Types d'interactions. Styles de communication de base styles d'interaction rituel Types et styles d'interaction en psychologie

Chaque situation dicte son propre style de comportement et d'action : dans chacune d'elles, une personne se « présente » différemment, et si cette présentation de soi n'est pas adéquate, l'interaction est difficile. Si un style est formé sur la base d'actions dans une situation spécifique, puis transféré mécaniquement à une autre situation, alors, naturellement, le succès ne peut être garanti. Il existe quatre principaux styles d'action : rituel, impératif, manipulateur et humaniste.

1. Style d'action rituel. En utilisant l'exemple de l'utilisation du style rituel, il est particulièrement facile de montrer la nécessité de corréler le style avec la situation. Le style rituel est généralement déterminé par une culture. Par exemple, le style des salutations, les questions posées lors d’une réunion, la nature des réponses attendues. Ainsi, dans la culture américaine, il est d’usage de répondre à la question : « Comment vas-tu ? répondez « Merveilleux ! », peu importe la situation réelle. Il est typique de notre culture de répondre « justement » et de ne pas avoir honte des caractéristiques négatives de sa propre existence (« Oh, il n’y a pas de vie, les prix augmentent, les transports ne fonctionnent pas », etc.). Une personne habituée à un rituel différent, ayant reçu une telle réponse, sera perplexe quant à la manière d'interagir davantage (Petrovskaya, 1983).

2. Le style impératif est une forme d'interaction autoritaire et directive avec un partenaire de communication afin de contrôler son comportement, ses attitudes et ses pensées, le forçant à certaines actions ou décisions. Le partenaire dans ce cas agit comme une partie passive. Le but ultime dévoilé de la communication impérative est la coercition d’un partenaire. Les ordres, règlements et revendications sont utilisés comme moyens d’influence. Domaines où la communication impérative est utilisée assez efficacement : relations supérieur-subordonné, réglementations militaires, travail dans des conditions extrêmes, en cas d'urgence.

3. Le style manipulateur est une forme d’interaction interpersonnelle dans laquelle l’influence sur un partenaire de communication afin de réaliser ses intentions est exercée en secret. Dans le même temps, la manipulation présuppose une perception objective du partenaire de communication, tandis que le désir caché est de contrôler le comportement et les pensées d'une autre personne.

Dans la communication manipulatrice, le partenaire n'est pas perçu comme une personnalité holistique et unique, mais comme porteur de certaines propriétés et qualités « nécessaires » au manipulateur. Cependant, une personne qui choisit ce type de relation avec les autres comme principale finit souvent par devenir victime de ses propres manipulations. Il commence également à se percevoir par fragments, passant à des comportements stéréotypés, guidé par de faux motifs et objectifs, perdant ainsi le cœur de sa propre vie. La manipulation est utilisée par des personnes malhonnêtes dans les affaires et autres relations commerciales, ainsi que dans les médias, lorsqu'elle

tout le concept de propagande « noire » et « grise ». Dans le même temps, la possession et l'utilisation de moyens d'influence manipulatrice sur d'autres personnes dans le monde des affaires se terminent généralement pour une personne par le transfert de ces compétences vers d'autres domaines de relations. Les relations fondées sur les principes de décence, d’amour, d’amitié et d’affection mutuelle sont les plus endommagées par la manipulation.

4. Style d'interaction humaniste. Nous pouvons également mettre en évidence les relations interpersonnelles où l'utilisation de l'impératif est inappropriée. Il s'agit des relations intimes-personnelles et conjugales, des contacts enfants-parents, ainsi que de l'ensemble du système de relations pédagogiques. De telles relations sont appelées communication dialogique. La communication dialogique dans le cadre du style humaniste est une interaction égale sujet-sujet visant la connaissance mutuelle et la connaissance de soi des partenaires de communication. Il vous permet de parvenir à une compréhension mutuelle profonde, à la divulgation de soi des partenaires et crée les conditions d'un développement mutuel.

Il est important de tirer une conclusion générale selon laquelle la division d'un acte unique d'interaction en éléments tels que les positions des participants, la situation et le style d'action contribue également à une analyse psychologique plus approfondie de cet aspect de la communication, en faisant un certaine tentative de le relier au contenu de l'activité.

Le gestionnaire à tous les niveaux du système de gestion de l’organisation agit en tant que personne dirigeante, puisque c’est lui qui détermine l’orientation du travail de l’équipe, la sélection du personnel, le climat psychologique et d’autres aspects des activités de l’entreprise.

Gestion- la capacité d'influencer les individus et les groupes pour qu'ils œuvrent à la réalisation des objectifs de l'organisation.

L’une des caractéristiques les plus importantes des activités d’un leader est le style de leadership.

