Les principaux signes et conséquences tragiques de la mort clinique. Qu'est-ce que la mort clinique - signes, durée maximale et conséquences pour la santé humaine Introduction à l'état du CS artificiellement

Depuis l’apparition de l’homme, il a toujours été tourmenté par les questions du mystère de la naissance et de la mort. Il est impossible de vivre éternellement et il ne faudra probablement pas longtemps avant que les scientifiques inventent un élixir d’immortalité. Tout le monde est préoccupé par la question de savoir ce que ressent une personne lorsqu'elle meurt. Que se passe-t-il en ce moment ? Ces questions ont toujours préoccupé les gens et jusqu'à présent, les scientifiques n'y ont pas trouvé de réponse.

Interprétation de la mort

La mort est Processus naturel la fin de notre existence. Sans cela, il est impossible d’imaginer l’évolution de la vie sur terre. Que se passe-t-il lorsqu'une personne décède ? Cette question a intéressé et continuera d’intéresser l’humanité aussi longtemps qu’elle existera.

Le décès prouve dans une certaine mesure qu'il s'agit de la survie du plus fort et du plus fort. Sans cela, le progrès biologique aurait été impossible et l’homme ne serait peut-être jamais apparu.

Malgré le fait que ce processus naturel a toujours intéressé les gens, parler de la mort est difficile et difficile. D'abord parce que ça se lève problème psychologique. En parlant de cela, nous semblons mentalement approcher de la fin de notre vie, c’est pourquoi nous ne voulons parler de la mort dans aucun contexte.

D’un autre côté, il est difficile de parler de la mort, car nous, les vivants, ne l’avons pas vécue, nous ne pouvons donc pas dire ce qu’une personne ressent lorsqu’elle meurt.

Certains comparent la mort au simple fait de s'endormir, tandis que d'autres soutiennent qu'il s'agit d'une sorte d'oubli, lorsqu'une personne oublie complètement tout. Mais ni l’un ni l’autre n’ont évidemment raison. Ces analogies ne peuvent pas être qualifiées d’adéquates. Nous pouvons seulement dire que la mort est la disparition de notre conscience.

Beaucoup continuent de croire qu'après sa mort, une personne passe simplement dans un autre monde, où elle n'existe pas au niveau corps physique, mais au niveau de l'âme.

On peut affirmer sans se tromper que la recherche sur la mort se poursuivra toujours, mais elle ne fournira jamais de réponse définitive sur ce que ressentent les gens en ce moment. C’est tout simplement impossible ; personne n’est jamais revenu de l’autre monde pour nous dire comment et ce qui s’y passe.

Que ressent une personne lorsqu’elle meurt ?

Les sensations physiques dépendent probablement à ce moment de ce qui a conduit à la mort. Ils peuvent donc être douloureux ou non, et certains pensent qu’ils sont plutôt agréables.

Chacun a ses propres sentiments intérieurs face à la mort. La plupart des gens ont une sorte de peur intérieure, ils semblent résister et ne veulent pas l'accepter, s'accrochant à la vie de toutes leurs forces.

Des preuves scientifiques montrent qu'après l'arrêt du muscle cardiaque, le cerveau vit encore quelques secondes, la personne ne ressent plus rien mais reste consciente. Certains pensent que c’est à ce moment que se résument les résultats de la vie.

Malheureusement, personne ne peut répondre à la question de savoir comment une personne meurt et ce qui se passe. Toutes ces sensations sont très probablement strictement individuelles.

Classification biologique du décès

Le concept même de mort étant un terme biologique, la classification doit être abordée de ce point de vue. Sur cette base, on peut distinguer les catégories de décès suivantes :

1. Naturel.
2. Non naturel.

La mort naturelle peut être classée comme mort physiologique, qui peut survenir en raison de :

• Vieillissement du corps.
• Sous-développement fœtal. Par conséquent, il meurt presque immédiatement après la naissance ou alors qu’il est encore dans l’utérus.

La mort non naturelle est divisée selon les types suivants :

• Décès par maladie (infections, maladies cardiovasculaires).
• Soudain.
• Soudain.
• Mort par facteurs externes (dommages mécaniques, insuffisance respiratoire, exposition à un courant électrique ou à de basses températures, intervention médicale).

C’est ainsi que l’on peut grossièrement caractériser la mort avec point biologique vision.

Classification socio-juridique

Si nous parlons de la mort dans cette perspective, cela peut être :

• Violent (meurtre, suicide).
• Non-violent (épidémies, accidents du travail, maladies professionnelles).

La mort violente est toujours associée à une influence extérieure, tandis que la mort non violente est causée par une mollesse sénile, une maladie ou un handicap physique.

Avec tout type de décès, de dommages ou de déclencheurs de maladies processus pathologiques, qui sont la cause directe du décès.

Même si la cause du décès est connue, il est toujours impossible de dire ce qu'une personne voit lorsqu'elle meurt. Cette question restera sans réponse.

Signes de mort

Il est possible de distinguer l'initiale et signes fiables, qui indiquent que la personne est décédée. Le premier groupe comprend :

• Le corps est immobile.
• Peau pâle.
• Il n'y a pas de conscience.
• La respiration s'est arrêtée, pas de pouls.
• Il n'y a aucune réaction aux stimuli externes.
• Les pupilles ne réagissent pas à la lumière.
• Le corps devient froid.

Signes indiquant un décès à 100 % :

• Le cadavre est engourdi et froid, et des taches cadavériques commencent à apparaître.
• Manifestations cadavériques tardives : décomposition, momification.

Les premiers signes peuvent être confondus par une personne ignorante avec perte de conscience, c'est pourquoi seul un médecin doit prononcer le décès.

Étapes de la mort

La mort peut prendre différentes périodes temps. Cela peut durer quelques minutes, voire dans certains cas des heures ou des jours. Mourir est un processus dynamique dans lequel la mort ne survient pas immédiatement, mais progressivement, si l'on ne parle pas de mort instantanée.

Vous pouvez sélectionner prochaines étapes en train de mourir:

1. État préagonal. Les processus de circulation sanguine et de respiration sont perturbés, ce qui conduit au fait que les tissus commencent à manquer d'oxygène. Cette condition peut durer plusieurs heures ou plusieurs jours.
2. Pause terminale. La respiration s'arrête, le travail du muscle cardiaque est perturbé et l'activité cérébrale s'arrête. Cette période ne dure que quelques minutes.
3. Agonie. Le corps commence soudain à lutter pour sa survie. À ce stade, de courtes pauses respiratoires et un affaiblissement de l'activité cardiaque se produisent, ce qui empêche tous les systèmes organiques de fonctionner normalement. Changements apparence personne : les yeux s'enfoncent, le nez devient pointu, la mâchoire inférieure commence à s'affaisser.
4. Mort clinique. La respiration et la circulation sanguine s'arrêtent. Pendant cette période, une personne peut encore être réanimée si 5 à 6 minutes au maximum se sont écoulées. C’est après le retour à la vie à ce stade que beaucoup de gens parlent de ce qui se passe lorsqu’une personne meurt.
5. Mort biologique. Le corps cesse enfin d'exister.

