Avant vos règles, vous avez envie de pleurer. Quelles sont les causes des larmoiements avant les règles ? Dépression pendant les règles et période PMS PMS Je veux tuer et pleurer

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La femme elle-même ne comprend pas ce qui lui arrive. Elle est en colère contre le monde entier, elle s'apitoie sur elle-même et sur sa vie misérable, elle veut s'enterrer sous la couverture et pleurer. Et puis elle comprend : c’est le fameux syndrome prémenstruel. Oui, les symptômes du syndrome prémenstruel se manifestent exactement comme ceci - un état dépressif, des sensations douloureuses dans le bas de l'abdomen et le bas du dos, et cela se répète mois après mois, une ou deux semaines avant le début des règles suivantes.

Comment peut-on souffrir du syndrome prémenstruel ?

Les jeunes filles et les femmes âgées de 20 à 40 ans souffrent particulièrement du syndrome prémenstruel. Au fil des années, les symptômes s’affaiblissent et disparaissent naturellement à la ménopause. Il ne peut y avoir ici de règles générales : chaque femme traverse cette période difficile à sa manière, en fonction des caractéristiques de son corps. Il y a des femmes chanceuses qui ne réagissent en aucune façon à l’approche des règles, mais elles constituent une minorité. Environ 80 % des femmes sont sensibles à ces symptômes d’une manière ou d’une autre.

Et pourtant, que se passe-t-il ?

Qui sait! Les médecins se grattent la tête en essayant d’expliquer scientifiquement les symptômes du syndrome prémenstruel. Il existe plusieurs théories à ce sujet, et toutes sont tout à fait plausibles. Le plus souvent, ils sont enclins à croire qu’il existe un déséquilibre hormonal qui se produit à l’approche des règles chez la femme.

Selon cette théorie, au cours de cette période, il y a une certaine redistribution des hormones sexuelles féminines - progestérone et œstrogène, et la quantité de la seconde augmente fortement. Les œstrogènes, entre autres propriétés, sont connus pour leur capacité à retenir les liquides dans le corps, d’où le gonflement et la douleur littéralement partout dans le corps. De plus, l’excès d’œstrogènes a un effet néfaste sur le système psycho-émotionnel, d’où des crises d’agressivité, des larmoiements et une dépression. Il existe une autre théorie - celle d'une violation de l'équilibre eau-sel dans le corps d'une femme, qui donne les mêmes symptômes.

Syndrome prémenstruel : traitement

Il existe certainement des médicaments pour soulager l’état d’une femme atteinte du syndrome prémenstruel. Leur efficacité est une autre affaire. Tout dépendra, encore une fois, des caractéristiques de l'organisme concerné et de la gravité du problème. Ce n’est un secret pour personne que quelqu’un peut s’en sortir avec une légère irritabilité et quelques crises de migraine, tandis que d’autres doivent appeler une ambulance pour soulager une douleur intense. Néanmoins, des conseils généraux ne seront pas superflus. Le plus souvent, les médecins prescrivent un traitement avec des gestagènes - des analogues d'hormones naturelles qui aident à normaliser l'équilibre hormonal perturbé. Parallèlement à cela, un traitement vitaminique et des exercices thérapeutiques spéciaux, ainsi qu'un régime alimentaire approprié, sont prescrits. Bien entendu, avant que les véritables causes du syndrome prémenstruel ne soient identifiées, aucun médicament ou autre traitement ne peut être prescrit. Dans certains cas, ces symptômes peuvent être des effets secondaires d’une autre maladie.

Et enfin

Comment ses proches peuvent-ils survivre aux symptômes du syndrome prémenstruel chez la femme ? Il a été prouvé que ces jours-ci, ses performances diminuent fortement, elle devient distraite et déséquilibrée. Une femme a besoin de gros efforts pour que son état n'affecte pas les relations au sein de l'équipe. Et à la maison ? Et à la maison, les proches, notamment le mari, doivent faire preuve de patience et de tact. S’il comprend que sa femme ne peut pas s’en empêcher, ce sera plus facile pour tout le monde. Et la femme elle-même ferait d’ailleurs bien de ralentir, ne serait-ce que parce que personne n’est responsable de ses souffrances. Cependant, comme elle.

Sur l'immunité, la santé des femmes et les hormones mâles, le stress, la grossesse. Sobaka.ru publie un extrait sur le syndrome prémenstruel - pourquoi les femmes se sentent insupportablement malades chaque mois et comment y faire face.

Pendant le syndrome prémenstruel (le fameux syndrome prémenstruel), vous ne voulez que deux choses : tuer et pleurer, pleurer et tuer. Tuez tous ceux qui vous font pleurer, puis pleurez parce que vous avez tué tout le monde autour de vous. Et du chocolat. Mais les hommes ne comprennent pas cela. D'innombrables anecdotes ont été écrites par les gens sur le thème des « jours critiques » et sur la façon dont ils réagissent à la femme qui les vit et à son entourage. Et certainement chacun de nous au moins une fois dans sa vie s'est expliqué ses actions étranges, illogiques et hystériques avec une phrase : « Oui, c'est le syndrome prémenstruel !

Le PMS, comme une indulgence, absout tous les péchés, comme une lettre de protection du cardinal de Richelieu entre les mains de Milady, il permet de tout faire au profit de « l'État » appelé corps féminin. C'est une raison de se sentir désolé, de prendre soin de soi, de dépasser les limites d'une manière ou d'une autre - n'est-ce pas pour cela que ceux qui vous entourent se sentent souvent un sentiment inconscient mais très ennuyeux que le comportement d’une femme est « motivé » non pas par une physiologie nue, mais par une indulgence consciente envers ses faiblesses et pas les traits de caractère les plus agréables ?

Ce n'est pas sortie de nulle part que l'humanité a proposé divers décodages de l'abréviation PMS, par exemple le Cri du Petit Satan. Mais sérieusement, certaines femmes n’ont pas le temps de plaisanter en ces temps malheureux, et c’est vraiment un problème. J'avoue, je fais partie des chanceux qui ne connaissent pas « hu de ça PMS », et avant « ces jours-ci » je ne me transforme pas en monstre avec des cornes et des sabots, mais très souvent j'observe de telles transformations chez mes amis et patients - par ailleurs des femmes tout à fait adéquates.