Style de leadership- le comportement d'un leader vis-à-vis de ses subordonnés afin de les influencer et de les inciter à réussir.

Le manager est le leader et l'organisateur du système de gestion. La gestion des activités des groupes et des équipes s'effectue sous forme de management et de leadership. Ces deux formes de gestion présentent certaines similitudes.

L'une des théories du leadership les plus courantes est théorie du leadership de K. Lewin(1938).

Elle identifie trois styles de leadership :

• autoritaire style de leadership - caractérisé par la rigidité, l'exigence, l'unité de commandement, la prédominance des fonctions de pouvoir, un contrôle et une discipline stricts, l'accent mis sur les résultats, ignorant les facteurs socio-psychologiques ;
• démocratique style de leadership - basé sur la collégialité, la confiance, l'information des subordonnés, l'initiative, la créativité, l'autodiscipline, la conscience, la responsabilité, l'encouragement, la transparence, l'orientation non seulement vers les résultats, mais aussi vers les moyens de les atteindre ;
• libéral style de leadership - caractérisé par de faibles exigences, la connivence, le manque de discipline et d'exigence, la passivité du leader et la perte de contrôle sur les subordonnés, leur donnant une totale liberté d'action.

Les recherches de K. Lewin ont jeté la base de la recherche d'un style de gestion pouvant conduire à des niveaux élevés de satisfaction parmi les artistes interprètes ou exécutants.

Une attention considérable a été accordée à l'étude des styles de leadership dans les travaux de R. Likert, qui a proposé en 1961 un continuum de styles de leadership. Ses positions extrêmes sont le leadership centré sur le travail et le leadership centré sur les personnes, avec tous les autres types de comportements de leadership entre les deux.

1. Exploitant-autoritaire: le leader a des caractéristiques claires d'autocrate, ne fait pas confiance à ses subordonnés, les implique rarement dans la prise de décision et crée lui-même des tâches. La principale incitation est la peur et la menace de punition, les récompenses sont aléatoires et l'interaction est basée sur la méfiance mutuelle. et sont en conflit.
2. Paternaliste-autoritaire: Le leader permet favorablement à ses subordonnés d'avoir une participation limitée à la prise de décision. La récompense est réelle et la punition est potentielle, toutes deux utilisées pour motiver les travailleurs. L'organisation informelle s'oppose en partie à la structure formelle.
3. Consultatif: Le leader prend des décisions stratégiques et, faisant preuve de confiance, délègue les décisions tactiques à ses subordonnés. L’inclusion limitée des travailleurs dans le processus de prise de décision est utilisée à des fins de motivation. L'organisation informelle ne diffère que partiellement de la structure formelle.
4. Démocratique Le style de leadership se caractérise par une confiance totale et repose sur une large implication du personnel dans la gestion de l'organisation. Le processus décisionnel est dispersé à tous les niveaux, bien qu'intégré. Le flux des communications s'effectue non seulement dans des directions verticales, mais également horizontalement. Les organisations formelles et informelles interagissent de manière constructive.

R. Likert a appelé le modèle 1 axé sur les tâches avec un système de gestion rigidement structuré, et le modèle 4 - axé sur les relations, basé sur l'organisation du travail en équipe, la gestion collégiale et le contrôle général. Selon R. Likert, la dernière approche est la plus efficace.

Choisir un style de gestion

Style de gestion- représente le comportement du manager envers ses subordonnés, lui permettant de les influencer et de les forcer à faire ce qui est nécessaire sur le moment.

Les styles de gestion se développent sous l'influence de conditions et de circonstances spécifiques. À cet égard, nous pouvons distinguer les « unidimensionnels », c'est-à-dire conditionné par un seul facteur, et « multidimensionnel », c'est-à-dire des styles de leadership qui prennent en compte deux ou plusieurs circonstances lors de la construction de la relation « manager-subordonné ».

Styles de gestion « unidimensionnels »

La condition préalable à l'établissement de divers styles de gestion « unidimensionnels » était les théories « X » et « Y » de Douglas McGregor. Ainsi, selon la théorie X, les gens sont par nature paresseux et évitent de travailler à la première occasion. Ils manquent complètement d’ambition, ils préfèrent donc être des leaders, ne pas prendre de responsabilités et chercher la protection des puissants. Pour forcer les gens à travailler, il faut recourir à la coercition, au contrôle total et à la menace de sanctions. Cependant, selon McGregor, les gens ne sont pas ainsi par nature, mais en raison de conditions de vie et de travail difficiles, qui n'ont commencé à s'améliorer que dans la seconde moitié du XXe siècle. Dans des conditions favorables, une personne devient ce qu'elle est réellement et son comportement se reflète dans une autre théorie - "Y". Conformément à cela, dans de telles conditions, les gens sont prêts à assumer la responsabilité de l'affaire et s'efforcent même d'y parvenir. S'ils sont impliqués dans les objectifs de l'entreprise, ils participent volontiers au processus d'autonomie gouvernementale et de maîtrise de soi, ainsi qu'à la créativité. Et une telle communion est

une fonction non pas de coercition, mais de récompense associée à la réalisation des objectifs fixés. Un leader qui professe un style démocratique s'appuie sur de tels employés.