Après la mort, de nombreux organes restent viables pendant plusieurs heures. C’est très important et c’est pendant cette période qu’ils peuvent être utilisés pour une transplantation chez une autre personne.

Décès clinique

On peut l'appeler une étape de transition entre la mort définitive de l'organisme et la vie. Le cœur cesse de fonctionner, la respiration s’arrête, tous les signes des fonctions vitales du corps disparaissent.

En 5 à 6 minutes, les processus irréversibles n'ont pas encore commencé dans le cerveau, il y a donc actuellement toutes les chances de ramener une personne à la vie. Adéquat actions de réanimation fera à nouveau battre le cœur et faire fonctionner les organes.

Signes de mort clinique

Si vous observez attentivement une personne, vous pouvez facilement déterminer le début de la mort clinique. Elle présente les symptômes suivants :

1. Il n'y a pas de pouls.
2. La respiration s'arrête.
3. Le cœur cesse de fonctionner.
4. Pupilles très dilatées.
5. Il n'y a pas de réflexes.
6. La personne est inconsciente.
7. La peau est pâle.
8. Le corps est dans une position non naturelle.

Pour déterminer le début de ce moment, vous devez sentir le pouls et regarder les pupilles. La mort clinique diffère de la mort biologique dans la mesure où les pupilles conservent la capacité de réagir à la lumière.

Le pouls peut être ressenti dans l'artère carotide. Ceci est généralement effectué simultanément à l'examen des pupilles afin d'accélérer le diagnostic de mort clinique.

Si une personne n'est pas aidée pendant cette période, alors mort biologique, et il sera alors impossible de le ramener à la vie.

Comment reconnaître l'approche de la mort

De nombreux philosophes et médecins comparent le processus de naissance et de mort. Ils sont toujours individuels. Il est impossible de prédire avec précision quand une personne quittera ce monde et comment cela se produira. Cependant, la plupart des mourants éprouvent des symptômes similaires à l’approche de la mort. La façon dont une personne meurt peut même ne pas être influencée par les raisons qui ont déclenché le début de ce processus.

Juste avant la mort, certains troubles psychologiques et changements physiques. Parmi les plus frappants et les plus fréquemment rencontrés figurent les suivants :

1. Il reste de moins en moins d'énergie et une somnolence et une faiblesse dans tout le corps surviennent souvent.
2. La fréquence et la profondeur de la respiration changent. Les périodes d'arrêt sont remplacées par des respirations fréquentes et profondes.
3. Des changements se produisent dans les sens, une personne peut entendre ou voir quelque chose que les autres ne peuvent pas entendre.
4. L'appétit s'affaiblit ou disparaît pratiquement.
5. Les changements dans les systèmes organiques conduisent à l'apparition de trop urine foncée et des selles difficiles à évacuer.
6. Il y a des fluctuations de température. Le haut peut soudainement céder la place au bas.
7. La personne se désintéresse complètement du monde extérieur.

Lorsqu’une personne est gravement malade, d’autres symptômes peuvent survenir avant son décès.

Les sentiments d'une personne au moment de la noyade

Si vous posez la question de savoir comment une personne se sent lorsqu'elle décède, la réponse peut dépendre de la cause et des circonstances du décès. Cela se produit différemment pour chacun, mais dans tous les cas, il y a actuellement un manque aigu d'oxygène dans le cerveau.

Après l'arrêt du mouvement du sang, quelle que soit la méthode, après environ 10 secondes, la personne perd connaissance et, un peu plus tard, la mort du corps survient.

Si la cause du décès est la noyade, dès qu'une personne se retrouve sous l'eau, elle commence à paniquer. Comme il est impossible de se passer de respiration, après un certain temps, la personne qui se noie doit respirer, mais au lieu de l'air, de l'eau pénètre dans les poumons.

À mesure que les poumons se remplissent d’eau, une sensation de brûlure et de plénitude apparaît dans la poitrine. Peu à peu, après quelques minutes, le calme apparaît, ce qui indique que la conscience va bientôt quitter la personne, ce qui entraînera la mort.

La durée de vie d’une personne dans l’eau dépendra également de sa température. Plus il fait froid, plus vite le corps devient en hypothermie. Même si une personne est à flot et non sous l’eau, les chances de survie diminuent à chaque minute.

Un corps déjà sans vie peut encore être sorti de l’eau et ramené à la vie si trop de temps ne s’est écoulé. La première chose à faire est de libérer Voies aériennes de l'eau, puis effectuez des mesures de réanimation complètes.

Sentiments lors d'une crise cardiaque

Dans certains cas, il arrive qu’une personne tombe subitement et meure. Le plus souvent, la mort par crise cardiaque ne survient pas soudainement, mais le développement de la maladie se produit progressivement. L'infarctus du myocarde n'affecte pas immédiatement une personne ; pendant un certain temps, les personnes peuvent ressentir une certaine gêne au niveau de la poitrine, mais essayez de ne pas y prêter attention. C'est une grosse erreur qui se termine par la mort.

Si vous êtes sujet aux crises cardiaques, ne vous attendez pas à ce que les choses disparaissent d’elles-mêmes. Un tel espoir peut vous coûter la vie. Après un arrêt cardiaque, quelques secondes seulement s'écouleront jusqu'à ce que la personne perde connaissance. Encore quelques minutes, et la mort emporte déjà notre proche.

Si le patient est à l'hôpital, il a la possibilité de sortir si les médecins détectent à temps un arrêt cardiaque et effectuent des mesures de réanimation.

Température corporelle et mort

Beaucoup de gens s'intéressent à la question de savoir à quelle température une personne meurt. La plupart des gens se souviennent, grâce aux cours de biologie à l'école, que pour les humains, une température corporelle supérieure à 42 degrés est considérée comme mortelle.

Certains scientifiques attribuent les décès à haute température avec les propriétés de l'eau dont les molécules changent de structure. Mais ce ne sont là que des suppositions et des hypothèses que la science n’a pas encore prises en compte.

