fatigue et une faiblesse constantes, survient avec une pathologie aussi courante que l'épuisement nerveux (neurasthénie, cérébroasthénie).

Dans de tels cas, la somnolence peut être associée à la fois à des troubles du sommeil et à une fatigue accrue causée par l'épuisement du système nerveux.

La base morphologique de la cérébrasthénie peut être une lésion organique ou fonctionnelle du système nerveux central, causée par les conditions suivantes :

• maladies chroniques graves et à long terme ;
• famine nutritionnelle (régimes « à la mode » ; anorexie mentale) ;
• augmentation de l'activité physique dépassant la norme physiologique pour une personne donnée ;
• stress nerveux (syndrome de fatigue chronique, etc.).

La fatigue constante, la faiblesse et la somnolence avec épuisement nerveux sont associées à d'autres symptômes de troubles de l'activité nerveuse supérieure, tels que l'irritabilité, la faiblesse émotionnelle (larmoiements), la diminution des capacités intellectuelles (détérioration de la mémoire, diminution des performances créatives, etc.).

Le tableau clinique de l'épuisement nerveux est complété par des signes de la maladie qui ont conduit au développement d'une maladie cérébrovasculaire.

Le traitement de la somnolence avec neurasthénie consiste tout d'abord à éliminer la pathologie qui a provoqué l'épuisement du système nerveux, ainsi qu'à des mesures générales de renforcement.

Des médicaments standards sont prescrits pour améliorer la circulation cérébrale et augmenter le bilan énergétique des cellules du cortex cérébral (Cavinton, Nootropil, etc.).

Le pronostic de la cérébroasthénie est associé à la maladie qui a provoqué un épuisement nerveux. En cas de troubles fonctionnels c'est toujours favorable. Cependant, en règle générale, un traitement assez long est nécessaire.

Vertiges, faiblesse et somnolence comme symptômes de troubles végétatifs-vasculaires
dystonie

La dystonie végétative-vasculaire (neurocirculatoire) est décrite par les médecins généralistes comme un trouble fonctionnel du système cardiovasculaire, qui repose sur de multiples troubles systémiques de la régulation neuroendocrinienne.

Aujourd'hui, la dystonie végétative-vasculaire est la maladie du système cardiovasculaire la plus courante. Les femmes jeunes et matures sont plus souvent touchées.

Dans la clinique de la dystonie végétative-vasculaire, les symptômes « cardiaques » et les troubles du système nerveux central sont généralement mis en avant :

• douleur dans la région cardiaque;
• labilité de la pression artérielle avec tendance à l'hypotension ou à l'hypertension ;
• vertiges;
• somnolence;
• faiblesse;
• léthargie;
• irritabilité;
• problèmes respiratoires sous forme de sensation de manque d’air (appelés « soupirs tristes ») ;
• extrémités froides et humides.

La dystonie neurocirculatoire est une maladie polyétiologique, c'est-à-dire qu'elle est causée par un ensemble de causes. En règle générale, nous parlons de la mise en œuvre d'une prédisposition héréditaire-constitutionnelle sous l'influence d'un ensemble de facteurs défavorables : stress, mode de vie malsain (tabagisme, abus d'alcool, routine quotidienne inappropriée, sédentarité), certains risques professionnels (vibrations, rayonnement ionisant).

Les étourdissements, la faiblesse et la somnolence associés à la dystonie végétative-vasculaire ont de multiples mécanismes de développement :
1. Impact des facteurs ayant provoqué le développement de la dystonie neurocirculatoire (tabagisme, stress, etc.).
2. Modifications neuroendocrines sous-jacentes à la maladie.
3. Troubles circulatoires (en fait dystonie) des vaisseaux cérébraux.

Le traitement de la somnolence dans la dystonie végétative-vasculaire consiste à éliminer les facteurs à l'origine de la pathologie. La psychothérapie, les mesures réparatrices et l'acupuncture sont d'une grande importance.

Dans les cas graves, des médicaments sont prescrits qui corrigent l'activité du système nerveux autonome et éliminent ainsi les troubles vasculaires prononcés (métoprolol, aténolol).

Somnolence accrue comme symptôme alarmant dans les lésions aiguës
système nerveux central

De graves lésions cérébrales diffuses entraînent une dépression de l'activité nerveuse supérieure, qui se manifeste par une somnolence accrue.

Dans ce cas, on distingue plusieurs stades de développement de la dépression de conscience : conscience étourdie, stupeur et coma.

La somnolence pendant la conscience étourdie est combinée à des symptômes tels qu'une léthargie, une attention active altérée, des expressions faciales et un discours appauvris et une désorientation dans le lieu, le temps et soi-même.

Les patients répondent aux questions par monosyllabes, parfois une répétition est nécessaire et seules les tâches les plus élémentaires sont effectuées. Souvent, les patients sont dans une sorte de demi-sommeil et n'ouvrent les yeux que lorsqu'on leur parle directement.

La stupeur (hibernation) est un état pathologique dans lequel le patient n'ouvre les yeux qu'en réponse à un impact très fort (douleur, forte poussée), tandis qu'une réaction défensive coordonnée (répulsion) ou un gémissement est observé. Le contact de la parole est impossible, les organes pelviens ne sont pas contrôlés, mais les réflexes inconditionnés et la déglutition sont préservés.

Par la suite, la stupeur se transforme en coma (sommeil profond) - un état inconscient dans lequel il n'y a aucune réaction, même à de fortes influences douloureuses.

Un symptôme tel qu'une somnolence accrue peut être particulièrement utile avec le développement progressif d'un coma. Dans de tels cas, avant même l'apparition d'un état d'étourdissement, les patients se plaignent d'une somnolence sévère, souvent associée à des maux de tête, des nausées et des vertiges.

Nausées, faiblesse, somnolence et maux de tête comme signes
intoxication du système nerveux central

Une somnolence accrue peut être le signe d'un empoisonnement du système nerveux central par des poisons exogènes (externes) ou endogènes (internes). Dans de tels cas, elle est généralement associée à des symptômes tels que faiblesse, nausées et maux de tête.

Le mécanisme d'apparition de ces symptômes est une lésion toxique directe du cortex cérébral, dont le degré peut varier depuis des troubles métaboliques réversibles jusqu'à la mort cellulaire massive.

Intoxication exogène aiguë du système nerveux central

Une somnolence accrue en cas d'intoxication aiguë du système nerveux central est associée à une dépression de l'activité nerveuse supérieure. De plus, même les poisons qui ont un effet stimulant sur le système nerveux central (alcool), à des concentrations suffisamment élevées, provoquent une somnolence accrue, ce qui est un symptôme très alarmant, car le développement d'un coma profond est possible à l'avenir.

Les intoxications exogènes aiguës peuvent être causées par des poisons chimiques et végétaux, ainsi que par des toxines d'origine bactérienne (maladies infectieuses aiguës, intoxications alimentaires).

En plus d'une somnolence accrue, le tableau clinique de ce type d'intoxication est complété par des symptômes généraux d'intoxication, tels que maux de tête, nausées, vomissements, faiblesse et léthargie. De nombreuses intoxications présentent des symptômes caractéristiques qui aident au diagnostic : forte constriction des pupilles en cas d'intoxication aux opiacés, difficultés de déglutition et vision double en cas de botulisme, etc.

Somnolence accrue comme signe avant-coureur du coma dans les cas endogènes aigus
intoxications

Une somnolence accrue, en tant que signe avant-coureur d'un coma, est d'une grande importance dans des pathologies telles que le coma urémique (rénal) et hépatique. Ils se développent progressivement, c'est pourquoi un diagnostic rapide est particulièrement important.

Le coma hépatique survient en cas de lésions hépatiques graves (cirrhose, hépatite), lorsque la fonction de détoxification de ce laboratoire principal du corps humain diminue fortement. L'apparition de la somnolence est souvent précédée d'une excitation motrice et vocale.

Le coma urémique se développe dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë ou chronique. Le principal mécanisme de développement du coma rénal est l'empoisonnement du corps par les produits finaux du métabolisme des protéines dans le contexte d'un déséquilibre eau-électrolyte.

Les causes de l'insuffisance rénale chronique sont généralement des pathologies rénales sévères (glomérulonéphrite chronique, amylose rénale, anomalies congénitales, etc.). L'insuffisance rénale aiguë peut être causée à la fois par une atteinte rénale et par une pathologie extrarénale aiguë sévère (brûlure, empoisonnement, choc, collapsus, etc.).

Une somnolence accrue, signe avant-coureur du développement d'un coma rénal, est souvent associée à des maux de tête, des nausées, des vomissements, une vision floue et des démangeaisons, qui sont des symptômes de l'urémie (augmentation des niveaux de produits toxiques du métabolisme de l'azote dans le plasma sanguin).