Dans les temps anciens, il y avait une « semaine de la femme » - la période précédant les règles pendant laquelle une femme était inviolable. On lui a pardonné les scandales, les crises de colère, les caprices et tous les caprices.
Le terme PMS est né en 1931. Il a fallu plus d’une douzaine d’années aux scientifiques pour décrire cette maladie. Le terme « tension prémenstruelle » est apparu pour la première fois dans l’ouvrage « Hormonal Causes of Premenstrual Tension » du chercheur Robert Frank.
Travail mental et syndrome prémenstruel. Statistiques lamentables : le syndrome prémenstruel survient chez 20 % des femmes âgées de 18 à 29 ans, et à partir de 30 ans, ce chiffre passe à 60 %. Les femmes dont les activités impliquent un travail mental sont les plus sensibles aux effets du syndrome prémenstruel.
En raison du manque de sérotonine Les femmes qui suivent un régime strict sont quatre fois plus susceptibles de souffrir du syndrome prémenstruel que ceux qui ne se limitent pas à la nourriture
Les hommes souffrent également du SPM : le corps du sexe fort est également sensible à certains facteurs qui contribuent à la dépression, à l'irritabilité,
instabilité émotionnelle et même douleur.

Causes du syndrome prémenstruel

Pour être honnête, les scientifiques ne peuvent toujours pas décider si le syndrome prémenstruel existe réellement ou non. Ainsi, en Nouvelle-Zélande, il y a plusieurs années, une étude à grande échelle a été menée pour découvrir quels symptômes ressentent les femmes une semaine avant leurs règles, et il s'est avéré qu'elles se sentent très différentes et cette « différente » est souvent due à des raisons complètement différentes de celles. la menstruation à venir. Alors le syndrome prémenstruel est un mythe ? C'est aussi un point de vue très intéressant. Mais si nous supposons que le syndrome prémenstruel est toujours un changement hormonal, alors divers facteurs hormonaux peuvent en être les causes :

syndrome de dominance œstrogène, c'est-à-dire une violation du rapport œstrogène et progestérone en faveur de l'œstrogène ; déficit en progestérone;
dysfonctionnement de la glande thyroïde;
niveaux élevés de prolactine;
stress, manque de sommeil ;
mauvaises habitudes - consommation d'alcool, tabagisme, régime riche en glucides.

Comment savoir si vous êtes sensible au syndrome prémenstruel ou non ?

Vous devez présenter au moins cinq symptômes de cette liste cinq à sept jours avant vos règles :

insomnie, somnolence;
dépression, sensibilité aux odeurs, maux de tête ;
troubles de la mémoire, diminution de l'attention;
changements d'appétit;
constipation;
faiblesse, fatigue;
douleur des glandes mammaires;
gonflement du visage et des membres;
augmentation de la pression artérielle;
diarrhée;
gain de poids;
mal de tête, parfois sévère ;
douleurs articulaires et faiblesse musculaire ;
aggravation des maladies chroniques.

La gravité et l'intensité du syndrome prémenstruel dans de nombreuses situations sont déterminées par le déséquilibre hormonal général du corps, ainsi que par le niveau de stress, de fatigue et de tension. Ainsi, à différentes périodes de votre vie, vous pourriez avoir besoin de différentes options de traitement en fonction de l'intensité du syndrome prémenstruel. le syndrome.

Forme bénigne : trois à quatre symptômes ou un ou deux s'ils sont significativement prononcés.
Forme sévère : de cinq à 12 symptômes, ou de deux à cinq, mais très prononcés, ou quelle que soit leur durée et leur quantité, s'ils vous coupent vraiment de la vie.

La principale caractéristique qui distingue le syndrome prémenstruel des autres maladies ou affections est la cyclicité. C'est-à-dire que la détérioration du bien-être survient quelques jours avant les menstruations (de deux à sept) et disparaît complètement avec leur arrivée. Si vous n’observez pas un schéma similaire, vos symptômes sont probablement la manifestation d’autres maladies.

Comment gérer le SPM ?

1. Faites attention à votre alimentation. Il devrait y avoir des protéines sur votre table. Beaucoup de protéines : œufs, poisson, fruits de mer, viande maigre (dinde), fromage cottage faible en gras. Le problème est le tryptophane, qui aide à la production de sérotonine. La Fée Sérotonine en dit long ! De plus, les produits protéinés contiennent des vitamines B, qui réduisent les symptômes du syndrome prémenstruel. Le corps a également besoin de potassium et de magnésium pendant cette période : les abricots secs, les bananes, les noix, les céréales complètes, le poisson de mer et les produits laitiers fermentés soulageront les symptômes du syndrome prémenstruel et vous remonteront le moral.
2. Les glucides simples sont interdits qui entraînent des poussées de glycémie, il faut les remplacer par des aliments complexes : céréales, légumes, etc. Supprimez également les aliments salés et épicés pour éviter les gonflements une semaine avant le début des règles. Essayez de boire moins de boissons alcoolisées et de café – ils aggravent les symptômes du syndrome prémenstruel.
3. Alimentation : Il est préférable de manger quatre à cinq fois par jour. Cela vous permettra de réguler le taux de sucre dans l'organisme, de vous protéger de la sensation de faim « brutale », des excès alimentaires associés et, par conséquent, de la prise de poids. Les portions doivent être petites.
4. Formation. Faire de l'exercice pendant la phase lutéale est difficile chaque cellule du corps est contre. Il est difficile de maintenir un rythme d'exercice intense, le gonflement dû au syndrome prémenstruel vous rend maladroit et le corps veut puiser de l'énergie dans les graisses plutôt que dans le glycogène des muscles. Par conséquent, la solution optimale serait une combinaison de cardio et de musculation d’intensité modérée.
5. Détente. Aide très bien à soulager symptômes du syndrome prémenstruel du yoga. Ne négligez pas les autres pratiques de relaxation, n'oubliez pas la méditation et les mantras, au moins 20 minutes par jour, dans un silence et une relaxation complets.

Selon les statistiques, les femmes sont plus sujettes à la dépression. Cela est dû aux changements des niveaux hormonaux en fonction du cycle menstruel. La dépression pendant la menstruation laisse une empreinte non seulement sur l'état de la femme elle-même, mais aussi sur l'atmosphère de la famille. Il n'est pas nécessaire d'ignorer cette condition ; plus tôt vous prendrez des mesures pour éliminer le trouble dépressif, mieux ce sera.

Environ une semaine avant le début des règles, survient ce qu'on appelle le syndrome prémenstruel. Elle est causée par des changements soudains d’humeur, des larmoiements, de l’irritabilité et une diminution de l’activité sexuelle. C'est à ce moment que le rapport des hormones dans le sang change. Cependant, toutes les femmes ne deviennent pas déprimées pendant leurs règles ; les femmes déséquilibrées et hystériques sont plus susceptibles de développer un tel trouble mental. Un élan supplémentaire pour l'émergence d'un état affectif est :

Activité physique accrue ;
Stress fréquent et tension nerveuse ;
Régime à long terme ;
Mauvaise alimentation, le corps reçoit une petite quantité de vitamines et de minéraux ;
Manque de vie sexuelle régulière ;
Maladies chroniques de la glande thyroïde.