Si nous considérons la question de savoir à quelle température une personne meurt, lorsque l'hypothermie du corps commence, nous pouvons alors dire que déjà lorsque le corps se refroidit à 30 degrés, une personne perd connaissance. Si aucune mesure n'est prise à ce moment-là, la mort surviendra.

De nombreux cas de ce genre arrivent à des personnes ivresse qui s'endort dans heure d'hiver dans la rue et ne me réveille plus jamais.

Changements émotionnels à la veille de la mort

Habituellement, avant la mort, une personne devient complètement indifférente à tout ce qui se passe autour d'elle. Il cesse de s'orienter dans le temps et les dates, se tait, mais certains, au contraire, commencent à parler constamment du chemin à parcourir.

Un proche mourant peut commencer à vous dire qu’il a parlé ou vu des proches décédés. Une autre manifestation extrême à cette époque est un état de psychose. Il est toujours difficile pour les proches de supporter tout cela, vous pouvez donc consulter un médecin et obtenir des conseils pour prendre médicaments pour soulager la condition des mourants.

Si une personne tombe dans un état de stupeur ou dort souvent pendant une longue période, n'essayez pas de la réveiller ou de la réveiller, soyez simplement là, tenez-lui la main, parlez. De nombreuses personnes, même dans le coma, peuvent tout entendre parfaitement.

La mort est toujours difficile ; chacun de nous franchira en temps voulu cette frontière entre la vie et la non-existence. Quand cela se produit et dans quelles circonstances, ce que vous en ressentirez est malheureusement impossible à prédire. Il s'agit d'un sentiment purement individuel pour chacun.

La mort clinique est l’une des conditions les plus mystérieuses de la médecine. Les histoires des personnes qui l'ont vécu ne peuvent toujours pas être entièrement expliquées avec point scientifique vision. Qu'est-ce que la mort clinique et en quoi diffère-t-elle des autres décès extrêmement graves ? maladie grave qu'est-ce qu'on appelle le coma ? Dans quel cas parle-t-on de mort biologique, et comment s’opère la réhabilitation des patients après avoir été entre deux mondes ?

Qu'est-ce que la mort clinique

La mort clinique est un état intermédiaire entre la vie et la mort. Elle est réversible, c'est-à-dire que sous certaines mesures médicales, les fonctions vitales du corps humain peuvent être complètement restaurées. Cependant, la durée de la mort clinique avant qu'elle ne devienne biologique est très courte et n'est que de 4 à 6 minutes. La rapidité des mesures de réanimation dépend donc de autre destin personne.

Une caractéristique de la mort clinique...

0 0

Combien de temps une personne peut-elle rester en état de mort clinique ? Cela dépend de nombreux facteurs : le type de mourant, ses conditions, la température corporelle, l’âge du mourant, etc. La mort survient généralement parce que les organes et les tissus ne reçoivent plus l’oxygène dont ils ont besoin. Si vous parvenez à récupérer les problèmes cardiovasculaires et système respiratoire, alors la personne reviendra à la vie.

Mais le problème est que certaines cellules du corps ne peuvent pas exister longtemps sans oxygène. Le plus fonctions complexes effectuer des tissus, moins ils sont viables. Le tissu le plus organisé du corps est le cortex cérébral. On pense que la mort clinique est déterminée par l'intervalle de temps pendant lequel le cortex cérébral peut survivre sans circulation sanguine ni respiration. Selon les médecins, dans des conditions normales, cela ne dure pas plus de 5 à 7 minutes.

Mais cela ne rentre pas toujours dans ces minutes. En cas de perte de sang importante, une personne meurt instantanément. Par contre, il existe des cas connus de relance réussie même après 12-22...

0 0

La mort clinique est une étape réversible de la mort, une période de transition entre la vie et la mort biologique. A ce stade, l’activité du cœur et le processus respiratoire s’arrêtent, tous les signes extérieurs de l’activité vitale du corps disparaissent complètement. Dans ce cas, l'hypoxie ( manque d'oxygène) ne provoque pas de modifications irréversibles dans les organes et systèmes qui y sont les plus sensibles.

Cette période l'état terminal, à l'exception de cas rares et occasionnels, ne dure en moyenne pas plus de 3 à 4 minutes, maximum 5 à 6 minutes (avec une durée initialement réduite ou température normale corps).

Troisième étape de la mort

La mort clinique est un état du corps humain dans lequel il n'y a plus signes primaires vie - la respiration s'arrête, la fonction cardiaque s'arrête, il n'y a aucun signe visible d'activité centrale système nerveux(personne inconsciente). Cette condition peut paraître inexplicable, mais seulement à première vue, si elle est considérée isolément, en elle-même...

0 0

Cette période d'état terminal, à l'exception des cas rares et casuistiques, ne dure en moyenne pas plus de 3 à 4 minutes. La durée de la mort clinique est déterminée par la période pendant laquelle les services supérieurs. En moyenne, à partir du moment où la respiration spontanée et le rythme cardiaque cessent jusqu'au début de la mort biologique. Les signes répertoriés font référence à stade initial mort clinique.. À ce stade, l'activité du cœur et le processus respiratoire s'arrêtent. Résumé articles Description et symptômes du phénomène. Cependant, la durée de la mort clinique avant qu'elle ne devienne biologique est très courte et ne s'élève qu'à 4 à 6 minutes. Dans des conditions normales, la durée de la mort clinique ne dépasse pas 5 à 6 minutes. La mort clinique est une étape réversible de la mort, une période de transition entre la vie et la mort biologique. Signes de mort clinique. 4. Durée de la mort clinique... La mort se compose de deux phases de mort clinique et biologique....

0 0

Le prêtre Alexy Timakov, de par sa profession laïque, est réanimateur et a travaillé pendant de nombreuses années dans l'unité et le service de soins intensifs soins intensifs. Quel genre d'expérience une personne vit-elle en voyant chaque jour comment les gens quittent la vie et comment ils quittent... la mort, reviennent à la vie ? Qu’y a-t-il au-delà de la tombe ? Et comment se préparer... non, pas à la mort, mais à la vie éternelle, la vraie vie? Notre conversation avec le Père Alexy porte sur cela. Et bien sûr, nous ne pouvions nous empêcher de nous renseigner et spécificités médicales réanimation.

Père Alexy, expliquez le sens de la réanimation avec point médical vision?

La réanimation est, pour faire simple, un ensemble de mesures visant à réanimer une personne en état de mort clinique. Et la mort clinique est un arrêt de la circulation sanguine et de la respiration, mais surtout de la circulation sanguine.

Pourquoi la circulation sanguine s'arrête-t-elle ? Le cœur cesse-t-il de fonctionner ?