Nausées, vomissements, étourdissements et somnolence avec traumatisme crânien
blessure

En cas de traumatisme crânien, le système nerveux central est affecté par plusieurs facteurs : lésions directes (commotion cérébrale, ecchymose, destruction du tissu cérébral due à une lésion ouverte), altération de la circulation sanguine et de la circulation du liquide céphalo-rachidien, troubles secondaires associés à un œdème cérébral.

La complication précoce la plus dangereuse d'un traumatisme crânien est l'augmentation de la pression intracrânienne et l'œdème cérébral. La menace pour la vie dans ce cas est associée à la possibilité de lésions secondaires des centres respiratoires et vasomoteurs, entraînant un arrêt de la respiration et du rythme cardiaque.

Il convient de noter que l'état général du patient dans les premières heures suivant la blessure peut ne pas correspondre à la gravité des lésions cérébrales. Par conséquent, toutes les victimes doivent subir un examen approfondi à la recherche d'hématomes intracrâniens. De plus, il est nécessaire de surveiller l'état général du patient.

Des symptômes tels que des nausées, des vomissements, des étourdissements et une somnolence accrue indiquent une pathologie grave. Par conséquent, s'ils apparaissent, vous devez consulter d'urgence un médecin spécialisé.

Hypersomnie

L'hypersomnie est un état pathologique caractérisé par une augmentation de la durée du sommeil (nuit et diurne). Le rapport entre le temps de sommeil et d'éveil, nécessaire au bien-être normal, est purement individuel et varie dans des limites assez larges. De plus, ce ratio dépend de l'âge, de la période de l'année, de la profession et de nombreux autres facteurs.

Par conséquent, on peut parler d'une augmentation pathologique du temps de sommeil dans les cas où un sommeil nocturne prolongé est combiné à une somnolence accrue pendant la journée.

En revanche, l'hypersomnie se distingue de la somnolence accrue dans les syndromes asthéniques, qui ne s'accompagnent souvent pas d'une réelle prolongation du temps de sommeil, ainsi que des troubles du sommeil lorsque la somnolence diurne est associée à l'insomnie nocturne.

Les causes les plus courantes d’hypersomnie sont les conditions pathologiques suivantes :

• certaines maladies mentales (schizophrénie, dépression sévère) ;
• pathologies endocriniennes sévères (diabète sucré, insuffisance de la fonction thyroïdienne) ;
• insuffisance rénale, hépatique et multiviscérale ;
• lésions focales des structures du tronc cérébral.

De plus, l'hypersomnie est caractéristique du syndrome de Pickwick. Cette pathologie survient beaucoup plus souvent qu'elle n'est diagnostiquée. Le syndrome de Pickwickian se caractérise par une triade de symptômes : obésité associée à des troubles endocriniens, insuffisance respiratoire plus ou moins sévère et hypersomnie.

Les patients (principalement des hommes âgés de 30 à 50 ans) se plaignent de somnolence sévère, de troubles respiratoires d'origine centrale (ronflements pendant le sommeil entraînant un réveil ; troubles du rythme respiratoire), de maux de tête après le sommeil.

Le traitement de la somnolence avec hypersomnie consiste à traiter la maladie sous-jacente.

Faiblesse, léthargie et somnolence avec diminution de la température corporelle

Une somnolence sévère pendant la congélation est associée à de profonds troubles métaboliques dans les cellules du cortex cérébral. Une diminution de la température corporelle entraîne une diminution du taux de toutes les réactions biochimiques, une altération de l'absorption de l'oxygène et une hypoxie intracellulaire.

La respiration s'arrête lorsque la température corporelle descend à 15-20 degrés. Il convient de noter que dans cet état, l'intervalle de temps entre l'arrêt de la respiration et l'état de mort biologique augmente considérablement, de sorte que des cas de sauvetage des morts ont été enregistrés 20 minutes ou plus après le début de la mort clinique (séjour dans la glace eau). Par conséquent, des mesures de réanimation opportunes en cas d'hypothermie peuvent sauver des cas apparemment désespérés.

Souvent, une somnolence accrue pendant la congélation s'accompagne d'euphorie, lorsque la victime ne peut pas évaluer correctement son état. Si un refroidissement général est suspecté, le patient doit recevoir du thé chaud (l'alcool est contre-indiqué car il a un effet dépresseur sur le système nerveux central) et être envoyé au centre médical le plus proche.

Perte d'énergie, irritabilité, somnolence fréquente avec endocrinien
échecs chez les femmes

La somnolence fréquente est un symptôme constant de troubles endocriniens courants chez les femmes tels que le syndrome prémenstruel et la ménopause pathologique.

Dans de tels cas, une somnolence constante est associée à d'autres symptômes d'épuisement nerveux, tels que :

• prostration;
• irritabilité;
• tendance à la dépression;
• faiblesse émotionnelle (larmes);
• diminution des performances mentales et physiques;
• détérioration réversible des capacités intellectuelles (diminution de la capacité d'apprentissage et de pensée créative).

La somnolence constante due à un dérèglement endocrinien chez la femme est associée à d'autres troubles du sommeil. Souvent, l’augmentation de la somnolence pendant la journée est causée par l’insomnie nocturne. Parfois, pendant la ménopause pathologique, une dépression sévère se développe - dans de tels cas, une hypersomnie se développe souvent.

Le traitement de la somnolence due à une perturbation endocrinienne consiste en des mesures générales de renforcement. Dans de nombreux cas, la phytothérapie et la réflexologie ont un effet bénéfique. Dans les cas graves de pathologie, une correction hormonale est indiquée.

Somnolence sévère, fatigue accrue et apathie avec dépression

Le mot « dépression » signifie littéralement « dépression ». Il s’agit d’une pathologie mentale sévère caractérisée par une triade de symptômes :
1. Diminution générale du fond émotionnel.
2. Diminution de l'activité physique.
3. Inhibition des processus de pensée.

Une somnolence sévère au cours de la dépression, selon la gravité de la pathologie, est associée à d'autres troubles du sommeil. Ainsi, avec un léger degré de dépression situationnelle, c'est-à-dire une pathologie causée par des causes externes (divorce, perte d'emploi, etc.), une somnolence accrue pendant la journée est souvent causée par une insomnie nocturne.

Dans la dépression endogène (psychose maniaco-dépressive, mélancolie involutive, etc.), une somnolence accrue est un symptôme d'hypersomnie et s'accompagne d'une forte diminution de l'activité motrice, de la parole et de l'activité mentale, qui est perçue de l'extérieur comme de l'apathie.

Il convient de noter que la somnolence peut être l’un des symptômes d’une dépression cachée. Dans de tels cas, les troubles du sommeil ressemblent au mode « oiseau de nuit » : veille prolongée le soir et lever tardif le matin. Cependant, il convient de noter que les patients se plaignent du fait qu'il leur est extrêmement difficile de se lever le matin, même s'ils ont déjà suffisamment dormi. De plus, la dépression latente se caractérise surtout par une mauvaise humeur matinale (le fond émotionnel s'améliore toujours quelque peu le soir). Une somnolence accrue dans ces cas est également caractéristique de la première moitié de la journée.

Le traitement de la somnolence associée à la dépression implique le traitement de la maladie sous-jacente. Dans les cas bénins, la psychothérapie et les mesures réparatrices sont très efficaces ; dans les cas de dépression sévère, un traitement médicamenteux est indiqué.

Une somnolence accrue, une léthargie, une faiblesse, une perte de force accompagnée d'une dépression cachée sont souvent confondues avec les symptômes d'une maladie somatique. De plus, la dépression présente des symptômes somatiques, tels qu'une accélération du rythme cardiaque, des palpitations, des douleurs cardiaques, une tendance à la constipation, etc. Par conséquent, ces patients sont parfois traités pendant longtemps et sans succès pour des maladies inexistantes.

Il est à noter que la dépression chronique est assez difficile à traiter, donc si vous soupçonnez cette pathologie, il est préférable de consulter un spécialiste (psychologue ou psychiatre).

Somnolence accrue dans l'hypoxie cérébrale aiguë et chronique
cerveau

Une somnolence accrue est également caractéristique de l'hypoxie du système nerveux central. Selon la force et la nature du facteur agissant, le degré d'hypoxie peut être différent. En cas d'hypoxie légère, des manifestations telles qu'une léthargie, une faiblesse, une fatigue accrue et une somnolence sont possibles.

Les symptômes de l'hypoxie chronique sont une fatigue accrue, une léthargie, une faiblesse, une irritabilité, des troubles du sommeil (somnolence le jour et insomnie la nuit) et une diminution des capacités intellectuelles. Parallèlement, selon le degré et la durée de l'hypoxie, les lésions des cellules du cortex cérébral peuvent être réversibles ou irréversibles, jusqu'au développement d'une pathologie organique sévère (démence athéroscléreuse).