Les caractéristiques des styles de gestion « unidimensionnels » ont été suggérées par le chercheur national E. Starobinsky.

Styles de gestion « multidimensionnels ». "Théorie X" et "Théorie Y"

En 1960, Douglas McGregor a publié son point de vue sur la bipolarité des opinions sur la façon dont les gens devraient être gérés. La « Théorie X » et la « Théorie Y », présentées dans le livre « The Human Side of Enterprise », ont été largement acceptées par les managers.

Théorie X

1. Au début, la personne n’aime pas travailler et évitera de travailler.
2. Une personne doit être contrainte, contrôlée et menacée de punition pour atteindre les objectifs de l'organisation.
3. L’homme moyen préfère se laisser diriger ; il évite toute responsabilité.

Théorie Y

1. Le travail est aussi naturel que le jeu pour un enfant.
2. Une personne peut exercer son autonomie gouvernementale et sa maîtrise de soi. Une récompense est un résultat associé à la réalisation d'un objectif.
3. La personne moyenne aspire à la responsabilité.

Ainsi, deux visions de la gestion se forment : la vision autoritaire, qui conduit à une réglementation directe et à un contrôle strict, et la vision démocratique, qui soutient la délégation d'autorité et de responsabilité.

Sur la base de ces théories, d’autres ont été développées, qui sont diverses combinaisons de celles-ci. Également populaire dans les affaires occidentales théorie de la « grille de gestion », développé par R. Blake et J. Mouton. Ils ont souligné que l’activité de travail se déroule dans un champ de forces entre la production et l’homme. La première ligne de force détermine l’attitude du manager envers la production. La deuxième ligne (verticale) détermine l'attitude du manager envers une personne (amélioration des conditions de travail, prise en compte des envies, des besoins, etc.).

Examinons les différents styles de leadership présentés dans la figure. dix.

• Type 1.1 - le manager ne se soucie de rien, travaille pour ne pas être licencié. Ce style est considéré comme purement théorique.
• Le type 9.1 est un style d'administration stricte, dans lequel le seul objectif du manager est les résultats de production.
• Type 1.9 – style de leadership libéral ou passif. Dans ce cas, le leader se concentre sur les relations humaines.
• Le type 5.5 se situe au milieu de la « grille de gestion ». Avec un tel compromis, des résultats de travail moyens sont obtenus et il ne peut y avoir de percée nette. En même temps, ce style de leadership favorise la stabilité et l’absence de conflits.
• Le type 9.9 est considéré comme le plus efficace. Le manager essaie de structurer le travail de ses subordonnés de manière à ce qu'ils y voient des opportunités de réalisation de soi et de confirmation de leur propre importance. Les objectifs de production sont déterminés conjointement avec les salariés.

Concepts de marketing situationnel

Les tentatives visant à définir un style de leadership universel ont échoué parce que... L’efficacité du leadership dépend non seulement du style de management du leader, mais aussi de nombreux facteurs. C’est pourquoi ils ont commencé à chercher la réponse dans le cadre de théories situationnelles. L'idée principale de l'approche situationnelle était l'hypothèse que le comportement managérial doit être différent selon les situations.

Un modèle décrivant la dépendance du style de leadership à la situation a été proposé dans les années 70. T. Mitchell Et R. Howes. Il repose fondamentalement sur théorie de l'espérance de motivation. Les artistes interprètes ou exécutants s'efforceront d'atteindre les objectifs de l'organisation lorsqu'il existe un lien entre leurs efforts et les résultats de leur travail, ainsi qu'entre les résultats de leur travail et leur récompense, c'est-à-dire s'ils en tirent un bénéfice personnel. Le modèle de Mitchell et House comprend quatre styles de gestion:

Si les salariés ont un grand besoin d’estime de soi et d’appartenance à une équipe, alors le « style » soutien".

Lorsque les salariés aspirent à l'autonomie et à l'indépendance, il vaut mieux utiliser " instrumental style", similaire à celui axé sur la création de conditions organisationnelles et techniques de production. Cela s'explique par le fait que les subordonnés, surtout lorsque rien ne dépend d'eux, voulant accomplir une tâche le plus rapidement possible, préfèrent qu'on leur dise quoi et comment ils ce que nous devons faire et créer les conditions de travail nécessaires.