Il arrive que le cœur s'arrête : un coup - et ça y est, il a coulé et n'a pas coulé...

0 0

La mort clinique est une condition humaine dans laquelle il n’y a aucun signe de vie. DANS dans ce cas les tissus et les organes restent vivants.

La mort clinique est une condition réversible et, si elle est assurée en temps opportun, soins médicaux le patient peut être ramené à la vie.

Étapes de la mort clinique

Le début de la mort clinique est observé après l'arrêt de la circulation sanguine dans le corps humain, de la respiration et du pouls. Pendant cette période, les modifications nécrotiques des tissus ne se développent pas encore.

La durée de cet état est en moyenne de 3 à 6 minutes. Durant cette période, les parties du cerveau maintiennent leur viabilité. La mise en œuvre rapide des procédures de réanimation garantit le retour à la vie du patient.

Il existe deux étapes de la mort au cours desquelles le patient a la possibilité de revenir à la vie.

Au premier stade de la mort clinique, on observe l'apparition de troubles cérébraux. Au cours de cette période...

0 0

Signes de mort clinique

La mort clinique est généralement déterminée par les signes suivants :

L'homme a perdu connaissance. Cette condition survient généralement dans les 15 secondes suivant l’arrêt de la circulation. Important : la circulation sanguine ne peut pas s'arrêter si une personne est consciente ; Il est impossible de déterminer le pouls dans la zone des artères carotides en 10 secondes. Ce signe indique que l'apport sanguin au cerveau s'est arrêté et que très bientôt les cellules du cortex cérébral vont mourir. Artère carotide situé dans l'évidement séparant le muscle sternocléidomastoïdien et la trachée ; la personne a complètement arrêté de respirer ou, en raison d'un manque de respiration, les muscles respiratoires se contractent périodiquement de manière convulsive (cet état de déglutition d'air est appelé respiration atonale, se transformant en apnée) ; les pupilles d'une personne se dilatent et cessent de répondre à la source de lumière. Ce symptôme est une conséquence de l'arrêt de l'apport sanguin aux centres cérébraux et au nerf responsable du mouvement...

0 0

Mort clinique la plus longue

État limite

Pour faire simple, la mort est le moment de la cessation de tout processus physiologiques dans les tissus et les cellules d’un organisme autrefois vivant. Cela peut être soudain quand changements irréversibles surviennent presque instantanément et peuvent s’accompagner d’un état limite appelé mort clinique. Comme l'a dit le scientifique russe, créateur de la réanimation, V.A. Negovsky n'est pas encore la mort, mais ce n'est plus la vie. C'est une sorte de seuil, figé, auquel corps humain peut se déplacer : revenir à la vie, ou avancer, vers la mort biologique.

Premier mandat

Le temps passé dans cet état détermine la qualité de vie après le retour. La période pendant laquelle il existe une probabilité maximale que le corps fonctionne normalement est d'un peu plus de cinq minutes. C'est la période pendant laquelle les parties responsables du cerveau restent viables en l'absence d'oxygène, disent les experts...

0 0

10

Les principales étapes de la mort sont l'état préagonal, la pause terminale, l'agonie, la mort clinique et biologique.

L'état préagonal est une étape de la mort, caractérisée par une forte diminution du niveau de pression artérielle, d'abord tachycardie et tachypnée, puis bradycardie et bradypnée, dépression progressive de la conscience, activité électrique du cerveau et des réflexes du tronc cérébral et augmentation de la profondeur du manque d'oxygène de tous les organes et tissus. Avec un état préagonal dans dans une certaine mesure le quatrième stade du choc de torpeur peut être identifié.

L'état préagonal se termine par une pause terminale de la respiration, qui coïncide généralement avec un fort ralentissement du pouls pouvant aller jusqu'à une asystolie temporaire.

L'agonie est l'étape de la mort qui précède la mort, caractérisée par la dernière poussée d'activité vitale. Pendant la période d'agonie, les fonctions des parties supérieures du cerveau sont désactivées, la régulation des fonctions physiologiques est assurée par les centres bulbaires et est primitive,...

0 0

11

La mort clinique est une période de mort réversible, conditionnellement à court terme, une étape de transition de la vie à la mort. Durant cette période, l'activité cardiaque et les fonctions respiratoires s'arrêtent, tous les signes extérieurs de vitalité disparaissent complètement. Tandis que l'hypoxie (manque d'oxygène) n'entraîne pas de changements irréversibles dans les organes et systèmes les plus sensibles. Cette période d'état terminal sauf Cas rares et la casuistique, ne dure en moyenne pas plus de 3 à 4 minutes, maximum 5 à 6 minutes (à température corporelle initialement basse ou normale)

Signes de mort clinique

Perte de conscience

Absence de pouls dans les gros vaisseaux

Manque de respiration

La présence de complexes ventriculaires sur l'ECG

Durée du décès clinique

Déterminé par la période pendant laquelle sections supérieures Le cerveau (substance sous-corticale et en particulier le cortex) peut maintenir sa viabilité dans des conditions de manque d'oxygène (hypoxie). Description du personnage...

0 0

12

Mort clinique : de quel type de maladie il s'agit, comment elle se manifeste, symptômes. Commentaires de ceux qui ont connu une mort clinique

« Soudain, j'ai rêvé que mon âme avait quitté mon corps et flottait au-dessus du plafond. Un calme inhabituel emplissait le corps. Mais ici, tout était plongé dans l’obscurité, et seule une lueur lointaine apparaissait quelque part au loin. Voilà à quoi ressemblent les souvenirs d’une personne ayant connu une mort clinique. De quel type de phénomène il s’agit et comment il se produit – nous le décrirons dans cet article. Science et ésotérisme cet état interprété différemment.

Description et symptômes du phénomène

Mort clinique - Terme médical, désignant la cessation de deux les conditions les plus importantes pour soutenir vie humaine– la circulation sanguine et la respiration.

Parmi les principaux signes de la maladie :

Quelques secondes après l'apnée et l'asystolie, une perte de conscience survient ; Le cerveau continue de vivre et de travailler ; Les pupilles se dilatent et ne se contractent pas lorsqu'elles sont exposées à la lumière. Cela se produit à cause d'une dystrophie...

0 0

13

Les scientifiques ont mené des recherches et identifié une liste des scénarios les plus courants. Les sensations individuelles étaient à la fois indépendantes et en groupe avec d'autres.

1. Long couloir

Nous avons eu la chance de constater le passage d'un couloir éclairé au bout du chemin dans 42% des cas. Les gens y voyaient quelque chose de divin, ou leurs proches décédés.