Médicaments qui provoquent une somnolence accrue

Il existe plusieurs groupes de médicaments dont l'effet secondaire est une somnolence accrue.

Tout d'abord, ces effets secondaires sont provoqués par des substances qui ont un effet calmant sur le système nerveux central - les antipsychotiques et les tranquillisants.

Les analgésiques narcotiques et la codéine, un médicament antitussif apparenté, ont un effet similaire.

Une somnolence accrue est également causée par un certain nombre de médicaments utilisés pour traiter l'hypertension artérielle (clonidine, clonidine, amlodipine, etc.)

De plus, une somnolence sévère est un effet secondaire de nombreux médicaments utilisés dans le traitement des maladies allergiques (les soi-disant antihistaminiques, en particulier la diphenhydramine).

Les bêtabloquants (médicaments utilisés pour diverses maladies du système cardiovasculaire) peuvent provoquer à la fois une somnolence accrue et de l'insomnie.

La somnolence sévère est un effet secondaire des médicaments qui réduisent l'acide urique (allopurinol) et les lipides plasmatiques (atorvastatine).

Certains médicaments du groupe des analgésiques non narcotiques (Analgin, Amidopyrine) et des anti-H2 utilisés dans les ulcères gastriques (Ranitidine, Cimétidine, etc.) provoquent beaucoup moins fréquemment une somnolence.

Enfin, une somnolence accrue peut être un effet secondaire désagréable lors de l'utilisation de contraceptifs hormonaux (pilules, injections, patch, stérilet). Cet effet secondaire est assez rare et apparaît dès les premiers jours d’utilisation du médicament.

Comment se débarrasser de la somnolence ?

Bien entendu, si la somnolence est causée par l’une ou l’autre pathologie, elle doit alors être traitée rapidement et de manière adéquate. Cependant, dans la grande majorité des cas, une somnolence accrue pendant la journée est associée à un manque de sommeil.

Le besoin moyen de sommeil est de 7 à 8 heures par jour. Les statistiques montrent que la plupart des personnes modernes âgées de 20 à 45 ans dorment beaucoup moins.

Le manque constant de sommeil affecte négativement le système nerveux, provoquant son épuisement. Ainsi, avec le temps, la somnolence prend une forme chronique, devenant un symptôme de la maladie.

Il convient de noter que pour un repos normal, non seulement un sommeil long, mais également un sommeil complet est nécessaire. Malheureusement, comme le montrent les enquêtes, de nombreuses personnes se considèrent comme des couche-tard et se couchent bien après minuit. Entre-temps, des recherches scientifiques ont prouvé que, quels que soient les biorythmes individuels, dormir avant minuit a la plus grande valeur.

De plus, un air pur et frais et le silence sont nécessaires à un bon sommeil. Il n'est pas recommandé de dormir avec de la musique et la télévision - cela affecte négativement la qualité du sommeil.

Comment se débarrasser de la somnolence - vidéo

Somnolence pendant la grossesse

Somnolence diurne constante pendant la grossesse au premier trimestre

La somnolence pendant la grossesse au premier trimestre est un phénomène physiologique. Il s'agit d'une réaction individuelle plus ou moins prononcée à des changements endocriniens profonds dans l'organisme.

Les femmes qui travaillent ont parfois beaucoup de mal à gérer la somnolence au travail. Il est extrêmement déconseillé de boire du thé, du café et, surtout, des boissons énergisantes pendant la grossesse.

Les experts conseillent d'essayer de prendre fréquemment de courtes pauses au travail pour lutter contre la somnolence. Les exercices de respiration aident beaucoup.

Somnolence accrue au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse

Au deuxième trimestre, l'état de santé général des femmes enceintes s'améliore. Si une femme continue de se plaindre d'une somnolence, d'une léthargie et d'une faiblesse accrues, cela peut indiquer une complication telle qu'une anémie chez la femme enceinte.

Une somnolence accrue est un symptôme alarmant si elle survient dans le contexte d'une toxicose tardive de la grossesse - une pathologie caractérisée par une triade de symptômes :
1. Gonflement.
2. Hypertension artérielle.
3. Présence de protéines dans les urines.

L'apparition d'une somnolence sévère au cours de la toxicose tardive des femmes enceintes peut indiquer le développement d'une complication grave - l'éclampsie (convulsions convulsives causées par des lésions cérébrales). Un signe particulièrement alarmant est la combinaison d’une somnolence accrue avec des symptômes caractéristiques tels que des nausées, des vomissements, des maux de tête et des troubles visuels.

Si vous soupçonnez une menace d'éclampsie, vous devez de toute urgence demander l'aide de spécialistes.

Somnolence accrue chez un enfant

La somnolence sévère est beaucoup plus fréquente chez les enfants que chez les adultes. Cela est dû à la fois à une plus grande labilité du système nerveux central et à une sensibilité accrue aux effets de facteurs indésirables.

Par conséquent, chez les enfants, la somnolence et la léthargie au cours des maladies infectieuses apparaissent plus tôt et plus clairement que chez les adultes et peuvent être les premiers signes de la maladie, avertissant d'un danger.

De plus, si un enfant développe soudainement une léthargie et une somnolence, les traumatismes crâniens et les empoisonnements doivent être exclus.
Si la somnolence accrue n'est pas si prononcée, mais est chronique, il faut tout d'abord suspecter les pathologies suivantes :

• maladies du sang (anémie, leucémie);
• maladies du système respiratoire (bronchectasie, tuberculose);
• pathologie du système cardiovasculaire (malformations cardiaques);
• maladies nerveuses (neurasthénie, dystonie végétative-vasculaire) ;
• maladies du tractus gastro-intestinal (infestations helminthiques, hépatite);
• pathologie endocrinienne (diabète sucré, diminution de la fonction thyroïdienne).

Ainsi, la liste des pathologies survenant chez les enfants souffrant de somnolence excessive est assez longue, il est donc préférable de demander l'aide d'un médecin et de se soumettre à un examen complet.

Réponses aux questions les plus fréquentes

Existe-t-il des sédatifs qui ne provoquent pas de somnolence ?

Une somnolence accrue est un effet secondaire dit attendu lors de la prescription de médicaments ayant un effet calmant sur le système nerveux. En d’autres termes, il est presque impossible d’éliminer complètement ces effets secondaires. Bien entendu, la gravité de l’effet secondaire dépend de la puissance du médicament.

Par conséquent, les plus sûrs à cet égard sont les tranquillisants « légers », tels que l'Adaptol et l'Afobazol. Les deux médicaments sont indiqués pour les névroses accompagnées de sentiments de peur et d'anxiété. Ils soulagent l'irritabilité et, si le dosage est respecté, n'ont pas d'effet hypnotique.

Toutefois, si vous avez tendance à l'hypotension (hypotension artérielle), vous devez être particulièrement prudent, car même les antidépresseurs légers peuvent abaisser la tension artérielle et ainsi provoquer une somnolence sévère.

Les sédatifs à base de plantes (valériane, agripaume) sont considérés comme sûrs, sauf si vous achetez des médicaments contenant de l'alcool. L'alcool éthylique lui-même déprime le système nerveux central et peut avoir un effet hypnotique.

Cependant, lorsqu’il s’agit de conduire un véhicule, il est préférable de peser le pour et le contre, puisque tous les sédatifs peuvent réduire le temps de réaction.

Comment gérer la somnolence au volant ?

Bien entendu, pour éviter la somnolence au volant, vous devez passer une bonne nuit de sommeil avant un long voyage. De plus, il est nécessaire de veiller à la pureté de l'air dans la cabine, car l'hypoxie provoque une dépression du système nerveux central.

Si, malgré toutes les précautions, vous vous sentez soudainement somnolent en conduisant, il est préférable de suivre ces conseils :
1. Dès que possible, arrêtez la voiture sur le bord de la route et sortez. Parfois, il suffit de se promener et de respirer un peu d’air frais pour retrouver un regain d’énergie. Les exercices légers aident de nombreuses personnes.
2. Lavez-vous le visage avec un liquide frais (le soda est particulièrement bon).
3. Si possible, buvez du thé ou du café chaud.
4. De retour au salon, mettez de la musique entraînante.
5. Par la suite, faites de courts arrêts pour éviter la somnolence, car la crise pourrait se reproduire et vous surprendre.

Une somnolence diurne apparaît après avoir mangé - est-ce normal ?

La somnolence pathologique après avoir mangé se produit avec ce qu'on appelle le syndrome de dumping - une maladie de l'estomac opéré. Elle est causée par une entrée accélérée des aliments dans le duodénum et s'accompagne de symptômes tels qu'une transpiration accrue, de la fièvre, des acouphènes, une diminution de la vision, des étourdissements et même des évanouissements.