Là où les subordonnés s'efforcent d'obtenir des résultats élevés et sont convaincus de pouvoir les atteindre, un style axé sur " participation" des subordonnés dans la prise de décision, correspond le plus à la situation où ils s'efforcent de se réaliser dans les activités de gestion. Dans le même temps, le manager doit partager des informations avec eux et utiliser largement leurs idées dans le processus de préparation et de prise de décisions.

Il existe également un style axé sur " réalisation", lorsque le manager définit des tâches réalisables pour les exécutants, fournit les conditions nécessaires au travail et attend d'eux qu'ils accomplissent la tâche de manière indépendante sans aucune coercition.

L'un des plus modernes est le modèle de styles de leadership proposé par des scientifiques américains. V. Vrooman Et F. Yetton. Ils, en fonction de la situation, des caractéristiques de l'équipe et des caractéristiques du problème lui-même, ont réparti les managers en 5 groupes selon les styles de leadership :

1. Le manager lui-même prend des décisions sur la base des informations disponibles.
2. Le manager informe ses subordonnés sur l'essence du problème, écoute leurs opinions et prend des décisions.
3. Le manager présente le problème à ses subordonnés, résume les opinions exprimées par ceux-ci et, en tenant compte, prend sa propre décision.
4. Le manager et ses subordonnés discutent du problème et, par conséquent, développent une opinion commune.
5. Le leader travaille en permanence avec le groupe, qui soit élabore une décision collective, soit accepte la meilleure, quel qu'en soit l'auteur.

Une personne a de nombreux besoins, notamment le besoin de communication, qui peut être considéré comme un cas particulier d'interaction interpersonnelle. Après tout, une conversation n'est pas seulement la communication d'informations, c'est aussi une influence sur un partenaire, qui s'exerce par divers moyens de parole. Cela inclut le langage corporel, la manière de prononcer et la manière de construire des phrases. La combinaison de ces facteurs et de certains autres facteurs forme des méthodes d'interaction dans la communication, que maîtrisent les locuteurs qualifiés.

Styles d'interaction dans la communication

La nature de l'impact sur l'interlocuteur est déterminée par un certain nombre de facteurs, parmi lesquels le mode de conversation est particulièrement important. Il existe des styles d'interaction interpersonnelle dans la communication tels que scientifiques, commerciaux officiels, journalistiques et conversationnels (quotidiens). Chacun a ses propres caractéristiques, par exemple, le style scientifique se caractérise par des chaînes logiques claires, des termes professionnels et une présentation sans émotion. Le officiel peut se vanter d'une abondance de clichés, le journalistique nécessite des faits clairs et des commentaires de la part des auditeurs, et le familier a une coloration émotionnelle vive, obtenue grâce à l'utilisation d'abréviations et de mots d'argot. L'efficacité de l'interaction sociale dépend directement de la manière dont les styles de communication sont utilisés avec compétence ; avec l'utilisation correcte du langage, il est possible d'atteindre plus rapidement l'objectif final des négociations.

Obstacles à l’interaction dans la communication

Tout le monde a été confronté à des difficultés lors des négociations, car il est beaucoup plus difficile de s’entendre avec certaines personnes que d’autres. Il s'agit des barrières à l'interaction, elles sont nombreuses, mais nous ne considérerons que quelques-unes des plus courantes.

Le plus souvent, les gens ne parviennent pas à parvenir à un consensus en raison de divergences dans le dialogue. Cette différence d’intérêts rend beaucoup plus difficile la recherche de la meilleure solution.

Tout aussi souvent, le problème réside dans des positions morales opposées. Il est difficile de faire des compromis dans de tels cas, mais si vous décidez de le faire, vous devez vous abstenir de réprimander un partenaire ou essayer de le rééduquer.

Un autre point qui empêche un accord est l’inadéquation des styles de communication. Lorsqu'un interlocuteur est déterminé à coopérer et que le second sait n'écouter que lui-même, il est incroyablement difficile de se mettre d'accord.

En plus de ces barrières principales, on peut identifier un grand nombre d'obstacles moins importants, mais non moins désagréables, par exemple des différences de statut social, un inconfort esthétique, un excès d'obstacles négatifs, une mauvaise santé, l'incompétence de l'interlocuteur, etc.

La communication présuppose toujours un résultat - un changement dans le comportement et les activités des autres. Lors d'activités conjointes, il est important pour ses participants non seulement d'échanger des informations, mais aussi d'organiser un « échange d'actions » et de planifier une action commune.

Le côté interactif de la communication est un terme conventionnel désignant les caractéristiques des composantes de la communication associées à l'interaction des personnes, à leur organisation directe d'activités communes. C'est le côté de la communication qui enregistre l'organisation d'actions communes qui permettent aux partenaires de mettre en œuvre pour eux une activité commune.