2. L'amour absolu

69 % des personnes ont ressenti un merveilleux sentiment d’amour absolu.

3. Capacités télépathiques

65 % des sujets ont montré d’incroyables capacités à communiquer de manière non verbale avec des personnes ou des créatures.

4. Joie, admiration

Dans 56 % des cas, ils ont éprouvé de l’admiration à la rencontre de créatures divines et de la joie à la rencontre de proches. Les gens étaient heureux d'être là.

Dans 56 % des cas, les gens ont déclaré avoir vu la divinité la plus élevée : Dieu. Étonnamment, sa présence a été ressentie même par 75 % des athées convaincus.

6. Connaissance absolue

Des capacités insondables...

0 0

14

Arrêt cardiaque et coma cérébral: mort clinique d'un point de vue médical

"L'homme est mortel, mais son principal problème est qu'il devient soudainement mortel", ces mots, mis par Boulgakov dans la bouche de Woland, décrivent parfaitement les sentiments de la plupart des gens. Il n’y a probablement personne qui n’ait pas peur de la mort. Mais à côté de la grande mort, il y a une petite mort – clinique. Qu'est-ce que c'est, pourquoi les personnes qui ont connu la mort clinique voient-elles souvent la lumière divine, et n'est-ce pas un chemin retardé vers le ciel - dans le matériel M24.ru.

La mort clinique d'un point de vue médical

Les problèmes liés à l’étude de la mort clinique en tant qu’état limite entre la vie et la mort restent l’un des plus importants de la médecine moderne. Il est également difficile de percer ses nombreux mystères, car de nombreuses personnes ayant connu une mort clinique ne se rétablissent pas complètement, et plus de la moitié des patients atteints d'une maladie similaire ne peuvent pas être réanimés et meurent déjà...

0 0

15

La mort clinique – comme un portail entre la vie et la mort La mort clinique a un point de retour au monde réel, c'est pourquoi beaucoup considèrent cette condition humaine comme un portail entre la vie et la mort. Aucun scientifique ne peut dire de manière fiable si une personne en état de mort clinique est morte ou vivante. Des enquêtes auprès d'un grand nombre de personnes ont montré que beaucoup d'entre elles se souviennent parfaitement de tout ce qui leur est arrivé. Mais d'un autre côté, du point de vue des médecins, en état de mort clinique, les patients ne montrent aucun signe de vie, et le retour au monde réel se fait grâce aux mesures de réanimation en cours.

Concept de mort clinique

Le concept même de mort clinique a été introduit dans la seconde moitié du siècle dernier. C'était une période de développement des technologies de réanimation, qui permettaient de ramener une personne à la vie quelques minutes après qu'elle ait cessé de montrer des signes de vie. Des gens qui ont été ramenés d'un état de mort clinique, comme...

0 0

Décès clinique

Décès clinique- le stade réversible de la mort, la période de transition entre la vie et la mort. A ce stade, l’activité du cœur et de la respiration s’arrête, tous les signes extérieurs de l’activité vitale du corps disparaissent complètement. Dans le même temps, l'hypoxie (manque d'oxygène) n'entraîne pas de changements irréversibles dans les organes et les systèmes qui y sont les plus sensibles. Cette période d'état terminal, à l'exception de cas rares et casuistiques, ne dure en moyenne pas plus de 3 à 4 minutes, maximum 5 à 6 minutes (à température corporelle initialement basse ou normale).

Signes de mort clinique

Les signes de mort clinique comprennent : le coma, l'apnée, l'asystolie. Cette triade concerne période au début mort clinique (lorsque plusieurs minutes se sont écoulées depuis l'asystolie) et ne s'applique pas aux cas où il existe déjà des signes évidents de mort biologique. Plus le délai entre la déclaration du décès clinique et le début des mesures de réanimation est court, plus les chances de survie du patient sont grandes, c'est pourquoi le diagnostic et le traitement sont effectués en parallèle.

Traitement

Le principal problème est que le cerveau cesse presque complètement de fonctionner peu de temps après un arrêt cardiaque. Il s'ensuit qu'en état de mort clinique, une personne, en principe, ne peut rien ressentir ni expérimenter.

Il y a deux manières d'expliquer ce problème. Selon la première, la conscience humaine peut exister indépendamment de cerveau humain. Et les expériences de mort imminente pourraient bien servir de confirmation de l'existence vie après la mort. Cependant, ce point de vue ne constitue pas une hypothèse scientifique.

La plupart des scientifiques considèrent de telles expériences comme des hallucinations causées par une hypoxie cérébrale. Selon ce point de vue, les expériences de mort imminente sont vécues par des personnes non pas dans un état de mort clinique, mais à des stades antérieurs de mort cérébrale pendant la période de l'état préagonal ou de l'agonie, ainsi que pendant le coma, après que le patient a été réanimé.

Du point de vue de la physiologie pathologique, ces sensations sont d'origine tout à fait naturelle. En raison de l’hypoxie, la fonction cérébrale est inhibée de haut en bas, du néocortex à l’archéocortex.

Remarques

voir également

Littérature

• Sumin S.A. Conditions d'urgence. - Médical Agence de renseignements, 2006. - 800 p. - 4000 exemplaires. -ISBN5-89481-337-8

Fondation Wikimédia. 2010.

• Ville satellite
• États terminaux

Voyez ce qu'est « la mort claire » dans d'autres dictionnaires :

Décès clinique- Voir le dictionnaire de la mort des termes commerciaux. Akademik.ru. 2001... Dictionnaire des termes commerciaux

DÉCÈS CLINIQUE- dépression profonde mais réversible (si une assistance médicale est apportée en quelques minutes) fonctions vitales au point d'arrêter la respiration et la circulation sanguine... Dictionnaire juridique

DÉCÈS CLINIQUE Encyclopédie moderne

DÉCÈS CLINIQUE - état terminal, dans lequel il n'y a pas signes visibles vie (activité cardiaque, respiration), les fonctions du système nerveux central s'estompent, mais restent processus métaboliques dans les tissus. Dure plusieurs minutes, laisse place au biologique... ... Grand dictionnaire encyclopédique

Décès clinique- MORT CLINIQUE, état terminal dans lequel il n'y a aucun signe visible de vie (activité cardiaque, respiration), les fonctions du système nerveux central s'estompent, mais les processus métaboliques dans les tissus sont préservés. Dure quelques minutes... Dictionnaire encyclopédique illustré

décès clinique- un état terminal (limite entre la vie et la mort), dans lequel il n'y a aucun signe visible de vie (activité cardiaque, respiration), les fonctions du système nerveux central s'estompent, mais contrairement à la mort biologique, dans laquelle... ... Dictionnaire encyclopédique