Une somnolence accrue après avoir mangé, non accompagnée de sensations désagréables, est un phénomène physiologique. Après un repas copieux, le sang afflue vers l’estomac, ce qui réduit quelque peu le flux d’oxygène vers le cerveau. Une légère hypoxie peut provoquer un état de somnolence agréable.

Si une somnolence sévère apparaît pour la première fois, il convient tout d'abord d'exclure une maladie aussi courante que la dystonie végétative-vasculaire, dans laquelle une somnolence accrue après avoir mangé peut être associée à une altération du tonus vasculaire.

Cette maladie se caractérise également par d'autres symptômes de dérégulation du tonus vasculaire cérébral, tels que : des étourdissements lors du passage d'une position horizontale à une position verticale, une sensibilité accrue aux intempéries, une labilité de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque.

Si une somnolence accrue après avoir mangé est associée à des symptômes tels qu'une fatigue accrue, une irritabilité, des larmoiements, nous parlons alors d'asthénie (épuisement du système nerveux).

Une somnolence accrue après avoir mangé chez des personnes en parfaite santé peut être associée aux facteurs suivants :
1. Manque de sommeil.
2. Frénésie alimentaire .
3. Fatigue nerveuse et physique.

Dans tous les cas, il faut penser à sa routine quotidienne et manger plus souvent en petites portions.

Veuillez conseiller un médicament contre les allergies qui ne provoque pas de somnolence.

La somnolence est un effet secondaire attendu des antihistaminiques. Il n’existe donc pas de médicaments absolument sûrs.

Le médicament de dernière génération, la loratadine (Claritin), a le moins d'effet sédatif. Cependant, des études récentes ont montré que ce médicament provoque une somnolence accrue chez 8 % des patients.

Une somnolence extrême pourrait-elle être un signe de grossesse ?

Oui peut-être. Une somnolence accrue au cours du premier trimestre est une conséquence de changements hormonaux complexes dans le corps.

Il est courant que la somnolence soit le premier et le seul signe de grossesse. Un ovule fécondé, se déplaçant dans les trompes de Fallope, sécrète des substances spéciales qui activent le système hypothalamo-hypophysaire, centre de régulation neuroendocrinienne.

Ainsi, une augmentation de la synthèse de gonadotrophine chorionique humaine (appelée hormone de grossesse) se produit déjà au cours de la première semaine après la conception. Dans le même temps, c'est-à-dire avant même le retard des prochaines règles, les femmes sensibles aux changements hormonaux peuvent développer une somnolence accrue.

Pourquoi ai-je toujours une somnolence chronique au travail ? Y a-t-il
des pilules contre la somnolence ?

Si vous ressentez de la somnolence exclusivement au travail, cela est très probablement associé aux particularités de votre zone de production. Dans ce cas, vous n'avez donc pas besoin de pilules contre la somnolence, mais de l'élimination des causes qui ont un effet déprimant sur le système nerveux central. .

Facteurs prédisposant à la somnolence au travail :

• manque d'oxygène provoquant une hypoxie cérébrale (pièce poussiéreuse, étouffante, mal ventilée) ;
• mélange de substances toxiques dans l'air intérieur (y compris celles provenant des matériaux de finition) ;
• augmentation du niveau de bruit;
• travail monotone.

Si possible, essayez d'éliminer les facteurs nocifs, car le non-respect de l'hygiène du travail réduit non seulement la productivité et nuit à la qualité du travail, mais peut également nuire considérablement à la santé.

Prenez des pauses régulières dans votre travail, car un engagement prolongé dans un type d'activité est perçu comme monotone et contribue à accroître la somnolence.

Une somnolence constante en hiver pourrait-elle être un signe de maladie ? Vont-ils aider
des vitamines contre la somnolence ?

Une somnolence constante peut être le symptôme de nombreuses maladies. Il convient donc d’envisager des combinaisons de symptômes. Si la somnolence est associée à des symptômes de dépression, tels qu'une mauvaise humeur, une diminution de l'activité motrice et de la parole, en particulier le matin, nous parlons très probablement de dépression hivernale causée par un manque saisonnier de « l'hormone du bonheur » - la sérotonine.

De plus, les maladies entraînant une météosensibilité accrue, principalement la dystonie neurocirculatoire et l'hypotension (hypotension artérielle), doivent être exclues. Dans de tels cas, en plus de la somnolence, il existe des signes tels que des maux de tête, de l'irritabilité, des vertiges accompagnés d'un changement soudain de la position du corps.

Enfin, une somnolence accrue en hiver peut être un symptôme d’épuisement du système nerveux. La probabilité de développer cette pathologie en hiver augmente en raison de l'hypovitaminose saisonnière. La cérébroasthénie se caractérise par une fatigue accrue, une irritabilité, des larmoiements et une diminution de l'état émotionnel.

Que faire si vous vous sentez faible, somnolent, apathique ?
Tout le monde est fatigué. Pour cette raison, une personne ne veut rien faire, elle est paresseuse, elle se sent faible et n'a pas la force de se forcer. Cependant, certaines personnes ressentent constamment de la fatigue, quelle que soit leur activité. Il y a de nombreuses raisons à cela, mais aucune d'entre elles n'est vraie, car chaque personne vit telle ou telle situation différemment, ce qui signifie que les raisons sont également extrêmement subjectives. À partir de cet article, vous découvrirez les principales causes de fatigue et de fatigue, qui peuvent provoquer des douleurs intenses à l'avenir. Prenez soin de vous et de vos proches !

Vitamines D, B6, B5, rutine, iode– le manque de ces substances dans l’organisme est une des causes de la fatigue. Vous pouvez les reconstituer aussi bien naturellement qu'en prenant des préparations vitaminées.

Vitamine B5 trouvé dans le poisson, le lait et les légumes verts, son absence s'accompagne souvent de graves maux de tête, de nausées et une personne peut ressentir une mauvaise humeur constante.

L'iode peut être obtenu à partir de diverses préparations en contenant ou d'aliments riches en iode, par exemple à partir de poissons, de produits laitiers et de fruits de mer (algues, moules, crevettes, crustacés) et de légumes cultivés dans des sols riches en iode.

Besoin en vitamines B6 peuvent survenir lors de la prise de médicaments antituberculeux ou anticonvulsivants. La viande, le poisson, les œufs, les rognons et le foie de vaches, chèvres, moutons et autres bovins, le lait, les fromages, les crevettes contribueront à le reconstituer.

La rutine n'est pas produite par notre corps de manière autonome, son obtention de l'extérieur est donc obligatoire pour l'homme. Les produits contenant de la rutine sont les oranges, les pomelos, les citrons, les mandarines, les citrons verts, les cerises, les mûres, les framboises, les raisins, les pommes, l'oseille, les poivrons rouges, le chou et le thé vert.

La vitamine D est constamment en carence, car d'une part elle pénètre dans l'organisme par l'alimentation, et d'autre part par le soleil. Les poissons et viandes gras, le beurre et les fromages peuvent en augmenter la quantité. Pendant la saison chaude, il est recommandé de s'exposer le plus souvent possible au soleil et en même temps de consommer les produits décrits ci-dessus. Boire de l’huile de poisson est également bénéfique.

Nutrition

La nourriture est la chose la plus importante pour l’existence du corps. Cependant, la plupart des gens mangent mal et n’ont pas un horaire alimentaire solide, ce qui entraîne fatigue et irritabilité envers tout. Cela se produit parce que le corps n’a nulle part où trouver de l’énergie pour fonctionner normalement, c’est pourquoi une personne se sent fatiguée. La même chose apparaît pendant la faim, lorsqu'il n'y a pas assez d'énergie, et Pour maintenir les fonctions vitales, l’organisme consomme des réserves de graisses.

La qualité de la nourriture joue également un rôle important. Manger de la restauration rapide et des collations rapides a un effet néfaste sur le fonctionnement du corps, le sature de substances nocives ou, à l'inverse, n'apporte pas la quantité requise.

Pendant la grossesse, une telle alimentation s'avère beaucoup plus dangereuse, surtout au début.

Une femme non seulement se mange, mais nourrit également son enfant, la qualité des produits doit donc être très élevée et son naturel doit être maximum. Il faut même garder son corps en bonne condition, ne te laisse pas faire, parce que... Votre bien-être, tant mental que physique, affecte directement la qualité de votre lait maternel.

Manque d'oxygène

L'oxygène est l'élément le plus important de la vie humaine. Sans cela, c'est en principe impossible. Par conséquent, notre propre corps réagit extrêmement fortement aux changements de sa quantité dans l'air.

La somnolence et la fatigue sont les premiers symptômes d’un manque d’oxygène.

L'oxygène se déplace dans tout le corps avec le sang, et plus il est abondant, plus il est saturé dans les tissus du corps. De nombreux organes ne remarquent pas de changements importants de dosage, mais le cerveau y est extrêmement sensible. Dès que vous commencez à bâiller, vous devez immédiatement sortir ou ouvrir une fenêtre. Son manque peut également provoquer des maux de tête..