Pour une interaction efficace, une compréhension adéquate de la situation et un style d'action adéquat sont importants. Chaque situation dicte son propre style de comportement et d'action, dans chacune d'elles une personne se présente différemment, et si cette présentation de soi est inadéquate, l'interaction est difficile. Il existe trois principaux styles d'interaction : rituel, manipulateur, humaniste. Rituel le style est généralement fixé par une certaine culture (le style des salutations, les questions lors d'une réunion, toute situation ritualisée : anniversaire, mariage, anniversaire), son objectif est d'entretenir des liens avec la société, l'idée de soi en tant que membre de la société . Homme utilisant manipulateur style, cherche à contrôler les autres ou à les utiliser comme « moyens » pour atteindre ses objectifs. Communication avec humaniste le style présuppose l'honnêteté, la tolérance, la confiance, la conscience de soi et des autres.

On distingue les types d'interactions suivants :

1. Coopération– coordination des forces individuelles des participants. La coopération est un élément nécessaire des activités conjointes. A. N. Leontiev cite les principales caractéristiques suivantes des activités conjointes :

a) division d'un même processus d'activité entre les participants ;

b) un changement dans les activités de chacun, puisque le résultat des activités de chacun ne conduit pas à la satisfaction de ses besoins.

Un indicateur important d’une interaction « coopérative » étroite est l’inclusion de tous les participants dans le processus.

2. Au cas où concours on observe des interactions qui minent l’activité commune et présentent des obstacles à celle-ci. La manifestation la plus frappante est le conflit.

Lors de l'analyse de différents types d'interactions, le problème du contenu de l'activité dans le cadre duquel certains types d'interactions sont donnés est important. Lorsqu'on étudie les formes d'interaction tant coopératives que compétitives, elles ne peuvent être considérées en dehors du contexte général de l'activité, en dehors du contenu de l'activité.

Le contenu spécifique des diverses formes d'activités conjointes est un certain rapport de « contributions » individuelles apportées par les participants. On distingue ici trois modèles : 1) où chaque participant effectue sa part du travail global indépendamment des autres - « activité co-individuelle » (équipe de production, chaque membre a sa propre tâche) ; 2) lorsqu'une tâche commune est exécutée séquentiellement par chaque participant - « activité conjointe-séquentielle » (convoyeur) ; 3) interaction simultanée de chaque participant avec tous les autres - « activité en interaction conjointe » (équipe sportive, équipes de recherche, bureaux d'études).

Fin du travail -

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Fondamentaux de psychologie et de pédagogie

Établissement d'enseignement.. Université d'État de Polotsk.. I N Andreeva N N Strunina N N Petriashvili..

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Les étudiants constituent un groupe de jeunes spécifique, dont les particularités de la formation de relations de valeurs individuelles sont déterminées avant tout par l'adolescence, la plus importante

Crises de personnalité liées à l'âge
Le concept de crise Basé sur les idées de S. Freud sur le développement psychosexuel humain, E. Erikson (Erikson, 1950) a développé une théorie qui met l'accent sur les aspects sociaux de cette époque.

Asymétrie interhémisphérique des processus mentaux
Lors de la mise en œuvre d’une fonction mentale, le cerveau fonctionne comme un organe apparié. Chaque hémisphère a son propre rôle. Latéralisation des fonctions cérébrales -

Calcul des résultats des tests de biais
Légende : B - visuel ; K - kinesthésique ; A - auditif ; D - canal numérique (numérique) de perception de l'information ; Y est un énoncé, R est le rang de cet énoncé.

Avez-vous une bonne mémoire ? Instructions au sujet. Lisez pendant une minute et essayez de mémoriser 25 mots. Fermez ensuite le texte et essayez pendant cinq minutes

Matériel d'essai
1. Vous adaptez-vous rapidement à un nouvel environnement ? 2. Êtes-vous heureux ou triste sans raison ? 3. Vos pensées s'égarent-elles parfois lorsque vous devez faire face ?

Interprétation des résultats
· de 0 à 6 points - stabilité émotionnelle, · de 7 à 12 - instabilité émotionnelle ; · de 0 à 6 points - introversion, · de 7 à 12 points - extraversion.