Causes de la mauvaise humeur pendant le syndrome prémenstruel

La dépression pendant le syndrome prémenstruel est assez courante. Mais il est également impossible d’ignorer complètement un trouble psychologique ou, à l’inverse, de courir chez le médecin dès les premiers symptômes. Il est nécessaire de comprendre les raisons d'une mauvaise santé et d'essayer de les éliminer. Peut-être que le cycle menstruel n’a rien à voir là-dedans.

Tenir un journal quotidien pendant au moins trois mois vous aidera à comprendre le problème. En principe, un agenda peut être remplacé par un calendrier ordinaire, mais une condition importante est de saisir chaque jour des données sur votre bien-être. Il suffit d'écrire chaque jour en face : « joyeux », « triste », « irritable », « fatigué », « indifférent » et ainsi de suite. De cette façon, vous pouvez savoir si votre humeur a changé en fonction de l'approche des règles ou si aucun lien n'a été observé. Si, selon les données du journal, un lien direct entre « dépression et menstruation » est vraiment perceptible, il est temps de consulter un médecin.

De plus, des réponses positives aux questions suivantes vous aideront à déterminer s’il est temps de consulter un médecin :

Créez-vous un scandale dans votre famille pour un problème mineur ?
Vous ne parvenez pas à travailler normalement et à profiter de la vie pendant vos règles ?
Avez-vous du mal à dormir ?
Changez-vous vos préférences alimentaires au cours de votre cycle menstruel ?
Ressentez-vous une anxiété déraisonnable ces jours-ci ?
Avez-vous des pensées de désespoir et de possibilité de suicide ?

Si vous avez une réponse positive à plus de la moitié des questions, notamment à la dernière, vous devez demander l'aide d'un spécialiste.

Symptômes

Habituellement, votre entourage est le premier à remarquer un changement soudain d’humeur pendant et après vos règles. Ce sont vos proches qui souffrent des premiers symptômes de la dépression. Les principaux signes d'un trouble psychologique sont :

Maux de tête fréquents ;
Larmoiement, irritabilité, parfois agressivité ;
Distraction, apathie, faiblesse physique ;
Fatigue, troubles quotidiens constants (tout vous échappe des mains, brûlures, coupures, etc.) ;
Inattention et léthargie (cette condition est particulièrement dangereuse lors de la conduite d'une voiture) ;
Somnolence ou, au contraire, insomnie ;
Appétit accru, envie de chocolat et de farine ;
Une sensation d'inconfort au niveau des glandes mammaires, qui entraîne également de l'irritabilité.

Cela est particulièrement visible pour les autres si une femme sociable et joyeuse devient soudainement renfermée et irritable. Si ces symptômes surviennent sur une longue période, il serait préférable de prendre rendez-vous avec un spécialiste.

Méthodes pour lutter contre la dépression

Vous pouvez vous débarrasser de la dépression par vous-même ou avec l'aide d'un médecin. Si le trouble vous tourmente depuis assez longtemps et que vous ne parvenez pas à vous en sortir par vous-même, il est préférable de consulter un médecin pour obtenir une aide qualifiée. La durée du traitement dépend de la gravité et de la durée de la maladie.

Traitement médical

Pour améliorer l'état psychologique général, le médecin peut prescrire les médicaments suivants :

Antidépresseurs et sédatifs ;
Médicaments hormonaux ;
Médicaments qui améliorent la circulation sanguine dans le cerveau ;
Prendre des vitamines et des minéraux pour améliorer l'état général de l'organisme.
Thérapie cognitivo-comportementale.

Cette méthode de traitement permet à une femme d'apprendre à gérer la situation actuelle plutôt que de s'y adapter. Par exemple, si une femme sait qu'elle attend ses règles la semaine prochaine, elle ne devrait pas planifier de choses importantes et responsables pour cette période. Les psychologues recommandent aux femmes d'établir un calendrier des tâches importantes un mois à l'avance, afin que les travaux difficiles ne tombent pas « ces jours-ci ». Pendant votre cycle menstruel, il est préférable de faire du yoga ou d’autres activités apaisantes.

La particularité de la luminothérapie est que sous l'influence des rayons lumineux, des réactions chimiques se produisent dans le cerveau. Les procédures de luminothérapie sont plus pertinentes en hiver.

Thérapie générale

Cette méthode de traitement comprend des massages relaxants, des séances de physiothérapie, de réflexologie et d'acupuncture. Toutes les procédures sont conçues pour soulager les tensions, calmer et renforcer le système nerveux.

Recettes de médecine traditionnelle

À l’aide de mélanges médicinaux, de teintures et de décoctions, vous pouvez calmer les nerfs à vif. Les cônes de menthe, d'agripaume et de houblon peuvent soulager l'excitabilité et normaliser le sommeil. Les médecins recommandent également de prendre de l'absinthe, de la busserole et de l'actée à grappes noires à titre préventif.

Bains relaxants

Selon les médecins, les bains additionnés d'huile de lavande et d'éther d'absinthe peuvent réduire le risque de dépression. Avant de vous coucher, vous pouvez utiliser des bains de pieds à la camomille ou à la menthe. Après cela, il est recommandé de masser vos pieds avec de l'huile de sapin. Pour oublier les problèmes de sommeil, vous pouvez utiliser une recette qui a fait ses preuves : mettez quelques feuilles de mélisse, de feuille de cassis ou d'origan dans votre oreiller.

Les médecins recommandent également de ne pas garder les émotions à l'intérieur, mais de les rejeter. Bien sûr, ce sera mieux si vous êtes seul en ce moment. Par exemple, vous pouvez casser une assiette, crier fort dans un endroit désert, faire quelques dizaines de squats ou autre chose. Si vous voulez pleurer, vous n'avez pas besoin de vous retenir, laissez les larmes couler à flots, après quoi un soulagement notable viendra.

Le shopping est une excellente distraction contre la dépression. Il est rare qu’une femme refuse de mettre à jour sa garde-robe. Allez faire du shopping avec un ami, buvez une tasse de café - et le blues s'atténuera définitivement. De nos jours, il ne faut pas abandonner le sport, il suffit de réduire son activité physique. La marche rapide, la course, la natation amélioreront votre humeur et apporteront une fatigue agréable.

Lors d'une consultation avec un médecin, vous devez discuter de toutes les options possibles pour vous débarrasser de la dépression. Quand rien ne nous dérange, nous pensons que le concept de « dépression » est quelque chose de lointain et ne nous concerne pas, et nous attribuons tout trouble neurologique aux intempéries, au syndrome prémenstruel, à n'importe quoi, mais pas à la dépression. Un état d'esprit calme doit toujours être présent et ne pas dépendre de la durée du cycle menstruel.

La prévention

À des fins préventives, vous devez faire attention à votre alimentation quotidienne. Il faut en exclure les aliments gras et salés, et privilégier les œufs, le chocolat, les pommes, le brocoli, les raisins et les raisins secs. L'alimentation doit être équilibrée ; les aliments entrants doivent contenir du potassium et de la vitamine B6. Pour normaliser les niveaux hormonaux d’une femme et améliorer son métabolisme, vous pouvez suivre une série d’injections de complexes de vitamines B6, A et E, ainsi que de calcium et de magnésium.