S'il n'est pas possible d'obtenir de l'oxygène naturellement, vous pouvez préparer un cocktail d'oxygène qui aidera à reconstituer la quantité de gaz nécessaire dans le corps.

À propos du syndrome de fatigue chronique

Si vous essayez de dormir et de vous détendre beaucoup, de passer souvent du temps au grand air et de manger des aliments sains à l'heure, mais que vous ne parvenez toujours pas à vous débarrasser de la fatigue, alors vous souffrez certainement de cette maladie chez ceux dont le travail est associé à un travail constant. , névroses, charges mentales fréquentes et une petite quantité d'activité physique.

Pendant le SFC, une personne n'a souvent plus d'énergie pour vivre, une apathie et des dépressions nerveuses surviennent. Agression incontrôlée, même partielle, mais amnésie de courte durée. Cette maladie n'a pas été entièrement étudiée, il est donc encore impossible d'identifier les causes exactes de son apparition. Mais de nombreux médecins sont enclins à croire qu’il s’agit d’une maladie psychiatrique.

Après en avoir appris davantage sur le CFS, les gens se posent souvent la question : « Que faire ? Après tout, il ne s’agit pas d’une grippe ou d’un rhume ; il n’existe pas de remède facile à ce syndrome. Cependant, il existe encore une issue. Pour le traitement, vous devez impérativement consulter un médecin, boire les sédatifs qu'il pourra vous prescrire, normaliser votre régime d'exercice et de repos, ainsi que le temps d'activité physique. Mangez uniquement des aliments sains et prenez des vitamines à certains moments. Et surtout, faites entièrement confiance à votre médecin.

Faiblesse est un sentiment subjectif de manque d'énergie dans les situations quotidiennes. Les plaintes de faiblesse surviennent généralement lorsque des actions auparavant familières et naturelles commencent soudainement à nécessiter un effort particulier.

La faiblesse s'accompagne souvent de symptômes tels que confusion, somnolence ou douleurs musculaires.

La fatigue à la fin d'une journée de travail ou après avoir effectué un travail long ou complexe ne peut pas être considérée comme une faiblesse, car une telle fatigue est naturelle pour l'organisme. La fatigue normale disparaît après le repos ; un sommeil sain et des week-ends bien passés sont très utiles. Mais si le sommeil n'apporte pas de gaieté et qu'une personne qui vient de se réveiller se sent déjà fatiguée, alors il y a une raison de consulter un médecin.

Causes de faiblesse

La faiblesse peut être causée par un certain nombre de raisons, notamment :

• . La faiblesse est souvent causée par un manque de vitamine B12, qui est essentielle à la production de globules rouges (GR) et à la prévention de l'anémie, et qui est également importante pour la croissance cellulaire. Une carence en vitamine B12 entraîne un développement considéré comme la cause la plus fréquente de faiblesse générale. Une autre vitamine dont la carence entraîne une faiblesse est la vitamine D. Cette vitamine est produite par l’organisme lorsqu’il est exposé au soleil. Par conséquent, en automne et en hiver, lorsque les heures de clarté sont courtes et que le soleil n'apparaît pas souvent, un manque de vitamine D peut être la cause d'une faiblesse ;
• . Une faiblesse peut survenir à la fois avec une augmentation de la fonction thyroïdienne (hyperthyroïdie) et une diminution de la fonction (hypothyroïdie). Avec l'hypothyroïdie, en règle générale, il y a une faiblesse dans les bras et les jambes, qui est décrite par les patients comme « tout devient incontrôlable », « les jambes cèdent ». Avec l'hyperthyroïdie, une faiblesse générale est observée dans le contexte d'autres symptômes caractéristiques (excitabilité nerveuse, tremblements des mains, température élevée, rythme cardiaque rapide, perte de poids tout en maintenant l'appétit);
• dystonie végétative-vasculaire;
• syndrome de fatigue chronique, indiquant un épuisement extrême de la vitalité ;
• L'entéropathie coeliaque (maladie coeliaque) est l'incapacité des intestins à digérer le gluten. Si en même temps une personne consomme des produits à base de farine - pain, pâtisseries, pâtes, pizza, etc. – des manifestations d'indigestion se développent (flatulences, diarrhée), accompagnées d'une fatigue constante ;
• maladies du système cardiovasculaire;
• maladies oncologiques Dans ce cas, la faiblesse s'accompagne généralement d'une fièvre légère;
• manque de liquide dans le corps. La faiblesse survient souvent en été par temps chaud, lorsque le corps perd beaucoup d'eau et qu'il n'est pas possible de rétablir l'équilibre hydrique à temps ;
• certains médicaments (antihistaminiques, antidépresseurs, bêtabloquants).

Une crise de faiblesse peut également survenir dans les cas suivants :

• traumatisme (avec perte de sang importante);
• lésion cérébrale (associée à des symptômes neurologiques);
• règles;
• intoxication (y compris lors d'une maladie infectieuse par exemple).

Faiblesse et vertiges

Les étourdissements surviennent assez souvent dans un contexte de faiblesse générale. Une combinaison de ces symptômes peut survenir dans les cas suivants :

• accidents vasculaires cérébraux;
• une forte augmentation ou diminution de la pression artérielle ;
• maladies oncologiques;
• stresser;
• chez les femmes - pendant la menstruation ou.

Faiblesse et somnolence

Les patients se plaignent souvent de vouloir dormir mais de ne pas avoir assez de force pour mener leurs activités normales. La combinaison de faiblesse et de somnolence est possible pour les raisons suivantes :

• manque d'oxygène. L'atmosphère urbaine est pauvre en oxygène. Un séjour constant en ville contribue au développement de la faiblesse et de la somnolence ;
• diminution de la pression atmosphérique et des orages magnétiques. Les personnes sensibles aux changements climatiques sont appelées météo-dépendantes. Si vous êtes dépendant du temps, le mauvais temps peut provoquer votre faiblesse et votre somnolence ;
• carence en vitamines;
• alimentation mauvaise ou malsaine ;
• troubles hormonaux;
• l'abus d'alcool;
• syndrome de fatigue chronique;
• dystonie végétative-vasculaire;
• d'autres maladies (y compris infectieuses - aux premiers stades, lorsque d'autres symptômes ne sont pas encore apparus).

Faiblesse : que faire ?

Si la faiblesse ne s'accompagne pas de symptômes inquiétants, vous pouvez améliorer votre bien-être en suivant ces recommandations :

• offrez-vous une quantité normale de sommeil (6 à 8 heures par jour);
• garder une routine quotidienne (se coucher et se lever en même temps) ;
• essayez de ne pas être nerveux, soulagez-vous du stress ;
• faites de l'exercice, offrez-vous une activité physique optimale ;
• passer plus de temps au grand air;
• optimisez votre alimentation. Il doit être régulier et équilibré. Évitez les aliments gras. Si vous êtes en surpoids, essayez de vous en débarrasser ;
• assurez-vous de boire suffisamment d'eau (au moins 2 litres par jour) ;
• arrêtez de fumer et limitez votre consommation d’alcool.

Quand devriez-vous consulter un médecin si vous vous sentez faible ?

Si la faiblesse ne disparaît pas au bout de quelques jours ou dure plus de deux semaines, vous devez absolument consulter un médecin.

Faiblesse ou perte de force– un symptôme courant et assez complexe, dont l'apparition dépend de l'influence d'un certain nombre de facteurs physiologiques et psychologiques.

Faiblesse ou perte de force

Dans la plupart des cas, les patients décrivent la faiblesse en fonction de leurs sensations individuelles. Pour certains, la faiblesse est identique à une fatigue intense, pour d'autres ce terme fait référence à d'éventuels étourdissements, distractions, pertes d'attention et manque d'énergie.

Ainsi, de nombreux professionnels de la santé caractérisent la faiblesse comme une expérience subjective d'un patient qui reflète un manque d'énergie nécessaire pour accomplir les activités et les tâches quotidiennes que la personne était capable d'accomplir sans problème avant l'apparition de la faiblesse.

Causes de faiblesse

La faiblesse est un symptôme courant inhérent à un large éventail de maladies. La cause exacte de la maladie peut être déterminée par les études et les tests nécessaires, ainsi que par les faiblesses et autres manifestations cliniques qui l'accompagnent.

Le mécanisme de la faiblesse et sa nature sont déterminés par la cause qui a provoqué l'apparition de ce symptôme. L'état de fatigue peut survenir à la fois à la suite d'un stress émotionnel, nerveux ou physique grave, ainsi qu'à la suite de maladies et d'affections chroniques ou aiguës. Dans le premier cas, la faiblesse peut disparaître d'elle-même sans aucune conséquence - ici, un bon sommeil et du repos suffisent.