Choisis la bonne réponse
1. La psychologie comme science du comportement - ..... stade de développement de la pensée psychologique. 1. d'abord ; 2. seconde ; 3. troisième ; 4. quatrième. 2. Au présent

Statut et rôle de l'individu dans un petit groupe
Un paramètre important des caractéristiques d’un groupe est la position de l’individu dans le groupe en tant que membre. Toute personne occupe plusieurs postes dans un groupe. Chacun de ces réseaux sociaux

Développement en petits groupes. Mécanismes de dynamique de groupe
Plusieurs modèles de formation de groupe ont été développés en psychologie sociale. L'un des plus célèbres est le concept stratométrique d'A.V. Petrovski. Elle présente le groupe comme étant

Phénomènes de l'activité de groupe
Le groupe exerce une influence constante sur ses membres, ce qui se traduit par le phénomène de pression de groupe. La pression de groupe est le processus d'influence sur les attitudes, les normes, les valeurs et le comportement des groupes

Notions de management et de leadership. Théories du leadership
Le mot « leader », selon R. Stogdill, est apparu en anglais vers 1300, et « leadership » - vers 1800. Le mot lead est traduit par « diriger », « encourager »,

Composantes de la personnalité d'un leader efficace
Il existe un certain nombre de tentatives pour classer les composantes de la personnalité d’un leader. Selon V.I. Shuvanov, trois facteurs personnels influencent l'efficacité du leadership d'une équipe de travail : l'expérience (c'est-à-dire

Le concept de relations interpersonnelles. La communication, ses types et sa structure
La personnalité ne peut être étudiée en dehors du système de liens sociaux, puisque la personnalité elle-même est leur « produit » et en même temps leur créateur actif. Puisque la communication humaine est de nature bidirectionnelle, plus précisément

La communication comme processus de communication. Obstacles à la communication
La communication ne se limite pas au transfert d'informations : l'information dans le contexte de la communication humaine est non seulement transmise, mais également formée, clarifiée et développée. Tout d'abord, la communication est impossible

Communication verbale et non verbale
La transmission de toute information n'est possible que via des systèmes de signalisation. La communication verbale utilise la parole humaine comme système de signes. La parole est la plus polyvalente

Le côté perceptuel de la communication. Mécanismes et effets de la perception
Dans le processus de communication, il doit y avoir une compréhension mutuelle entre les partenaires. Pour établir une compréhension mutuelle, il est important de savoir comment le partenaire de communication est perçu. Le processus par lequel une personne en perçoit une autre

RÉSUMÉ DU MODULE 2
Un groupe est une communauté de taille limitée, séparée du tout social en fonction de certaines caractéristiques. Les caractéristiques du groupe incluent la taille, la composition, la structure et la dynamique du groupe.

Histoire des idées pédagogiques et des pratiques éducatives. Pédagogie populaire et scientifique
La branche pédagogique de la connaissance humaine est peut-être la plus ancienne et est essentiellement indissociable du développement de la société. Lorsqu’on parle de pédagogie, ce terme est généralement associé au concept

Importance culturelle générale de la pédagogie
Les problèmes pédagogiques revêtent une grande importance vitale et culturelle générale. Une personne moderne a besoin d'informations sur les styles de comportement, les formes de formation et d'éducation, les différents types de

Technologies pédagogiques modernes
La technologie pédagogique est un système cohérent d'actions d'enseignants visant à résoudre des problèmes pédagogiques. La technologie est développée dans un but pédagogique spécifique ; en elle

L'éducation et ses fonctions socioculturelles
L’éducation fait partie intégrante de la vie d’un individu et constitue en même temps l’une des sphères les plus importantes de la société. Les tendances socioculturelles mondiales déterminent la situation socioculturelle

Tendances de la situation socioculturelle moderne
Voici les tendances socioculturelles mondiales les plus importantes qui déterminent les orientations du développement de l'éducation, de la science et de la culture dans n'importe quel pays : - une tendance à changer le type d'éducation culturelle et historique

Situation socioculturelle en République de Biélorussie
Une analyse de la situation socioculturelle de notre pays peut être réalisée à l'aide du terme « modernisation ». L’essence de la modernisation en Biélorussie est une transition progressive vers une nouvelle société. g

Tendances éducatives mondiales
L'espace éducatif mondial rassemble des systèmes éducatifs nationaux de différents types et niveaux, différant considérablement par leurs traditions philosophiques et culturelles, leurs buts et objectifs, et

Développement, éducation, socialisation de la personnalité
12.1. Notion de développement. Facteurs de développement de la personnalité. L'éducation en tant que processus ciblé de développement de la personnalité 12.2 L'éducation en tant qu'influence ciblée sur la personnalité 12.3 Social

Environnement social et socialisation de l'individu
Dès sa naissance, une personne entre dans un certain environnement social et est en constante interaction avec lui ; ici il se développe, apprend et est éduqué, ici se forme son incompétence

Caractéristiques générales de l'éducation familiale
L'éducation familiale au sens étroit du terme (activité éducative des parents) est comprise comme l'interaction des parents avec les enfants, basée sur la proximité intime et émotionnelle familiale,

Types de familles
Une vraie famille est une famille spécifique en tant que groupe social, objet de recherche. Une famille typique est le type de modèle familial le plus répandu dans une société donnée. Idéal -