Pour prévenir la dépression pendant les règles, les médecins recommandent de passer plus de temps au grand air, de faire vos activités préférées et de ne pas vous concentrer sur les changements qui se produisent dans le corps pendant le cycle menstruel. Se réjouir de chaque jour et endurer toutes les épreuves du « lot féminin » avec courage est la principale recette de la dépression.

Nous vous recommandons de lire l'article sur ce qu'est le PMS. Vous y découvrirez le syndrome prémenstruel et les raisons de son apparition chez les femmes, les manifestations physiologiques et les signes émotionnels, ainsi que les différences entre les symptômes du syndrome prémenstruel et la grossesse.

À partir du milieu du cycle, vous pouvez prendre diverses plantes médicinales, par exemple du pinceau rouge, etc.

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Presque toutes les femmes connaissent l'état de dépression et même la dépression à la veille des règles. Cela se produit différemment pour chacun : pour certaines, deux ou trois jours avant les règles avec des symptômes minimes, tandis que pour d'autres, deux semaines avant les règles et sous une forme grave. En médecine, cette condition est clairement définie et est appelée syndrome prémenstruel (SPM). L'une de ses manifestations est le larmoiement pendant la menstruation, la veille et parfois même après son début. Quelles sont les raisons de cet état ? Comment réduire le flux des larmes ?

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Certaines femmes se sentent opprimées et abandonnées. En s'approchant du miroir, leur apparition ne fait que provoquer la perplexité. Vous vous apitoyez sur votre sort, votre humeur baisse et les larmes commencent à couler sous la grêle. Les tentatives pour consoler la fille peuvent entraîner une intensification encore plus grande des pleurs, ce qui met la « consolatrice » et elle-même mal à l'aise.

Il existe également une autre option. Certaines filles deviennent agressives à la veille de leurs règles, réagissent vivement à toute critique et sont prêtes à se battre à tout moment pour défendre leur opinion. Mais dès que les événements commencent à se dérouler, une telle humeur « offensante » est remplacée par une transition brutale vers des pleurs forts, parfois même démonstratifs. Tous ces aspects du comportement sont également largement liés aux changements hormonaux.

La formation du cycle menstruel et l'humeur des femmes sont influencées par les œstrogènes, les androgènes, la progestérone et certaines autres substances biologiquement actives. De plus, dans chaque phase, l’un ou l’autre prédomine. La violation de cet équilibre entraîne des larmoiements excessifs, de l'agressivité, de la colère, etc. Mais il faut comprendre que normalement une femme en bonne santé peut présenter des manifestations du syndrome prémenstruel, qu’elle peut contrôler.

De tels changements peuvent être plus clairement observés chez les filles qui présentent un certain type de trouble, par exemple une carence en œstrogènes ou un excès d'androgènes avec toutes les manifestations cliniques. Lorsque le médecin tente de rétablir l'équilibre, la jeune fille remarque un changement radical dans son comportement, son humeur et son attitude envers les autres. Parfois, c'est une émotivité excessive qui est la raison pour laquelle aucun traitement ultérieur n'est effectué. Cela est particulièrement évident si les contraceptifs oraux sont utilisés comme source d’hormones sexuelles.

Surcharge psycho-émotionnelle

Le stress fait partie intégrante de la vie d'une femme moderne. Cependant, le corps doit apprendre à se débarrasser correctement de son influence négative. Sinon, la fatigue chronique et les situations de stress constantes, notamment dans le contexte d'une carence en vitamines et micro-éléments, entraîneront une aggravation significative des manifestations du syndrome prémenstruel.

Avant vos règles, vous avez envie de pleurer. Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ?

Ma famille sait très bien qu'une fois par mois arrive une période appelée « il vaut mieux ne pas me mettre en colère ». D'épouse et de mère douce et attentionnée, je me transforme en une créature irritable, sombre et pleurnicharde. Mon mari, mes enfants et même notre chat essaient de ne plus avoir d'ennuis, en me contournant et en étant d'accord sur tout. Comme on dit, si votre femme souffre du syndrome prémenstruel, éloignez-vous d'elle et jetez une barre de chocolat. Je n’aime pas du tout être une jeune femme capricieuse, mais je n’y peux rien. Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ?

Nous, les femmes, sommes toutes facilement vulnérables, malgré notre sérénité extérieure et notre résistance au stress assez décente. Et si, un jour ordinaire, il n'est pas difficile de cacher son ressentiment ou sa déception, alors avant vos règles, la mission « sans larmes » est presque impossible. Un moment triste dans le film, un ongle cassé, la maison n'a plus de cookies, quelle n'est pas la raison pour laquelle tu as eu envie de pleurer avant tes règles ? En fait, même les larmes pendant la période prémenstruelle peuvent être logiquement expliquées.

SPM – syndrome prémenstruel.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? Les poussées hormonales.

Dans notre corps, les organes et les systèmes sont étroitement interconnectés, comme une horloge. La cohérence du travail des autres dépend directement du fonctionnement de certains organes. Par exemple, en cas de déséquilibre hormonal dans la deuxième phase du cycle, le rapport entre les œstrogènes et les gestagènes change. C’est la raison principale et la plus courante pour laquelle vous avez envie de pleurer avant vos règles.

On sait que lorsque le niveau de l'hormone sexuelle œstrogène augmente, une femme devient émotionnellement vulnérable : l'irritabilité et les larmoiements apparaissent avant la menstruation et son humeur prend une teinte dépressive. À leur tour, avant les règles, les niveaux de progestérone peuvent augmenter 25 fois, affectant tout le corps. C’est pourquoi beaucoup d’entre nous se sentent fatigués, groggy et léthargiques ces jours-ci. Le syndrome prémenstruel est particulièrement difficile pour les femmes de plus de 35 ans, associé à des changements liés à l'âge.

Plus le taux de progestérone dans le sang est élevé au cours de la deuxième phase du MC, plus le syndrome prémenstruel est sévère.

MC – cycle menstruel.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? La raison en est une carence en vitamines.

Toutes les femmes connaissent le sentiment de vouloir quelque chose de délicieux, mais sans savoir quoi exactement. Avec la combinaison de « Je suis moche, tout va mal, personne ne m'aime » et « Je veux des friandises », prendre des kilos en trop n'est pas du tout difficile. Alors pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles et de manger toutes sortes de choses nocives ? Il s'avère que le problème réside dans le manque de vitamines.

Nos préférences gustatives coïncident rarement avec les besoins du corps. Par exemple, la plupart des femmes « mangent » leur syndrome prémenstruel avec du chocolat, ce qui peut s’expliquer par un manque de magnésium, un microélément important.