Grippe

Ainsi, une cause populaire de faiblesse est une maladie infectieuse virale aiguë accompagnée d'une intoxication générale du corps. En plus de la faiblesse, des symptômes supplémentaires apparaissent ici :

• température élevée;
• photophobie;
• douleurs à la tête, aux articulations et aux muscles ;
• transpiration intense.

Dystonie végétative-vasculaire

L'apparition d'une faiblesse est caractéristique d'un autre phénomène courant - la dystonie végétative-vasculaire, qui est un ensemble de divers symptômes, parmi lesquels :

• trouble du sommeil;
• vertiges;
• interruptions de la fonction cardiaque.

Rhinite

L'acquisition d'un caractère chronique s'accompagne à son tour d'un gonflement de la muqueuse nasale, qui, avec le temps, entraîne un effet sur l'hypophyse. Sous cette influence, le fonctionnement normal de la principale glande endocrine impliquée dans la zone d'œdème est perturbé. Les dysfonctionnements du fonctionnement de l'hypophyse entraînent un déséquilibre de nombreux systèmes de l'organisme : endocrinien, nerveux, immunitaire, etc.

Autres causes de faiblesse

Une faiblesse aiguë et sévère est un symptôme inhérent à intoxication grave, intoxication générale.

Chez une personne en bonne santé, la faiblesse peut survenir à la suite de : lésion cérébrale, perte de sang- à la suite d'une forte diminution de la pression.

Les femmes éprouvent de la faiblesse pendant les règles.

Aussi la faiblesse est inhérente à l'anémie– une maladie caractérisée par une diminution de l’hémoglobine contenue dans les globules rouges. Étant donné que cette substance transfère l'oxygène des organes respiratoires vers les tissus des organes internes, une quantité insuffisante d'hémoglobine dans le sang entraîne un manque d'oxygène ressenti par le corps.

Constante la faiblesse est inhérente à une carence en vitamines– une maladie indiquant un manque de vitamines. Cela se produit généralement à la suite d’un régime alimentaire strict et irrationnel et d’une alimentation pauvre et monotone.

De plus, la faiblesse peut être le symptôme des maladies suivantes :

Fatigue chronique

La fatigue chronique est la réaction protectrice du corps face à une surcharge constante. Et pas forcément physique. Le stress émotionnel ne peut pas moins épuiser le système nerveux. La sensation de fatigue peut être comparée à un robinet qui empêche le corps de se pousser à bout.

Un certain nombre d’éléments chimiques sont responsables de la sensation de bonne humeur et d’un regain de force dans notre corps. Citons-en quelques-uns :

Le plus souvent, cette maladie touche les habitants des grandes villes qui exercent des activités commerciales ou un autre travail très responsable et stressant, vivant dans des conditions environnementales défavorables, avec des ambitions malsaines, constamment stressés, mangeant mal et ne faisant pas de sport.

Sur la base de ce qui précède, il devient clair pourquoi la fatigue chronique est récemment devenue épidémique dans les pays développés. Aux États-Unis, en Australie, au Canada et dans les pays d'Europe occidentale, le taux d'incidence du syndrome de fatigue chronique varie de 10 à 40 cas pour 100 000 habitants.

SFC – syndrome de fatigue chronique

La faiblesse est un symptôme intégral du stress physique et mental. Ainsi, parmi les personnes modernes qui doivent être exposées à un stress énorme au travail, ce qu'on appelle. syndrome de fatigue chronique.

N’importe qui peut développer le SFC, même si ce syndrome est plus fréquent chez les femmes. Généralement:

Cette condition indique un épuisement extrême de la vitalité. La faiblesse apparaît ici à mesure que la surcharge physique et émotionnelle augmente. De plus, une faiblesse constante et une perte de force s'accompagnent d'un certain nombre de symptômes supplémentaires :

• somnolence;
• irritabilité;
• diminution de l'appétit;
• vertiges;
• perte de concentration;
• distraction.

Causes

• Manque chronique de sommeil.
• Surmenage.
• Stress émotionnel.
• Infections virales.
• Situation.

Traitement

Un traitement complet est le principe principal. L'une des conditions importantes du traitement est également le respect du régime de protection et le contact constant entre le patient et le médecin traitant.

Aujourd'hui, la fatigue chronique est traitée à l'aide de diverses méthodes de nettoyage du corps, des médicaments spéciaux sont administrés pour normaliser le fonctionnement du système nerveux central et l'activité cérébrale, ainsi que pour restaurer le fonctionnement des systèmes endocrinien, immunitaire et gastro-intestinal. De plus, la réadaptation psychologique joue un rôle important dans la résolution de ce problème.

Le programme de traitement du syndrome de fatigue chronique doit comprendre :

En plus des soins dispensés par des spécialistes, vous pouvez soulager la fatigue grâce à de simples conseils d'hygiène de vie. Par exemple, essayez de réguler l’activité physique, en équilibrant les périodes de sommeil et d’éveil, ne vous surchargez pas et n’essayez pas d’en faire plus que ce que vous pouvez faire. Sinon, cela pourrait affecter négativement le pronostic du SFC. Au fil du temps, les périodes d'activité peuvent être augmentées.

En gérant correctement vos ressources disponibles, vous pourrez faire plus de choses. Pour ce faire, vous devez bien planifier votre emploi du temps pour la journée et même une semaine à l'avance. En répartissant correctement les choses – au lieu de vous précipiter pour faire autant que possible dans un court laps de temps – vous pouvez progresser régulièrement.

Les règles suivantes peuvent également être utiles :

• éviter les situations stressantes;
• s'abstenir de consommer de l'alcool, de la caféine, du sucre et des édulcorants ;
• évitez tous les aliments et boissons qui provoquent une réaction négative dans le corps ;
• prenez de petits repas réguliers pour soulager les nausées ;
• reposez-vous suffisamment;
• Essayez de ne pas dormir pendant de longues périodes, car trop dormir peut aggraver les symptômes.

Remèdes populaires

Millepertuis

Prenez 1 tasse (300 ml) d'eau bouillante et ajoutez-y 1 cuillère à soupe de millepertuis sec. Cette infusion doit être infusée dans un endroit tiède pendant 30 minutes. Conseils d'utilisation : 1/3 de verre trois fois par jour, 20 minutes avant les repas. Durée du traitement – ​​pas plus de 3 semaines consécutives.

Plantain commun

Vous devez prendre 10 g de feuilles de plantain sèches et soigneusement broyées et verser dessus 300 ml d'eau bouillante, laisser reposer 30 à 40 minutes dans un endroit chaud. Conseils d'utilisation : 2 cuillères à soupe à la fois, trois fois par jour, une demi-heure avant les repas. Durée du traitement – ​​​​21 jours.

Collection

Mélangez 2 cuillères à soupe de flocons d'avoine, 1 cuillère à soupe de feuilles de menthe poivrée séchées et 2 cuillères à soupe de feuilles de tartre. Le mélange sec obtenu est versé avec 5 tasses d'eau bouillante et laissé pendant 60 à 90 minutes dans un bol enveloppé dans une serviette éponge. Schéma d'utilisation : par ? verres 3 à 4 fois par jour avant les repas. Durée du traitement – ​​​​15 jours.

Trèfle

Vous devez prendre 300 grammes de fleurs séchées de trèfle des prés, 100 grammes de sucre ordinaire et un litre d'eau tiède. Mettez l'eau sur le feu, portez à ébullition et ajoutez le trèfle, laissez cuire 20 minutes. Ensuite, l'infusion est retirée du feu, refroidie et seulement après cela, la quantité spécifiée de sucre y est ajoutée. Vous devez prendre 150 ml d'infusion de trèfle 3 à 4 fois par jour, au lieu du thé ou du café.

Airelles et fraises

Vous aurez besoin d'1 cuillère à soupe de feuilles de fraise et d'airelle - mélangez-les et versez 500 ml d'eau bouillante. Infusez le médicament dans un thermos pendant 40 minutes, puis buvez une tasse de thé trois fois par jour.

Aromathérapie

Lorsque vous avez besoin de vous détendre ou de soulager le stress, déposez quelques gouttes huile de lavande sur un mouchoir et respirez son parfum.

Sentez quelques gouttes l'huile de romarin, appliqué sur un mouchoir lorsque vous vous sentez fatiguée mentalement et physiquement (mais pas pendant les 20 premières semaines de grossesse).

Pour la fatigue chronique, prenez une pause relaxante bain chaud, en ajoutant deux gouttes d'huile de géranium, de lavande et de bois de santal et une goutte d'ylang-ylang à l'eau.