Types d'éducation familiale inappropriée
Une surprotection complice est un manque de supervision et une attitude non critique envers les troubles du comportement. Favorise le développement de traits instables et hystériques. L'hypoprotection est un manque de

Fondements juridiques de l'éducation familiale
La famille est liée à la société, à l'État et aux organisations et institutions publiques. Elle est sensible à tous les changements qui surviennent dans la vie étatique et publique du pays. Vnu

Fondements améologiques du développement personnel
Les problèmes d'amélioration de soi et de réalisation du potentiel créatif humain sont étudiés par l'acméologie. Acméologie (du grec acme - pic) - la science du développement et de la mise en œuvre de la sueur créative

Potentiel créatif de l'individu
La créativité est une activité qui génère quelque chose de qualitativement nouveau, quelque chose qui ne s'est jamais produit auparavant. La créativité est la forme la plus élevée de l'activité humaine. La créativité est liée à la capacité des gens

Le chemin de vie comme programmation et comme créativité
Comme nous le savons, une personne ne naît pas avec une personnalité ; il devient une personne. Cette formation de la personnalité est très différente du développement de l'organisme, qui se produit dans le processus d'organisation simple.

Résumé du module
La pédagogie en tant que science et pratique sociale a une longue histoire de développement et est essentiellement indissociable du développement de la société. Déjà dans les États les plus développés du monde antique, de sérieux efforts ont été déployés

En psychologie générale
1. Alekseenkova, E. G. Personnalité dans des conditions de privation mentale : manuel. allocation / E. G. Alekseenkova. – Saint-Pétersbourg : Peter, 2009. – 96 p. 2. Asmolov, A. G. Psychologie de la personnalité : principes de psychologie générale

En psychologie sociale
1. Ageev V.S. Psychologie des relations intergroupes : Monographie. / V. S. Ageev. – M. : MSU, 1983. – 144 p. 2. Andreeva, G.M. Psychologie de la cognition sociale : Manuel pour les universités / G. M. Andreev

En psychologie de gestion
1. Andreeva, G.M. Psychologie sociale : Manuel. pour les établissements d'enseignement supérieur / G.M. Andreeva. – M. : Aspect-Presse, 1997. – 376 p. 2. Andreeva, I. À propos des « terminateurs » en gestion / I.N. Andreï

Comment écouter et prendre des notes sur une conférence
Le cours magistral continue d'être la principale forme de formation des étudiants. Il s'agit d'une forme d'enseignement théorique dont la méthode principale est la présentation orale cohérente.

Comment se préparer aux cours pratiques (séminaires)
Le but des séminaires est de synthétiser la littérature étudiée par les étudiants, de la corréler avec le matériel de cours, de développer la capacité d'analyser et d'évaluer de manière critique diverses sources.

Comment préparer un résumé (communication orale)
Résumé (du latin « rapport, informer ») désigne une recherche indépendante et une brève présentation sous forme écrite ou orale du contenu d'un problème scientifique, d'un article ou d'une monographie.

Comment se préparer à une discussion
Discussion (du latin discutio - considération, recherche) - différend, discussion d'une question ; assume la compétence dans les questions discutées et la conformité

Les fonctions sociales les plus importantes du langage sont la communication, la communication et l'influence. Pour mettre en œuvre ces fonctions, des variétés distinctes de langage se sont historiquement développées et ont pris forme, caractérisées par la présence dans chacune d'elles de moyens lexico-phraséologiques-logiques spéciaux, partiellement syntaxiques, utilisés exclusivement ou principalement dans une variété de langue donnée. Ces variétés sont appelées styles fonctionnels.

Les styles fonctionnels interagissent souvent les uns avec les autres. Dans le style journalistique, la fonction d'influence se mêle plus ou moins aux fonctions communicatives et informationnelles, c'est-à-dire aux fonctions de communication. La combinaison de deux fonctions – esthétique et communicative – est caractéristique du langage de la fiction.

Le style littéraire et artistique appartient au groupe des styles de livres, mais en raison de son originalité inhérente, il ne se compare pas aux autres styles de livres.

Les styles fonctionnels peuvent être divisés en deux groupes : le premier groupe comprend les styles commerciaux scientifiques, journalistiques et officiels ; pour le deuxième groupe, formé de différents types de styles conversationnels, la forme typique est le discours dialogique. Le premier groupe est celui des styles livresques, le second est celui des styles conversationnels.

Il est nécessaire de distinguer les formes de discours - orales et écrites - des styles et types de discours fonctionnels. Ils se rapprochent des styles dans le sens où les styles de livres prennent des formes écrites et les styles familiers prennent des formes orales.

Le matériau pour la différenciation stylistique des moyens linguistiques et l'identification des styles individuels peut être soit une langue littéraire, soit une langue populaire dans son ensemble.