De faibles niveaux de magnésium provoquent souvent de l’irritabilité et de l’anxiété. De plus, sa diminution entraîne une accumulation de liquide dans les tissus cérébraux, une compression des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne des maux de tête et sa conséquence – des larmoiements avant les règles.

Les vitamines du groupe «B» sont ces maillons nécessaires de la chaîne, en l'absence desquels le rapport des œstrogènes et des gestagènes dans l'organisme est perturbé, avec une forte prédominance des premiers. Comme mentionné ci-dessus, plus le taux d’œstrogènes dans le sang est élevé, plus une femme est susceptible de commencer à verser des larmes avant ses règles, sans raison apparente.

Un manque de vitamines B contribue à la fatigue, à la perte de concentration, à l’irritabilité et aux larmoiements. Les vitamines « B1 », « B2 », « B6 », « B12 » sont responsables non seulement de la bonne humeur, mais fournissent également à la moitié féminine de l'humanité des ongles et des cheveux sains, une excellente santé et une bonne humeur. Ils régulent la production de monoamines, des substances responsables de réduire la gravité du syndrome prémenstruel, y compris les larmoiements. La vitamine « B6 » (pyridoxine) participe à la synthèse de la sérotonine, « l'hormone de la joie », responsable de la bonne humeur. Mauvaise alimentation, stress, activité physique intense et, par conséquent, carence en vitamines - c'est pourquoi vous avez envie de pleurer avant vos règles.

IMPORTANT! La nutrition dans les jours précédant la menstruation doit être aussi équilibrée que possible en termes de teneur en vitamines et micro-éléments dans les aliments. Il ne faut pas céder à la tentation et se livrer à des sucreries et à des aliments gras ; seuls les aliments sains, comme les fruits, les légumes et les céréales, aideront à reconstituer les vitamines manquantes dans le corps et à améliorer votre bien-être.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? Boycottez les cornichons !

Toute femme qui se respecte surveille non seulement sa santé, mais aussi sa propre silhouette. Et croyez-moi, rien ne vous dérange plus qu'un autre kilo gagné. Comme vous le savez, dans la deuxième phase du cycle menstruel, le niveau de progestérone augmente, ce qui contribue à la rétention d'eau dans le corps. Si vous mangez beaucoup d’aliments salés durant cette période de votre vie, vous pouvez prendre jusqu’à 2,5 kg de poids en quelques jours. Quant à moi, la prise de poids est une raison bien réelle pour laquelle on a envie de pleurer avant les règles, d'autant plus que le liquide s'accumule non seulement dans le corps, mais aussi dans les tissus cérébraux, ce qui provoque des maux de tête et des larmoiements.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? Malheureusement, on ne peut répondre à cette question qu’après avoir étudié chaque cas de syndrome prémenstruel séparément. Peut-être s’agit-il des caractéristiques physiologiques du corps, ou peut-être que pendant cette période, une femme a besoin de soins et de compréhension particuliers de la part de sa famille et de ses amis. Dans un cas ou un autre, en menant une vie saine et active, vous pouvez réduire considérablement les manifestations du syndrome prémenstruel afin de ne plus verser de larmes pour des bagatelles.

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Beaucoup de gens savent à quel point il peut être difficile de se retenir : ne pas crier, ne pas pleurer, ne pas se mettre en colère. Et si nous analysons, pour la plupart des femmes, de tels changements se produisent précisément dans la deuxième phase du cycle, parfois plus près ou pendant la menstruation. Les larmoiements sont l’une des manifestations courantes du syndrome prémenstruel et peuvent se manifester de différentes manières.

Violation des niveaux d'hormones sexuelles

Avitaminose

Le magnésium participe à la relaxation des muscles lisses et squelettiques, a un effet calmant sur le système nerveux, régule dans une certaine mesure la fonction intestinale et augmente la résistance à la surcharge psycho-émotionnelle. Sa carence peut entraîner une rétention d'eau dans l'organisme, qui se produit déjà lors du syndrome prémenstruel. Tout cela peut augmenter la labilité du système nerveux, provoquer des maux de tête et des lourdeurs dans tout le corps.

Il existe de nombreuses recommandations et instructions sur la façon d'éliminer les larmoiements après, pendant ou avant les règles. Il n’est pas nécessaire de recourir à des médicaments, bien que des antidépresseurs soient indiqués dans certains cas. Comment changer vous-même et votre style de vie :

Une bonne nutrition, enrichie en vitamines et micro-éléments, aidera à éliminer la carence en magnésium et en d'autres substances importantes. Si nécessaire, des complexes spéciaux ou même des composants individuels peuvent être pris dans la deuxième phase du cycle. Par exemple, le médicament « Time Factor », la sérotonine et autres.

Une vie sexuelle régulière, un sentiment de proximité avec un partenaire sexuel, tout cela contribuera à corriger les niveaux hormonaux afin de rétablir l'équilibre.

Presque toutes les femmes souffrent avant leurs règles ; elles ne savent pas comment gérer leurs émotions, elles ne comprennent pas ce qui leur arrive. Souvent, une femme perd complètement le contrôle d'elle-même, devient méfiante, irritable, pleure ou rit constamment de manière hystérique. Les scientifiques ont remarqué que c'est ces jours-là qu'une femme peut commencer à se droguer et à abuser de boissons alcoolisées. De plus, les jours critiques, il n'est pas recommandé de conduire une voiture ; il existe un risque d'accident en raison de la distraction et d'une nervosité accrue. Ce qu'il faut faire? Est-il possible de prévenir ou de vaincre la dépression ?

Raisons principales

Les experts ont depuis longtemps trouvé une explication à l’état dépressif d’une femme : les changements hormonaux. Avant le début des règles (jours 21 à 28), la quantité diminue fortement et si vous prenez l’hormone par voie orale, cela ne vous aidera toujours pas.

Certains scientifiques pensent que la dépression est causée par :

Troubles émotionnels.
Troubles saisonniers.
Stress vécu.

Le plus souvent, la dépression est caractéristique des femmes neuropathiques et hystériques au psychisme instable. Parfois, la cause de la dépression peut être une mauvaise alimentation. Si vous le changez, vous pourrez éliminer certains symptômes désagréables.

La plupart des femmes souffrent de dépression à l’approche de leurs règles.

Cela se traduit par des dépressions émotionnelles, une perte de contrôle interne, des crises de colère imprévisibles sans raison apparente et une méfiance accrue.

Une femme est facilement irritée, les larmes ou les rires hystériques sont typiques de nos jours.

Conduire une voiture peut entraîner des accidents sur la route en raison d'une excitabilité accrue et d'une perte d'attention.

Comment stopper les signes négatifs causés par la dépression avant les règles ? Existe-t-il des méthodes efficaces ?

Physiologie

Selon la phase dans laquelle se trouve le cycle menstruel, l’état d’une femme, tant psychologique que physique, est différent.