Décès clinique- un état du corps caractérisé par l'absence signes extérieurs vie (activité cardiaque et respiration). Pendant K. s. les fonctions du système nerveux central s'estompent, mais les processus métaboliques sont toujours préservés dans les tissus. K. s.... ... Grande Encyclopédie Soviétique

DÉCÈS CLINIQUE- état terminal (limite entre la vie et la mort), dans lequel il n'y a aucun signe visible de vie (activité cardiaque, respiration), les fonctions du centre s'estompent. nerf. systèmes, mais contrairement au biol. la mort, avec la restauration de la vie... ... Sciences naturelles. Dictionnaire encyclopédique

Décès clinique- un état limite entre la vie et la mort, dans lequel il n'y a aucun signe visible de vie (activité cardiaque, respiration), les fonctions du système nerveux central s'estompent, mais les processus métaboliques dans les tissus sont préservés. Dure quelques minutes... Encyclopédie médico-légale

Tous les faits ci-dessous peuvent être appelés dossiers médicaux, sauf entre guillemets. De toute façon…

1. Température corporelle la plus élevée

En 1980, une sorte de record a été établi à Atlanta pour la température corporelle la plus élevée - 46,5°C. Dieu merci, le patient a survécu après être resté à l'hôpital pendant plus de 3 semaines. Juste... Tout à l'heure, j'ai regardé spécifiquement le thermomètre, là Température maximale– 42C. Je me demande avec quoi ils l'ont mesuré ? Et même à 43 °C, une personne ne peut plus vivre. Tout ce que vous avez à faire, c'est de me croire sur parole.

2. Température corporelle la plus basse

Et voici le plus basse température corps a été enregistré chez une petite fille en 1994 au Canada. Carly est restée dans le froid – 22 °C pendant environ 6 heures. Après une « marche » aussi aléatoire, sa température était de 14,2°C. Cependant, à 24°C, des changements irréversibles se produisent déjà dans le corps. Eh bien, oui, tout peut arriver.

3. Manie de déglutition

Quels genres de troubles mentaux on ne trouve pas chez les gens ! Par exemple, une dame de 42 ans a souffert état obsessionnel, dans lequel elle a avalé tout ce qui lui tombait sous la main. 2 533 objets ont été retirés de son ventre, dont 947 épingles. Dans le même temps, le patient n'a pratiquement rien ressenti, à l'exception d'un léger inconfort au niveau de l'abdomen.

4. Manie de mâcher

Il y a encore une chose « intéressante » désordre mental, dans lequel les patients aiment se mâcher les cheveux. Lors de la mastication, une partie des poils finit inévitablement dans l’estomac. Voici une telle boule de poils, ne pesant que 2,35 kg. a été extrait de l’estomac d’un patient.

5. Manie des tablettes

Lorsque vous êtes malade, vous devez prendre des médicaments, que vous le vouliez ou non. Et il y a ceux qui aiment prendre des pilules avec ou sans raison. Quelque chose a été poignardé quelque part, c'est tout, juste une pilule ! Voici un citoyen du Zimbabwe qui a pris 565 939 comprimés en 21 ans. Je me demande qui les a comptés ?!

6. Manie d’insuline

Et le Britannique S. Davidson a réalisé 78 900 injections d’insuline au cours de sa vie.

7. Engagement envers les opérations

L'Américain C. Jensen a été encore moins chanceux. En 40 ans, il a reçu 970 interventions chirurgicales pour l'ablation des tumeurs.
\

8. Opération la plus longue

L'opération la plus longue de l'histoire de la chirurgie a été l'ablation d'un kyste de l'ovaire. Sa durée était de 96 heures ! Le kyste lui-même pesait 140 kg et le patient pesait 280 kg avant l'intervention chirurgicale.

9. Le plus gros arrêt cardiaque

En médecine, on pense qu'après un arrêt cardiaque de cinq minutes, des processus irréversibles se produisent dans le cerveau. DANS période froide le moment de la mort clinique peut augmenter légèrement. Cependant, la vie prouve de manière persistante et répétée l’erreur d’une telle opinion scientifique. Après qu'un pêcheur norvégien soit tombé dans une forêt et se soit retrouvé eau froide, sa température corporelle est tombée à 24°C. Mais mon cœur n’a pas battu pendant 4 heures ! L’homme a non seulement eu un cœur réparé, mais il s’est ensuite complètement rétabli.

10. Le plus grand nombre d'arrêts cardiaques

Mais le cœur du coureur David Perley s'est arrêté 6 fois. Après une course en 1977, il a dû freiner brusquement et sur seulement 66 cm. réduire la vitesse de 173 km/h à zéro. En raison de l'énorme surcharge, il a subi 3 luxations et 29 fractures.
Puisse aucun de nous ne devenir un détenteur de record aussi douteux !

Le terme « mort clinique » est apparu lorsque les médecins ont réalisé qu'après un arrêt cardiaque, ils disposaient de 3 à 5 minutes supplémentaires pour ressusciter le patient d'entre les morts. Le patient n'a pas de circulation sanguine ni de réflexes à ce moment-là, mais le métabolisme cellulaire se poursuit en anaérobie. Si les médecins parviennent à rétablir l'apport d'oxygène au moins au cerveau avant que les réserves du corps ne soient épuisées, alors celui-ci pourra conserver toutes ses fonctions et vous vous en sortirez.

Il y a cependant peu d’espoir. Institut National Les troubles neurologiques et de communication aux États-Unis ont analysé les statistiques des 9 plus grands hôpitaux du pays : 91 % des patients soumis à une réanimation sont néanmoins décédés. Parmi ceux qui nous sont retournés, 4 % « avaient des violations des plus hautes activité nerveuse et nécessitait des soins extérieurs. Et seulement 5 % se sont complètement rétablis. Nous percevons ces personnes comme des messagers de l’autre monde. Et ils en profitent pleinement. Beaucoup de ceux qui ont été réanimés par la suite disent que, pendant qu'ils étaient morts, ils ont volé à travers des tunnels sombres vers la lumière, ont rencontré des êtres divins et des parents bien-aimés (décédés), ont observé leur résurrection depuis les coulisses et, en général, se sont sentis bien.

Un homme entend les médecins prononcer sa mort

Aboyer hémisphères cérébraux cerveau - celui qui est responsable du contrôle processus mentaux(conscience, mémoire, pensée) - est déjà éteint, comme un ordinateur dont le cordon a été débranché. Et la personne continue d'entendre et de réaliser ce qu'elle a entendu. Quelles autres preuves sont nécessaires pour confirmer que nous avons une âme immatérielle et la possibilité d’une conscience existant séparément du cerveau ?

