Paradoxalement, la masturbation est une conséquence de la civilisation. Elle est présente dans toutes les cultures, sauf dans les plus primitives, où l'intervalle entre le début de la puberté et l'initiation sexuelle est très court. Selon des recherches modernes, plus de 90 % des hommes et plus de 60 % des femmes se sont masturbés au moins une fois dans leur vie.
On pense que les femmes commencent plus tôt, mais les hommes les rattrapent rapidement et les dépassent en termes de fréquence et de temps consacré à la masturbation. Les hommes se masturbent en moyenne trois fois plus souvent que les femmes. Les enfants et les personnes âgées se masturbent ; plus de 50 % des retraités le font.
L'opinion de l'humanité sur le nombre de fois par jour où l'on peut se masturber et sur la question de savoir si cette activité est bénéfique a considérablement varié au fil des siècles.
- Par exemple, les anciens Grecs n’avaient pas honte de la masturbation, mais au contraire, ils l’aimaient et la pratiquaient. Dans toute la Grèce, la ville de Milet était célèbre - le centre de production de pénis artificiels pour les femmes et les hommes de la Grèce antique. Bien sûr, les moralistes de la Grèce antique ont essayé d’appeler le peuple à la retenue, en prêchant la vertu de modération, mais qui et quand a écouté les moralistes ?
- Les cultures orientales (Asie, Asie du Sud-Est) avaient une attitude négative envers la masturbation. On croyait qu'avec le processus d'éjaculation, un homme perdait une certaine quantité de vitalité. Par conséquent, plus un homme se masturbe souvent, plus il perd de sa vitalité, pâlit, se flétrit, jusqu'à sa fin fatale.
- Les musulmans médiévaux croyaient que le sperme était produit par le cerveau, donc une éjaculation fréquente pouvait affecter négativement l'activité cérébrale, provoquer une inflammation cérébrale et même la mort.
- Selon les principaux esprits médicaux européens du Nouvel Âge, la masturbation, avec l'inévitabilité d'un marteau punitif, entraîne des choses aussi désagréables que l'épuisement (de la force mentale et physique), la cécité, la surdité, le mutisme, ainsi que l'impuissance - qui, dans le contexte de tout ce qui précède, cela n’a pas l’air si effrayant. La manière dont les médecins de l’époque essayaient de décourager les gens de faire ce qu’ils aimaient rappelle aux yeux d’aujourd’hui des scènes de films d’horreur particulièrement cruels.
Les moralistes de notre époque préfèrent craindre la pousse des poils sur les paumes et la disparition du principal moyen de masturbation. Cependant, comme des millions d’hommes et de femmes l’ont prouvé il y a longtemps, ce ne sont que des histoires. Après la masturbation, personne ne court à la pharmacie pour acheter un rasoir pour ses paumes, et encore moins consulte un médecin en cas de chute soudaine de parties du corps.
Cependant, les craintes liées à la masturbation continuent de circuler parmi les masses. Premièrement : la masturbation est-elle nocive ? Deuxièmement : combien de fois par jour peut-on se masturber ?
Est-il possible de se masturber souvent ?
Les psychologues modernes estiment qu'il est conseillé de satisfaire les besoins humains au fur et à mesure qu'ils surviennent. Je voulais manger - j'ai mangé ; Je voulais dormir - j'ai dormi ; Si vous voulez du sexe, mais qu'il n'y a pas de partenaire à proximité, vous pouvez vous livrer à l'autosatisfaction.
De plus, certaines études prouvent que la masturbation n’est pas nocive pour le psychisme ou la santé physique d’une personne.
De plus, la libération sexuelle indépendante constitue une prévention fiable des infections sexuellement transmissibles, améliore l'humeur, soulage le stress et normalise même le sommeil. Alors combien de fois par jour peut-on se masturber selon les recommandations de la science moderne ?
note
De manière générale, on peut dire qu’il est recommandé de se masturber aussi souvent que l’on a réellement envie de sexe. Plus souvent chez les garçons et les filles, moins chez les adultes.
Il existe certes une opinion parmi les psychologues selon laquelle l'habitude de la masturbation forme une sorte de « comportement codé », un modèle associé au plaisir. Ne pas suivre ce schéma lors d’une relation sexuelle avec un partenaire non virtuel peut rendre difficile l’expérience du plaisir. Et si le partenaire n’est pas particulièrement sensible, cet aspect de la relation peut devenir névrotique.
Les personnes qui aménagent avec amour des lieux pour pratiquer « l'égoïsme » sont particulièrement sensibles au développement d'un tel scénario, le transformant en tout un rituel. Bien qu’il n’y ait rien de mal à se faire plaisir tous les jours ou même plus d’une fois par jour, il y a des moments où cela peut devenir une habitude gênante dans votre vie.