En règle générale, vous vous sentez mieux dans la première moitié du cycle. Avant les règles, qui durent de 2 à 14 jours, le SPM (syndrome prémenstruel) survient et la femme ne se sent pas bien.

Un certain nombre de troubles sont observés dans l'organisme : troubles végétatifs-vasculaires, endocriniens et mentaux.

Les femmes souffrant de problèmes de santé mentale sont les plus sensibles aux conséquences négatives du syndrome prémenstruel. Lorsqu'on leur diagnostique une psychose maniaco-dépressive, 86 % des femmes présentent des symptômes du syndrome prémenstruel.

La manifestation du syndrome prémenstruel se caractérise par les signes suivants :

D'autres sensations douloureuses sont également observées. Immédiatement avant les règles, les femmes peuvent ressentir des changements de comportement et d'humeur : agressivité déraisonnable, sensibilité accrue, irritabilité et méchanceté.

Ce sont des signes de troubles dits dysphoriques. Parallèlement à cela, des troubles du sommeil surviennent, l'appétit devient lent et l'activité sexuelle est altérée.

Un état de peur et d’anxiété peut également être présent.

Les états dépressifs et anxieux peuvent augmenter dans le contexte du syndrome prémenstruel. Durant cette période, le risque de suicide est accru.

Pendant le syndrome prémenstruel, les femmes atteintes de troubles mentaux de nature endogène subissent une exacerbation de leur état mental. Les manifestations de la maladie peuvent être détectées dès le plus jeune âge chez les adolescentes. Cela permet de prendre des mesures préventives et de diagnostiquer la dépression à un stade précoce. La menstruation est une sorte d'indicateur permettant d'identifier les anomalies de la santé mentale.

Pendant les règles, le corps affaiblit sa capacité à résister au stress et le système nerveux est vulnérable. La variabilité de l'humeur augmente clairement dans les stades initial et final de la dépression avec cyclothymie.

Les femmes atteintes du syndrome prémenstruel ne recourent généralement pas à l'aide de médecins, mais utilisent des remèdes populaires. En présence de troubles mentaux prononcés, on ne peut se passer d'une assistance médicale qualifiée et d'un traitement aux médicaments psychotropes.

Une correction psychothérapeutique est également réalisée. La dépression avant les règles nécessite un traitement. Même si la patiente s'est remise de l'état de dépression, mais que des conditions négatives sont observées avant la menstruation, la prise d'antidépresseurs doit être poursuivie jusqu'à ce que les symptômes soient éliminés et que la maladie rechute. Les antidépresseurs doivent avoir des effets secondaires minimes et être faciles à tolérer.

Causes

Les scientifiques donnent cette explication à l'état de dépression chez les femmes : des changements hormonaux dans le corps. 21 à 28 jours avant le début des règles, la quantité d'œstrogènes produite diminue fortement. Prendre des hormones ne donne pas l'effet souhaité. Selon certains experts, les facteurs suivants provoquent la dépression :

exacerbations saisonnières;
situations stressantes passées;
surcharge émotionnelle;
troubles de la glande thyroïde.

Les femmes au psychisme instable, sujettes à l'hystérie et à la neuropathie, sont sujettes à la dépression. Une alimentation affaiblie et insuffisante peut également déclencher une dépression. La transition vers une alimentation nutritive vous permet de vous débarrasser des symptômes désagréables, mais pas complètement.

Symptômes

Nous listons les symptômes les plus caractéristiques :

sautes d'humeur soudaines;
augmentation de la distraction et de la faiblesse;
sentiment d'anxiété constante et sans cause ;
légère vulnérabilité émotionnelle, larmes;
agressivité sans cause et accès de colère ;
mal de tête;
troubles du sommeil, insomnie;
transition soudaine vers des aliments salés ou sucrés.

Pour une femme, de tels symptômes peuvent passer inaperçus, mais pour son entourage, non. Les gens remarquent des changements et des perturbations, principalement lors d’un sommeil normal. Pendant la journée, les femmes se sentent dépassées, une léthargie apparaît et l'appétit disparaît. Tout le corps fait mal, les articulations sont tordues, l'état est complètement brisé. Quelle est la sortie de cette situation ? Si vous ne recherchez pas une aide qualifiée à temps, dans les cas les plus graves, une femme peut se suicider. Une correction psychothérapeutique est extrêmement nécessaire.

Traitement

La gravité de l'état dépressif est déterminée par les médecins. Le déroulement du traitement prescrit en dépend.

Pour vaincre la dépression, les spécialistes peuvent prescrire les médicaments suivants :

sédatifs et antidépresseurs;
médicaments hormonaux contraceptifs (permettent de soulager les symptômes les plus désagréables);
des médicaments pour stimuler la circulation sanguine dans le cerveau ;
prendre des complexes vitamines-minéraux (minéraux - calcium, zinc, fer, magnésium B6 ; vitamines - A, B, C).

Thérapie générale

Le cours du traitement comprend les méthodes suivantes :

thérapeutique;
physiothérapie;
massage, à la fois classique et acupression ;
réflexologie;
séances d'acupuncture;

Phytothérapie

Pour prévenir la dépression, les experts recommandent de prendre des phytohormones avec des œstrogènes. Ce cours amènera le niveau d'hormones dans le sang à un état optimal. Les plantes suivantes sont recommandées comme phytothérapie :

absinthe commune (soulage les spasmes musculaires et vasculaires) ;
actée à grappes noires (rhizomes d'actée à grappes);
busserole (antiseptique, soulage les gonflements).

Les mélanges de thé à base d'origan, d'agripaume, de cônes de houblon, de mélisse, de racines de pivoine et de menthe aideront à soulager l'excitabilité accrue, à normaliser le sommeil et à réduire le stress nerveux.

Bains apaisants

Prendre des bains relaxants avec l'ajout de divers composants d'origine naturelle, selon les experts, contribuera à réduire le risque de dépression. Les huiles essentielles de lavande et d'absinthe citronnée sont utilisées comme additifs.
Les bains de pieds à la mélisse, au concombre et aux pétales de rose sont également efficaces. Après le bain, massez vos pieds avec de l'huile de sapin. Pour normaliser le sommeil, utilisez des oreillers avec divers garnissages :

couleur lavande;
feuille de cassis;
feuilles de menthe;
herbe d'origan.

La prévention

À des fins préventives, selon les recommandations des spécialistes, le régime alimentaire doit être adapté. Les aliments sont consommés sans sel en grande quantité. L'utilisation de perfusions à effet diurétique doit être augmentée. La nutrition doit être saine et équilibrée. Une attention particulière doit être portée à la présence de vitamine B6 et de potassium dans les produits alimentaires.

Pour ce faire, vous devez inclure les produits suivants dans votre alimentation :

chocolat, raisins, raisins secs, cacao, poisson, bananes, œufs, pommes, brocoli.