En fait, « Certaines zones des hémisphères cérébraux - par exemple, la partie corticale analyseur auditif- résistent au manque d'oxygène plus longtemps que les autres. Ainsi, lors du processus d'arrêt du cerveau, une perte totale de l'audition se produit quelques secondes plus tard que, par exemple, l'extinction des centres. activité motrice", explique Lev Gerasimov, chef du laboratoire "Life Support Technologies for conditions critiques» Institut de recherche de réanimation générale de l'Académie russe des sciences médicales. Selon les normes internationales, un médecin ne devrait pas consacrer plus de 8 à 10 secondes pour constater la mort clinique, car ici chaque instant est précieux. En cas de perte de conscience et d'arrêt respiratoire, le médecin doit commencer la réanimation. Il est fort possible qu'il prononce à haute voix « mort clinique » avant même que votre conscience ne s'efface complètement.

Il semble à une personne qu'elle tombe ou, au contraire, qu'elle vole dans un tunnel sombre vers la lumière

Cette intrigue est l’une des plus courantes dans les souvenirs de mort clinique. Les partisans du surnaturel considèrent ce tunnel comme une passerelle entre le monde des vivants et celui des morts.

En effet, « le cerveau génère des images de l’au-delà au même titre que les hallucinations ou les rêves. Mais cela ne se produit pas dans un état de mort clinique, mais dans les instants qui précèdent immédiatement son apparition et immédiatement après une réanimation réussie - lorsque le cerveau fonctionne en « mode d'urgence » avec des dysfonctionnements dus à un manque d'oxygène », Lev Gerasimov continue de dissiper patiemment le mythes. Et il n’est pas surprenant que les hallucinations à grande échelle, qui, selon le patient, peuvent durer plusieurs heures, ne durent en réalité que quelques secondes. A voir la nuit prochaine : en phase Sommeil paradoxal vous pouvez « vivre » plusieurs jours simplement en vous tournant d’un côté à l’autre.

Parlons maintenant du tunnel à travers lequel le défunt vole vers la lumière. Aboyer lobes occipitaux Le cerveau responsable de notre vision peut générer des images sans même recevoir de signaux nerveux provenant des yeux. En cours d'extinction, une personne cesse d'abord de recevoir une véritable « image », puis l'analyseur cortical cesse de fonctionner. Et il le fait progressivement. Les tissus périphériques sont les premiers à souffrir d'un déficit en oxygène, les derniers étant les pôles des lobes occipitaux. Au cours de ce processus, le « champ de vision » virtuel (rappelez-vous, les yeux ne voient plus, mais le cerveau produit toujours l’image) se rétrécit jusqu’à ce qu’il ne reste plus que la vision centrale ou, comme on l’appelle aussi, « tubulaire ». Et à ce moment-là, en raison du manque d'oxygène, l'analyseur vestibulaire cesse de percevoir de manière adéquate les informations sur la position du corps, et il semble à la personne qu'elle bouge - par exemple, en train de voler.

Dans le monde à venir, une personne connaîtra la paix et sera libérée des soucis terrestres, car dans un état de mort clinique, une personne éprouve précisément de telles sensations.

Le médecin et psychothérapeute américain Raymond Moody cite dans son livre « Life After Life » (voir référence ci-dessous) les paroles d'un homme revenu « de l'autre monde » : « Au moment de la blessure, j'ai senti douleur soudaine, mais ensuite la douleur a disparu... Je me sentais chaude et agréable comme jamais auparavant.

En fait, du point de vue médecine moderne, dans l'autre monde, rien ne vous attend. Et la paix pendant la mort est un état temporaire. En réponse à des situations critiques, votre corps libère généralement une dose d'endorphines dans le sang afin que vous ne ressentiez pas de stress accablant (par exemple à cause de la douleur) et que vous continuiez à vous battre jusqu'au bout. La mort clinique occupe la 2ème place dans le classement des aventures les plus dangereuses de votre corps (la mort biologique occupe la première place). Ainsi, avant de s’éteindre complètement, votre cerveau s’inonde littéralement de « l’hormone du bonheur », qui provoque des sensations agréables. De plus, les médicaments administrés au patient pendant la période post-réanimation peuvent provoquer un sentiment de joie. Beaucoup de ces substances conviennent parfaitement pour danser en discothèque.

Derrière la pierre tombale

Le thème des expériences de mort imminente a été popularisé par le médecin et psychothérapeute américain Raymond Moody. En 1975, il publie le livre « Life After Life », qui contient une analyse des aventures métaphysiques de 150 personnes qui ont survécu avec succès à la mort clinique. Moody a dressé une liste de sensations typiques des morts temporaires - telles que la séparation de la conscience du corps ou la rencontre avec des parents bien-aimés (au début, il y avait 9 points sur la liste, en 1977, Moody l'a élargie à 15 points).

Moody n'a tiré aucune conclusion scientifique dans ses travaux (3 livres ont été publiés à plusieurs millions d'exemplaires). Cependant, dans une récente interview, le médecin a littéralement déclaré ce qui suit : « Après avoir interviewé plus d'un millier de personnes... et étant constamment confronté aux mêmes épisodes étonnants et inhabituels dans leurs histoires, je suis prêt à dire que la vie après la mort existe très probablement. . En fait, je n’ai plus aucun doute désormais que mes interlocuteurs ont su jeter un regard fugace sur ce qui se trouve au-delà de notre monde.

En état de mort clinique, la conscience quitte l'enveloppe physique

Dans les récits de ceux qui sont passés « de l’autre côté », on retrouve souvent l’intrigue suivante : ils semblent planer au-dessus de leur corps et regardent de côté alors qu’ils ressuscitent. Dans le même temps, une personne n'est pas liée à son enveloppe mortelle et peut se déplacer, par exemple, dans un bâtiment hospitalier.

En fait, Sam Pernia, réanimateur à l'Université de Southampton (Royaume-Uni), a mené une expérience. Il a placé des images vives et évocatrices dans les unités de soins intensifs qui ne peuvent être vues que si l’on regarde du plafond. Mais aucun des patients qui ont connu une mort clinique dans ces salles et qui ont parlé de la sortie de la conscience du corps physique n'ont vu ces dessins. Il s'avère que c'est aussi une hallucination ?