Pour vous remonter le moral lorsque vous êtes déprimé, inhalez le parfum matin et soir. mélanges d'huiles, appliqué sur un mouchoir. Pour le préparer, mélangez 20 gouttes d’huile de sauge sclarée et 10 gouttes chacune d’huile de rose et d’huile de basilic. N'utilisez pas d'huiles de sauge et de basilic pendant les 20 premières semaines de grossesse.

Les élixirs floraux sont destinés à soulager les troubles mentaux et à soulager le stress dans la sphère émotionnelle. Ceux-ci sont particulièrement utiles si vous êtes déprimé ou si vous avez perdu tout intérêt pour la vie :

• clématite (clematis) : pour être plus énergique ;
• olive : pour tous types de stress ;
• églantier : pour l'apathie ;
• saule : si vous êtes accablé par les restrictions de style de vie imposées par la maladie.

Symptômes de faiblesse

La faiblesse se caractérise par une baisse de la force physique et nerveuse. Elle se caractérise par l'apathie et la perte d'intérêt pour la vie.

La faiblesse causée par le développement de maladies infectieuses aiguës survient soudainement. Son augmentation est directement liée à la vitesse de développement de l'infection et à l'intoxication de l'organisme qui en résulte.

La nature de l'apparition de faiblesse chez une personne en bonne santé à la suite d'un stress physique ou nerveux sévère est associée à l'ampleur de la surcharge. Habituellement, dans ce cas, des signes de faiblesse apparaissent progressivement, accompagnés d'une perte d'intérêt pour le travail effectué, de fatigue, d'une perte de concentration et de distraction.

La faiblesse provoquée par un jeûne prolongé ou par un régime strict est à peu près de même nature. Parallèlement à ce symptôme, des signes externes de carence en vitamines apparaissent également :

• peau pâle;
• fragilité accrue des ongles;
• vertiges;
• perte de cheveux, etc.

Traitement de la faiblesse

Le traitement de la faiblesse doit être basé sur l'élimination du facteur qui a provoqué son apparition.

Dans le cas des maladies infectieuses, la cause profonde est l’action d’un agent infectieux. Ici, ils postulent thérapie médicamenteuse appropriée, soutenu par les mesures nécessaires visant à accroître l’immunité.

Chez une personne en bonne santé, la faiblesse résultant du surmenage s'élimine d'elle-même. Mesures de contrôle de base - bon sommeil et repos.

Dans le traitement de la faiblesse causée par le surmenage, le surmenage nerveux, il est d'une grande importance restauration de la force nerveuse et augmentation de la stabilité du système nerveux. À cette fin, les mesures thérapeutiques visent avant tout à normaliser le régime de travail et de repos, en éliminant les facteurs négatifs et irritants. Utilisation efficace des fonds phytothérapie, massage.

Dans certains cas, éliminer les faiblesses nécessitera correction du régime, en y introduisant des aliments riches en vitamines et micro-éléments essentiels.

Quels médecins devez-vous contacter si vous vous sentez faible et épuisé ?

Questions et réponses sur le thème "Faiblesse"

Question:Bonjour! J'ai 48 ans, je travaille physiquement selon un horaire 2/2. Depuis environ un mois maintenant je me sens très fatigué, même un week-end de 2 jours ne me ramène pas à la normale. Le matin je me lève difficilement, il n'y a aucune sensation, puis je dors et je me repose. Cela fait maintenant 5 mois que je n'ai pas eu mes règles.

Répondre: Si vous n'avez pas eu vos règles depuis 5 mois, vous devez faire attention aux facteurs suivants : activité physique ; surmenage nerveux; troubles de l'alimentation; régimes stricts. De plus, une consultation en personne avec un gynécologue (kystes, fibromes, infections du système génito-urinaire) et un endocrinologue (diabète sucré, anomalies du système endocrinien, problèmes de glandes surrénales) est nécessaire. Il peut y avoir des problèmes d’équilibre hormonal. Pour vérifier cela, vous devez donner du sang. Si le diagnostic est confirmé, le médecin vous prescrira un traitement hormonal.

Question:Bonjour! J'ai 33 ans et j'ai (une femme) des douleurs au cou et une faiblesse.

Répondre: Peut-être l'ostéochondrose, vous avez besoin d'une consultation en personne avec un neurologue.

Question:Bonjour! Quand j'ai des douleurs dues à l'ostéochondrose, ma région épigastrique me fait mal, il y a peut-être un lien !

Répondre: En cas d'ostéochondrose de la colonne thoracique moyenne ou inférieure, des douleurs peuvent survenir dans la région épigastrique et dans l'abdomen. Ils sont souvent confondus avec des symptômes de maladies de l'estomac ou du pancréas, de la vésicule biliaire ou des intestins.

Question:faiblesse douleur dans l'omoplate droite depuis l'épaule rien à manger je ne veux pas ce qui ne va pas chez moi

Répondre: Il peut y avoir de nombreuses causes de douleur à l’omoplate droite. Nous vous recommandons de consulter un thérapeute en personne.

Question:Bonjour! J'ai 30 ans, j'avais la tuberculose, mais ma faiblesse est restée, elle a même empiré. Dis-moi quoi faire, c'est impossible de vivre !

Répondre: Les effets secondaires de l’utilisation de médicaments antituberculeux comprennent les muscles, les articulations, les maux de tête, la faiblesse, l’apathie et le manque d’appétit. La guérison de la tuberculose consiste à suivre une routine quotidienne, à établir une alimentation et une activité physique adéquate.

Question:Bonjour, dites-moi quel médecin dois-je consulter : je souffre de douleurs depuis 4-5 mois, d'apathie complète, de distraction, dernièrement de douleurs derrière les oreilles, je dois prendre des analgésiques. Les tests sont normaux. Je prends des perfusions intraveineuses à cause de maux de tête. Qu'est ce que ça pourrait être?

Répondre: Douleur derrière les oreilles : ORL (otite), neurologue (ostéochondrose).

Question:Bonjour! J'ai 31 ans, femme. Je me sens constamment faible, sans force, sans sommeil et apathique. J’ai souvent froid et je n’arrive pas à me réchauffer sous les couvertures pendant longtemps. J'ai du mal à me réveiller et j'ai envie de dormir pendant la journée.

Répondre: Effectuez un test sanguin général pour exclure une anémie. Vérifiez votre sang pour la thyréostimuline (TSH). Surveillez votre tension artérielle pendant plusieurs jours pour voir s'il y a une diminution de la pression. Consulter un neurologue : troubles circulatoires au niveau des vaisseaux de la colonne vertébrale et du cerveau.

Question:L'homme est âgé de 63 ans. ESR 52 mm/s. Ils ont vérifié les poumons : ils étaient propres, la bronchite chronique est typique d'un fumeur. Fatigué le matin, faibles dans les jambes. Le thérapeute lui a prescrit des antibiotiques pour la bronchite. Quel médecin dois-je contacter ?

Répondre: Un POP élevé peut être associé à une bronchite chronique chez les fumeurs. Causes courantes de faiblesse : anémie (prise de sang) et maladie thyroïdienne (endocrinologue), mais il est préférable de se soumettre à un examen complet.

Question:Bonjour ! Je suis une femme de 50 ans, en septembre 2017 j'ai souffert d'une anémie ferriprive en janvier 2018, la faiblesse persiste, j'ai toujours du mal à marcher, j'ai mal aux jambes, j'ai tout vérifié, la B12 est normale, l'IRM. du cerveau et de la moelle épinière, échographie de tous les organes, vaisseaux sanguins inférieurs des membres, tout est normal, ENMG est normal, mais je peux à peine marcher, qu'est-ce que ça peut être ?

Répondre: Si la cause de l’anémie n’est pas éliminée, elle peut réapparaître. De plus, votre glande thyroïde doit être vérifiée.

Question:Bonjour, je m'appelle Alexandra, il y a deux ans après mon accouchement, je suis sortie de l'hôpital avec des diagnostics d'anémie du deuxième degré et d'arythmie sinusale. Aujourd'hui, je me sens très mal, des vertiges, une faiblesse, de la fatigue, un stress constant, des nerfs, une dépression, des douleurs au cœur, parfois mes mains s'engourdissent, parfois je m'évanouis, ma tête est lourde, je ne peux pas travailler, je ne peux pas diriger une vie normale... deux enfants n'ont pas la force de sortir avec eux... s'il te plaît, dis-moi quoi faire et quoi faire...

Répondre: Faites-vous examiner, en commençant par un thérapeute. L’anémie et l’arythmie sinusale peuvent contribuer à votre état.

Question:Bon après-midi J'ai 55 ans. J'ai une transpiration abondante, une faiblesse, de la fatigue. J'ai l'hépatite C, les médecins disent qu'elle n'est pas active. Une balle de la taille d'un poing est ressentie du côté droit, sous le foie. Je me sens très mal, je consulte souvent des médecins, mais en vain. Ce qu'il faut faire? Ils m'envoient passer un examen payant, mais il n'y a pas d'argent, ils ne veulent pas m'hospitaliser, ils disent que je respire encore, que je ne suis pas encore tombé.