En cas d'exacerbations dépressives, une cure médicamenteuse est prise. Injections de solutions contenant des vitamines A, B6, E, du magnésium et du calcium. Cela ramènera les processus métaboliques dans le corps et les niveaux hormonaux à la normale. Le sport, l’éducation physique et la forme physique peuvent soulager les symptômes désagréables.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? Les poussées hormonales. Dans notre corps, les organes et les systèmes sont étroitement interconnectés, comme une horloge. La cohérence du travail des autres dépend directement du fonctionnement de certains organes. Par exemple, en cas de déséquilibre hormonal dans la deuxième phase du cycle, le rapport entre les œstrogènes et les gestagènes change. C’est la raison principale et la plus courante pour laquelle vous avez envie de pleurer avant vos règles.

Plus le taux de progestérone dans le sang est élevé au cours de la deuxième phase du MC, plus le syndrome prémenstruel est sévère.

MC – cycle menstruel.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? La raison en est une carence en vitamines. Toutes les femmes connaissent le sentiment de vouloir quelque chose de délicieux, mais sans savoir quoi exactement. Avec la combinaison de « Je suis moche, tout va mal, personne ne m'aime » et « Je veux des friandises », prendre des kilos en trop n'est pas du tout difficile. Alors pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles et de manger toutes sortes de choses nocives ? Il s'avère que le problème réside dans le manque de vitamines.

La nutrition dans les jours précédant la menstruation doit être aussi équilibrée que possible en termes de teneur en vitamines et micro-éléments dans les aliments. Il ne faut pas céder à la tentation et se livrer à des sucreries et à des aliments gras ; seuls les aliments sains, comme les fruits, les légumes et les céréales, aideront à reconstituer les vitamines manquantes dans le corps et à améliorer votre bien-être.

Pourquoi as-tu envie de pleurer avant tes règles ? Boycottez les cornichons ! Toute femme qui se respecte surveille non seulement sa santé, mais aussi sa propre silhouette. Et croyez-moi, rien ne vous dérange plus qu'un autre kilo gagné. Comme vous le savez, dans la deuxième phase du cycle menstruel, le niveau de progestérone augmente, ce qui contribue à la rétention d'eau dans le corps. Si vous mangez beaucoup d’aliments salés durant cette période de votre vie, vous pouvez prendre jusqu’à 2,5 kg de poids en quelques jours. Quant à moi, la prise de poids est une raison bien réelle pour laquelle on a envie de pleurer avant les règles, d'autant plus que le liquide s'accumule non seulement dans le corps, mais aussi dans les tissus cérébraux, ce qui provoque des maux de tête et des larmoiements.

Pourquoi vaut-il la peine de parler séparément de la « dépression féminine » ? En effet, les troubles de l'humeur n'ont pas de sexe, et la structure mentale des hommes et des femmes est la même. Cependant, la prévalence statistique de la dépression est plus élevée chez les femmes, puisqu’une femme sur huit connaît au moins un épisode dépressif au cours de sa vie. La série d'articles « Mélancolie hormonale » est consacrée aux états dépressifs provoqués par les fluctuations hormonales, que connaît régulièrement toute femme.
Partie 1. Syndrome prémenstruel (SPM). Femme-enfant.

Les fluctuations des niveaux hormonaux sont le plus souvent associées aux cycles de reproduction du corps féminin. Le cycle menstruel, la grossesse, le post-partum, la ménopause, l'infertilité ou la décision consciente de ne pas avoir d'enfants - tous ces événements ont un effet spécifique sur les changements d'humeur d'une femme et, pour certaines, un tel changement signifie le début d'un épisode dépressif. La recherche confirme que les hormones ont un effet puissant sur la chimie des processus cérébraux, y compris sur les domaines qui régulent le fond émotionnel général et les méthodes de réponse émotionnelle, ainsi que sur la perception de la réalité. Les mécanismes mêmes de « l’invasion » hormonale n’ont toujours pas d’explication, et jusqu’à présent, nous devons faire face aux conséquences visibles.

Il faut dire que les changements hormonaux en eux-mêmes ne provoquent pas de dépression. Les hormones provoquent un état dépressif si une femme y avait auparavant une prédisposition. Cependant, il existe une situation qui se reflète universellement dans l'état mental de chaque femme : le syndrome prémenstruel, ou syndrome prémenstruel.

Un syndrome est une combinaison de symptômes ou de manifestations. Manifestations physiquement inconfortables(gonflements, douleurs au niveau du ventre et du bas du dos, somnolence, fluctuations de pression, somnolence ou insomnie, augmentation de l'appétit et envies de « malbouffe » ou de produits spécifiques, etc.) s'associent à psychologique- l'image de la perception de soi et du monde change. Selon une théorie, le syndrome prémenstruel est comme une « répétition » de grossesse, au cours de laquelle une femme subit un changement dans sa conception du « je ». Ce changement provoque de grandes tensions internes dues à des conflits inévitables. De l'extérieur, une femme peut paraître agressive et à la fois léthargique, capricieuse, déséquilibrée et désinhibée, ou au contraire inhibée.

Subjectivement ressentis par une femme comme désagréables voire douloureux, les symptômes psychologiques du syndrome prémenstruel commencent à apparaître 7 à 10 jours avant le premier jour du cycle et disparaissent dès les premiers jours des règles. Les symptômes sont similaires à ceux de la dépression classique, même s’ils ne le sont pas.

SYMPTÔMES DU SPM

- diminution du niveau d'énergie. Il n’existe aucune force pour une interaction ouverte et active avec le monde. S’enfermer et se concentrer sur soi (pour économiser de l’énergie) ;
- pleurs, sentimentalité;
- irritabilité(il n'y a pas d'énergie, mais il existe des stimuli environnementaux qui nécessitent une réponse. Par exemple, le besoin d'effectuer des tâches ménagères courantes, d'être efficace sur le lieu de travail, de se comporter de manière familière avec ses proches) ;
- demande accrue de confort physique. Un stress intense peut être causé par des odeurs aiguës, des sons, des sensations tactiles désagréables, une température ambiante inconfortable, un manque de propreté, la nécessité d'une activité physique active, etc.
- sentiment de solitude, mélancolie, humeurs décadentes (« rien de bon ne m'attend dans la vie », « personne ne m'aime ni ne m'apprécie », « personne n'a besoin de moi », etc.) ;
- tendance à auto-accusation et généralement à la recherche des responsables de tous les problèmes. Après avoir déclenché une querelle, une femme peut immédiatement plonger dans l'expérience de sa propre culpabilité ;
- manifestation soudaine peurs irrationnelles(avoir un accident de voiture, s'étouffer dans un wagon de métro bondé...). Les peurs se conjuguent à une vision déformée des situations ;
- diminution de la concentration, de l'attention, troubles de la mémoire. Absence d'esprit, diminution de la capacité à se fixer un objectif et à l'atteindre (faiblesse de la sphère volitive en général) ;
- pensée généralisée- une diminution de la capacité à être précis, avec la possibilité de s'accrocher à de petites choses (faire d'une souris une souris un éléphant comme motif de conflit).