En état de mort clinique, une personne rencontre des proches décédés, des anges, Dieu et d'autres créatures exotiques

En 2008, dans un lit d'hôpital avec un diagnostic de méningite infectieuse", a tonné le neurochirurgien américain Eben Alexander. Après être resté dans le coma pendant une semaine, Eben a repris ses esprits et a commencé à raconter à tout le monde l'expérience inoubliable du voyage dans l'au-delà. Alexandre s'est déplacé à travers l'autre monde sur l'aile d'un énorme papillon, il était accompagné d'une femme aux pommettes saillantes et belle yeux bleus. Le neurochirurgien communiquait bien entendu avec son compagnon par télépathie. Impressionné par ces expériences, Alexander a écrit le livre « Proof of Heaven », qui est immédiatement devenu un best-seller.

En effet, dans le coma, le système nerveux central ne s'éteint pas complètement : la personne conserve ses réflexes, et certaines zones du cortex cérébral peuvent fonctionner. Donc, du point de vue de la science, ce n'était pas la mort - Alexandre était plus « ici » que « là-bas ». Le neurologue de Los Angeles, Sam Harris, a suggéré qu'Alexander, alors qu'il était dans le coma, avait été exposé à de la diméthyltryptamine endogène (DMT). Selon une théorie, à la limite entre la vie et la mort, le corps produit en quantités industrielles non seulement des endorphines, mais aussi cet alcaloïde – encore une fois, pour réduire les niveaux de stress. La DMT met une personne dans un état mystique particulier (le soi-disant état enthéogène, qui se traduit par « devenir divin de l'intérieur »), accompagné de puissantes hallucinations auditives et visuelles. Les chamanes sud-américains, par exemple, utilisent le DMT dans la boisson ayahuasca pour communiquer avec les esprits. Alexandre a donc eu de la chance.

Vols de diplômes

À température normale corps humain(36,5ºС) la mort clinique dure 3 à 5 minutes selon caractéristiques individuelles corps. Vient ensuite la mort biologique. Cependant, dans conditions spéciales(avec refroidissement du corps, lésions choc électrique, noyade), l'état intermédiaire entre la vie et la destruction complète peut être prolongé. Par exemple, une diminution de la température corporelle de 3 °C donne aux réanimateurs 10 minutes complètes pour travailler à partir du moment où le cœur du patient s’arrête. Et en 2008, des réanimateurs nord-américains ont réanimé un homme de 82 ans qui avait gelé dans la rue à une température corporelle de 26°C. Il a passé plus de 2 heures en état de mort clinique.

Les personnes qui ont connu une mort clinique partagent des souvenirs similaires, ce qui prouve la réalité de l'au-delà.

Une lumière au bout d’un tunnel. Un être fait de lumière et d'amour. Aventures de conscience se déplaçant séparément du corps physique. Tout patient en soins intensifs serait confronté à ce problème, quels que soient son sexe, son âge, statut social, l'éducation et la nationalité. Ceci est considéré comme l’argument le plus convaincant en faveur de la réalité de l’existence consciente après la mort.

En fait, la plupart des études sur les expériences de mort imminente ont été et sont menées par des scientifiques occidentaux. Il est clair qu'ils étudient leurs compatriotes, qui ont été élevés dans les traditions de l'une des religions abrahamiques et partagent les valeurs culturelles occidentales - c'est probablement pourquoi leurs expériences de mort imminente coïncident. Et, par exemple, dans le livre de Bhavana Vissudhikunavot « Vipassana Meets Consciousness », une habitante de Thaïlande décrit d'une manière différente ce qui lui est arrivé après un arrêt cardiaque : « Je me suis sentie fatiguée et j'ai quitté la hutte. Debout sous un cocotier, j’ai ressenti un profond sentiment de beauté. Puis j'ai vu la route et je l'ai suivie. Soudain, j'ai vu deux personnes. C'étaient les serviteurs du Seigneur des Morts, Yama. L'un d'eux a dit que maintenant ils m'emmèneraient en enfer. J'ai demandé à pouvoir rentrer chez moi pour prévenir ma famille. Quand je suis entré, il y avait beaucoup de gens dans ma cabane qui pleuraient. Puis j’ai trébuché, je suis tombé et je suis revenu à la vie. Et non, remarquez, des anges avec des trompettes.

Expérience personnelle

Nous avons trouvé un homme qui a accepté de vous raconter ce qu'il a vu et entendu lorsqu'il était mourant.

Alexandre Sobolev. 38 ans, entrepreneur (Moscou) :

J'ai vécu un état de mort clinique lorsque j'étudiais à l'école aéroportée de Riazan. Mon peloton a participé à des compétitions de groupe de reconnaissance. Il s'agit d'un marathon de survie de 3 jours avec des conditions extrêmes activité physique(sans sommeil et pratiquement sans repos), qui se termine par une marche forcée de 10 kilomètres en pleine vitesse. Je n'ai pas abordé cette dernière étape en en meilleure forme: la veille, je me suis ouvert le pied avec un accroc en traversant la rivière, nous étions constamment en mouvement, ma jambe me faisait très mal, le bandage s'est détaché, les saignements ont repris, j'avais de la fièvre. Mais j'ai couru presque tous les 10 km, et je ne comprends toujours pas comment j'ai fait, et je ne m'en souviens pas bien. Quelques centaines de mètres avant la ligne d'arrivée, je me suis évanoui, et mes camarades m'y ont porté dans leurs bras (d'ailleurs, ils ont compté ma participation à la compétition). Le médecin a diagnostiqué une « insuffisance cardiaque aiguë » et a commencé à me réanimer. J'ai les souvenirs suivants de cette période où j'étais en état de mort clinique : j'ai non seulement entendu ce que disaient ceux qui m'entouraient, mais j'ai aussi observé ce qui se passait de l'extérieur. J'ai vu comment quelque chose avait été injecté dans ma région cardiaque, j'ai vu comment un défibrillateur était utilisé pour me réanimer. De plus, dans mon esprit, l'image était la suivante : mon corps et les médecins sont sur le terrain du stade, et mes proches sont assis dans les tribunes et regardent ce qui se passe. De plus, il me semblait que je pouvais contrôler le processus de réanimation. Il y a eu un moment où j'en avais marre de traîner et j'ai immédiatement entendu le médecin dire que j'avais un pouls. Puis j'ai pensé : maintenant il y aura une formation générale, tout le monde sera tendu, mais j'ai trompé tout le monde et je peux m'allonger - et le médecin a crié que mon cœur s'était à nouveau arrêté. Finalement, j'ai décidé de revenir. J'ajouterai que je n'ai pas ressenti de peur en voyant comment ils m'ont réanimé, et en général, je n'ai pas traité cette situation comme une question de vie ou de mort. Il me semblait que tout était en ordre, la vie se déroulait comme d'habitude.