Répondre: Bonjour. Plaintes concernant des soins médicaux de mauvaise qualité - Hotline du ministère de la Santé : 8 800 200-03-89.

Question:Je vais chez le médecin depuis 14 ans. Je n'ai aucune force, une faiblesse constante, mes jambes sont faibles, je veux et je veux dormir. La thyroïde est normale, l'hémoglobine est faible. Ils l’ont récupéré, mais n’ont pas trouvé pourquoi. Le sucre est normal, mais la sueur coule comme de la grêle. Je n'ai aucune force, je peux mentir toute la journée. Aide, conseille quoi faire.

Répondre: Bonjour. Avez-vous consulté un cardiologue ?

Question:Bon après-midi S'il vous plaît dites-moi, j'ai une chondrose cervicale, ça fait souvent mal à l'arrière de la tête et irradie vers la partie frontale, surtout quand je tousse dans la partie frontale, ça donne mal. J'ai peur que ce soit un cancer, Dieu nous en préserve. Merci!

Répondre: Bonjour. C'est une manifestation de la chondrose cervicale.

Question:Bonjour! Une faiblesse sévère, en particulier au niveau des jambes et des bras, est apparue soudainement, il n'y a pas de maux de tête, il y a de l'anxiété et de l'excitation. J'ai vu un endocrinologue, un thérapeute, un cardiologue, fait une échographie de la cavité abdominale, fait des injections, mais la condition est la même : soit une forte lourdeur apparaît dans tout le corps, puis elle s'en va. Merci!

Répondre: Bonjour. Si l'endocrinologue, le thérapeute et le cardiologue n'ont rien trouvé, il ne reste plus qu'à consulter un neurologue pour exclure des troubles circulatoires dans les vaisseaux de la colonne vertébrale et du cerveau. Si une faiblesse apparaît à cause du stress ou de la dépression, consultez un psychothérapeute.

Question:Le matin, il y a une faiblesse sévère, un manque d’appétit, tout tremble à l’intérieur, la tête semble être dans le brouillard, la vision devient distraite, il n’y a pas de concentration, de peur, de dépression face à son état.

Répondre: Bonjour. Il peut y avoir de nombreuses raisons ; vous devez vérifier votre glande thyroïde, votre hémoglobine et consulter un neurologue et un psychothérapeute.

Question:Bonjour, depuis environ 2 semaines je me sens faible le soir, des nausées, je n'ai pas envie de manger et une indifférence face à la vie. Dis-moi, qu'est-ce que ça pourrait être ?

Répondre: Bonjour. Il peut y avoir de nombreuses raisons pour lesquelles vous devez consulter un thérapeute en personne, qui vous orientera vers un examen.

Question:Bonjour, j'ai 49 ans, je fais du fitness, je travaille mes jambes, mais dernièrement j'ai perdu des forces et j'ai des vertiges, je dors au moins 8 heures, mon hémoglobine est normale, j'ai vérifié ma thyroïde, je prends du magnésium. comme prescrit, ma tension artérielle est basse (toute ma vie). Veuillez indiquer ce qui doit être vérifié d'autre.

Répondre: Bonjour. Vous avez besoin d’une consultation en personne avec un neurologue au sujet des étourdissements.

Question:Bonjour, âgée de 25 ans, femme, faiblesse sévère, vertiges, apathie depuis environ un mois, envie constante de dormir, pas d'appétit. Dis moi quoi faire?

Répondre: Bonjour. Si cela se produit pendant la prise de médicaments, vous devriez en discuter avec votre médecin ; sinon, vous aurez besoin d'une consultation en personne avec un neurologue (étourdissements).

Question:Bonjour, j'ai une faiblesse constante en général, je ne peux pas vivre normalement, des problèmes de dos ont commencé et ma vie se dégrade, j'ai peur de ne pas trouver de solution au problème et je ne sais pas comment pour le résoudre, pouvez-vous recommander quelque chose ? Je suis très excité, je vis dans la peur, j'ai 20 ans, j'ai peur de devenir fou.

Répondre: Bonjour. Une faiblesse constante est un symptôme de nombreuses maladies et affections. Vous devez procéder à un examen - faire des analyses de sang : générales, biochimiques, hormones thyroïdiennes et vous rendre à un rendez-vous en personne avec un thérapeute et un psychologue.

Question:Bonjour! J'ai 22 ans. J'ai des vertiges depuis environ 4 jours maintenant. Et il peut être difficile de respirer et à cause de tout cela, je me sens faible et fatigué. Il y a une semaine, pendant deux jours après un dur week-end, mon nez saignait. Pouvez-vous me dire ce qui pourrait causer ces problèmes ? Merci d'avoir répondu.

Répondre: Il est possible que vous soyez fatigué. S'il vous plaît, dites-moi, avez-vous récemment eu des situations où vous dormiez mal et peu, ou passiez trop de temps devant l'ordinateur ? Les symptômes que vous avez décrits peuvent être dus à une augmentation de la pression artérielle ou à une hypertension intracrânienne. Je vous recommande de faire un M-ECHO, un EEG et de consulter un neurologue.

Question:Depuis 3 mois la température tourne autour de 37, bouche sèche, fatigue. Les analyses de sang et d'urine sont normales. Dernièrement, j'ai souvent souffert de maux de gorge et j'ai été traité avec des antibiotiques.

Répondre: Cette température n'est pas considérée comme élevée et, en l'absence de plaintes, ne nécessite pas de traitement, mais si vous craignez de la fatigue ou une bouche sèche, vous devez subir une série d'examens. Je vous recommande de faire un test bactériologique (culture de gorge), un test sanguin pour le sucre et un test pour les hormones thyroïdiennes (TSH, T3, T4, anticorps anti-TPO), car ces symptômes peuvent être une manifestation de nombreuses maladies. Je vous recommande également de faire une telle étude, un immunogramme et de consulter un immunologiste en personne.

Question:Bonjour, j'ai 34 ans, une femme, depuis environ 3 ans j'ai une faiblesse constante, un essoufflement, et parfois mes bras et mes jambes enflent. Il n'y a aucune douleur nulle part, les vertiges sont rares, gynécologiquement tout va bien, la tension artérielle est normale, seulement parfois il y a une température de 37,5 et plus, sans rhume, juste comme ça. Mais la faiblesse s'est aggravée ces derniers temps, surtout après le sommeil, et dernièrement, je ne peux en aucun cas guérir une infection respiratoire aiguë ou un rhume ; je tousse depuis un mois ou plus (pas fort). Je n’irai pas chez les médecins à ce sujet, je veux poser des questions ici. Est-ce un syndrome de fatigue chronique ? Et y a-t-il un moyen de s'en débarrasser ?

Répondre: Je vous conseille de vous soumettre impérativement à un examen complet, de vous rendre dans une clinique de troubles autonomes ou dans une clinique psychosomatique, où des consultations avec tous les spécialistes vous seront certainement prescrites (psychiatre, neurologue, endocrinologue, cardiologue). Après l’examen, les médecins prendront une décision à votre sujet. La psychothérapie est obligatoire dans tous les cas !

Question:Bonjour! J'ai 19 ans. Au cours de la semaine dernière, je ne me suis pas senti bien. L'estomac fait mal, parfois il irradie vers le bas du dos et parfois il y a de légères nausées. Fatigue, perte d'appétit (ou plutôt, parfois j'ai envie de manger, mais quand je regarde la nourriture j'ai la nausée), faiblesse. A quoi cela pourrait-il être lié ? Ma tension artérielle est toujours basse et j'ai des problèmes de glande thyroïde.

Répondre: Effectuez une prise de sang, une analyse d'urine et un examen gynécologique.

Question:Bonjour. J'ai 22 ans et, au travail, au bureau, je suis soudainement tombé malade. Elle s'est sentie étourdie et a presque perdu connaissance. Pas de fièvre, ni toux, ni nez qui coule. Pas un rhume. Cela ne s'était pas produit auparavant. Et je me sens toujours faible. Dernièrement, j'ai remarqué un état de fatigue, après le travail, je tombe, même si je travaille 8 heures, pas physiquement. J'exclus la grossesse, parce que... J'avais mes règles. Quels tests recommanderiez-vous de passer pour déterminer ce qui ne va pas ?

Répondre: Bonjour! Faites d’abord un test sanguin complet pour exclure l’anémie. Testez votre sang pour la thyréostimuline (TSH) n'importe quel jour de votre cycle. Surveillez votre tension artérielle pendant plusieurs jours pour voir s'il y a une diminution de la pression. Si rien n'est révélé, consultez également un neurologue pour exclure des troubles circulatoires dans les vaisseaux de la colonne vertébrale et du cerveau.