Les styles scientifiques et journalistiques peuvent fonctionner sous forme orale (conférence, rapport, discours, etc.), sous forme de polylogue politique (discussion, débat), et des éléments d'un style conversationnel y pénètrent.

Selon les objectifs de la communication et l'étendue de l'utilisation du langage, notre discours est formaté différemment. Ce sont des styles différents.

Le style est un concept de parole et il ne peut être défini qu'en dépassant le système linguistique, en tenant compte de circonstances extra-linguistiques, par exemple les tâches de parole, la sphère de communication.

Chaque style de discours utilise les moyens linguistiques de la langue nationale, mais sous l'influence de facteurs (sujet, contenu, etc.), leur sélection et leur organisation dans chaque style sont spécifiques et servent à assurer de manière optimale la communication.

Parmi les facteurs qui sous-tendent l'identification des styles fonctionnels, la fonction principale de chaque style est commune : pour la communication familière, pour le message scientifique et officiel, pour l'impact journalistique et artistique. Les principales fonctions des styles se distinguent selon la classification de V. V. Vinogradov.

Fonctions vocales :

1) communication (établissement de contact - fonction réelle et motivante), échange de pensées, de sentiments, etc. ;

2) message (explication) ;

3) influence (croyances, influence sur les pensées et les actions) ;

4) message (instructions);

5) impact (image, influence sur les sentiments, imagination des gens).

STYLE SCIENTIFIQUE

Le style scientifique appartient au nombre de styles de livres d'une langue littéraire, qui se caractérisent par un certain nombre de caractéristiques linguistiques communes : examen préliminaire de l'énoncé, caractère monologue, sélection stricte des moyens linguistiques et tendance à un discours standardisé.

Au début, le style scientifique était proche du style artistique. La séparation des styles s'est produite à l'époque alexandrine, lorsque la terminologie scientifique a commencé à être créée en langue grecque.

En Russie, le style scientifique a commencé à prendre forme dans les premières décennies du VIIIe siècle.

Le style scientifique présente un certain nombre de caractéristiques communes qui apparaissent indépendamment de la nature des sciences et des différences de genre. Le style scientifique a des variétés (sous-styles) : vulgarisation scientifique, science commerciale, scientifique et technique, journalistique scientifique et scientifique pédagogique.

Le style scientifique est utilisé dans les travaux des scientifiques pour exprimer les résultats des activités de recherche. Le but du style scientifique est de communiquer et d’expliquer les résultats scientifiques. La forme de mise en œuvre est le dialogue. Les caractéristiques du discours scientifique sont la précision sémantique, la laideur, l'émotivité cachée, l'objectivité de la présentation et la rigueur.

Le style scientifique utilise des moyens linguistiques : termes, mots spéciaux et phraséologie.

Les mots sont utilisés dans leur sens littéral. Il se caractérise par des genres : monographie, article, thèse, rapport, etc. L'une des caractéristiques du discours scientifique est l'utilisation de concepts qui reflètent les propriétés de groupes entiers, d'objets et de phénomènes. Chaque concept a son propre nom et terme. Par exemple: console(terme qui nomme le concept défini) est une partie importante du mot (concept générique), qui se situe avant la racine et sert à former de nouveaux mots (caractéristiques de l'espèce).

Le style scientifique a sa propre phraséologie, qui comprend des termes composés (angine de poitrine, plexus solaire, angle droit, points de congélation et d'ébullition, révolution participative etc.).

Le langage scientifique et technologique se caractérise également par un certain nombre de caractéristiques grammaticales. Dans le domaine de la morphologie, il s'agit de l'utilisation de formes variantes plus courtes, ce qui correspond au principe de « sauvegarde » des moyens linguistiques. (clé – clés).

Dans les travaux scientifiques, la forme singulière des noms est souvent utilisée pour signifier le pluriel. Par exemple: loup - un animal prédateur de la famille des chiens(toute une classe d'objets est nommée, indiquant leurs traits caractéristiques) ; le tilleul commence à fleurir fin juin(un nom spécifique est utilisé dans un concept collectif).

Parmi les caractéristiques syntaxiques du style scientifique, il existe une tendance aux constructions complexes. A cet effet, des phrases avec des membres homogènes et un mot généralisant sont utilisées. Différents types de phrases complexes sont courants dans la littérature scientifique. Ils contiennent souvent des conjonctions de subordination caractéristiques du discours des livres.

Pour combiner des parties de texte et des paragraphes, des mots et leurs combinaisons sont utilisés, indiquant leur lien les uns avec les autres.

Les structures syntaxiques de la prose scientifique sont plus complexes et plus riches en matériel lexical que celles de la fiction. Les phrases d’un texte scientifique contiennent une fois et demie plus de mots que les phrases d’un texte littéraire.