Puisque toute cette « parade » est commandée par des hormones sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle, nous pouvons soulager la maladie de manière accessible. (L'hormonothérapie, en raison de la faible prévisibilité du résultat, ne constitue actuellement pas une indication claire du syndrome prémenstruel).

AIDE POUR LE PMS

Un état psychologique instable en soi rend une femme dépendante de l'environnement, tant physique que social. Les personnages particulièrement importants sont les personnes proches et celles avec lesquelles une femme entretient un contact émotionnel constant. À cet égard, il est logique d'avertir ces personnes à l'avance d'éventuelles explosions de colère, d'instabilité, d'expression de réclamations infondées, de larmes, etc. (« Je peux être un peu différent, paraître injuste ou insatisfait, mais cela n'a rien à voir avec mon attitude envers vous. ») Il suffit d'en parler un peu à l'avance et de demander un peu de clémence et de compréhension, car un tel comportement n'apporte pas beaucoup de joie à la femme elle-même, sans parler de la pénibilité des manifestations individuelles du syndrome prémenstruel.

Il est important que les proches comprennent que pendant le syndrome prémenstruel, les caprices et les crises de colère ne sont pas un moyen de manipulation, comme cela peut paraître. Connaissant un état largement sans défense, une femme devient comme un enfant qui ne dispose pas encore de moyens adéquats pour réguler ses émotions et n'est pas toujours capable de transmettre des informations sur ses besoins sous une forme « silencieuse ». Pleurer devient un moyen de soulager les tensions. Des besoins vitaux peuvent également être mis en avant (ne pas avoir faim, ne pas avoir froid, se coucher à l'heure, etc.), inutile de les ignorer ou d'empêcher leur satisfaction.
(« Nous venons de dîner ! », « Tu as dormi jusqu'à 23 heures aujourd'hui ! », etc.)

Il suffit que votre entourage ne s'énerve pas face à des émotions violentes et comprenne que votre mère, votre conjoint ou votre amie se trouve désormais dans un état qui n'est pas habituel pour tout le monde. Faire quelque chose de gentil, apaiser les soucis quotidiens, lui parler de sentiments chaleureux et la rassurer sur le fait que tout dans la vie est bon et qu'elle a une grande valeur dans votre vie - tout cela peut avoir un impact significatif sur son état.

Comment vous aider à surmonter le syndrome prémenstruel

Les recommandations de changements alimentaires (manger davantage de céréales, réduire la caféine, réduire la viande, etc.) ou prendre des vitamines particulières sont très courantes, malgré la difficulté d'évaluer l'efficacité réelle de ces mesures. De telles mesures sont efficaces en tant que prévention. Une alimentation rationnelle favorise une bonne santé, quel que soit le jour du cycle, cependant, commencer à changer ses habitudes alimentaires avec l'apparition d'un état psychologique instable n'est pas l'idée la plus réussie au départ.

Selon l’expérience de l’auteur, le soulagement de la maladie est mieux facilité par un ensemble d’actions visant à stabiliser l’état psychologique. Et il y a une bonne nouvelle : dans ce cas il vous suffit de vous détendre et, comme on dit, de vous abandonner à la vague qui vous recouvre. C'est la nature ! Et le syndrome prémenstruel est exactement le cas lorsqu'il vaut mieux faire ce que vous voulez, aussi ridicule que cela puisse paraître de l'extérieur et même si cela vous semble étrange.

Quoi de mieux à faire :

Limitez votre activité si vous continuez à vous sentir léthargique pendant la journée (le but est d'éviter la fatigue). Si au contraire vous avez envie de bouger, bougez ! L'accélération du flux sanguin aide le système nerveux à fonctionner de manière plus stable. Natation, gymnastique, marche, tout ce qui apporte de la joie au corps.
Méditez (comme dans le cas des vitamines et d'une bonne nutrition, il est préférable de pratiquer de manière préventive) ou pratiquez toutes techniques d'autorégulation de la labilité émotionnelle.
Soyez nature. Non seulement les promenades fonctionnent bien, mais aussi la contemplation du paysage, en étant au grand air dans un endroit pittoresque en dehors de la ville.
Concentrez-vous sur le moment présent. Ne pensez pas au sens de la vie dans son ensemble, ne pensez pas aux questions importantes.
Pleure si tu veux. Il est important de ne pas retenir ses larmes lorsqu’elles arrivent. Bien entendu, vous devez toujours réfléchir à la pertinence de votre comportement dans un cas particulier, à un endroit et à un moment donnés. Mais vous pouvez toujours trouver un endroit isolé où vous pourrez vous livrer à un bref éclair de découragement sans regards indiscrets, d'autant plus que généralement dans le syndrome prémenstruel, les pleurs sans cause sont courts, comme ceux d'un enfant.
Essayez de vous mettre en colère et de gaspiller de l'énergie (bien sûr, il est préférable de ne pas diriger l'agression contre les autres et de ne pas l'utiliser de manière destructrice).
Faites l'amour. Soulage parfaitement les tensions et stabilise les fluctuations hormonales. Dans le même temps, il est important que le partenaire soit le plus à l’écoute possible de votre longueur d’onde et tienne compte de la sensibilité accrue de la femme. S'abandonner à la nature dans ce cas signifie que vous devez tout faire uniquement cela et uniquement comme vous le souhaitez à ce moment-là. Vous pouvez littéralement guider votre partenaire, lui faire ressentir ce qui est acceptable et ce qui n'est pas souhaitable.
N'oubliez pas que le triste état est temporaire. Le syndrome prémenstruel est une mini-psychose, et désormais toutes les informations sont perçues de manière déformée. N'ayez pas honte de vous retirer, de vous isoler, de refuser toute communication avec le monde. Il vous suffit de nous prévenir à l'avance.
Être distrait! Pour avoir moins de temps pour penser au cauchemar de la vie. Regardez des films, lisez des livres, des expositions.
Puisque la sensibilité à l’esthétique augmente, il est important de satisfaire l’envie de beauté : visiter une exposition, écouter sa musique préférée. Vous pouvez dessiner et sculpter, même si votre expérience avec les peintures colorées et la pâte à modeler s'est terminée à la maternelle ; exprimer des émotions dans n'importe quel texte : de la poésie aux notes courtes.
Rencontrez des personnes qui vous font sentir important, vous réchauffent et peuvent partager confiance. Communiquez avec ceux qui vous aiment et que vous aimez. Si vous voulez sortir avec une belle robe, vous devez y aller ; vous voulez boire du café et pleurer en mangeant un gros gâteau en compagnie de votre ami bien-aimé - c'est ce que vous devriez faire. Malgré les méfaits de la caféine et des glucides simples.