Si vous voulez savoir si vous vous masturbez souvent, posez-vous ces 4 questions :
- Préférez-vous la compagnie de votre main à celle de vos amis ?
- Avez-vous constamment du mal à penser à la masturbation ?
- Vous manquez souvent des réunions parce que vous êtes occupé à vous masturber ?
- Vous masturbez-vous si souvent que vous ne parvenez plus à gérer votre routine quotidienne ?
Si vous avez répondu oui à l’une de ces questions, vous vous masturbez peut-être trop souvent et devez en parler à un sexologue avant que le problème ne devienne incontrôlable.
Si vous souhaitez vous débarrasser vous-même de l'habitude de la masturbation trop fréquente, il existe trois manières simples :
- Videz souvent votre vessie. Une vessie pleine peut conduire à une stimulation sexuelle.
- Augmentez votre niveau d’activité physique.
- Regardez moins souvent du matériel pornographique.
Pas un seul sexologue, si vous lui demandez combien de fois par jour vous pouvez vous masturber, ne pourra vous donner le nombre exact.
D’un point de vue psychologique, il est important de ne pas franchir cette fine ligne au-delà de laquelle le plaisir se transforme en habitude. Tout dépend des caractéristiques psychologiques individuelles d'une personne, de son tempérament, de ses niveaux d'hormones et de son éducation sexuelle. En moyenne, les adolescents et les jeunes adultes sont susceptibles de se masturber 1 à 2 fois par jour, mais le nombre d'actes de plaisir personnel diminue généralement avec l'âge et les changements de mode de vie.
Les statistiques montrent que la fréquence moyenne de masturbation chez les hommes de plus de 45 ans est de 2 à 3 fois par semaine. Pour les personnes sans partenaire sexuel régulier, ou qui ne considèrent pas leur partenaire idéal au lit, même plusieurs (5 à 7 fois) actes de masturbation par semaine sont considérés comme normaux. Du point de vue de la minimisation des conséquences néfastes pour le corps, il convient de distinguer la masturbation « manuelle » de la masturbation avec moyens.
Si avec la première option vous pouvez vous masturber aussi souvent que vous le souhaitez, alors avec des moyens supplémentaires, c'est déjà plus difficile. Ils constituent l’une des principales sources de dommages aux organes génitaux et aux intestins lors de la masturbation. Par conséquent, lorsque vous le pratiquez, vous devez réfléchir à quoi et quand introduire et s'il vaut la peine d'utiliser des moyens auxiliaires, par exemple des lubrifiants.
Les Grecs de l’Antiquité utilisaient l’huile d’olive à ces fins, mais depuis lors, la science et l’industrie ont fait de grands progrès. Lors de l'utilisation de jouets, des efforts raisonnables doivent être déployés, sinon une personne risque d'endommager les muqueuses ou même de se fracturer le pénis.
Cependant, si cela se produit, il est nécessaire de consulter immédiatement un médecin - ce n'est même pas la blessure elle-même qui fait peur, mais le fait que la personne, sous l'influence de la honte, retarde sa visite chez le médecin. Et plus la plaie reste longtemps non soignée, plus les conséquences pour le corps sont graves.
Est-il possible pour les hommes et les femmes de se masturber tous les jours ?
Un homme peut se masturber aussi souvent qu’il le souhaite. La masturbation n'affecte pas le poids, la taille, la puissance, l'acuité visuelle, les poils de la paume ou la qualité du sperme.
Récemment, des scientifiques australiens ont découvert que la masturbation peut empêcher le développement du cancer de la prostate chez les hommes - si l'homme a plus de 50 ans et se masturbe une fois par semaine. Mais si les hommes ont entre 20 et 40 ans et qu'ils se masturbent plus souvent - de deux à sept fois par semaine - alors leurs risques de développer un cancer de la prostate sont plus grands.
Mais leurs chances de mourir d’une crise cardiaque sont nettement plus faibles, selon des scientifiques américains ; selon eux, la fréquence des orgasmes est inversement proportionnelle à l’incidence des maladies coronariennes. Par conséquent, du point de vue de la prévention d'une crise cardiaque, la réponse à la question : « Est-il possible de se masturber tous les jours ? semble clair. Non seulement c’est possible, mais c’est nécessaire !
À quelle fréquence une fille peut-elle se masturber
L’une des légendes les plus répandues sur la masturbation féminine est qu’elle conduit à la frigidité. Bien que l’absurdité de cette idée soit visible à l’œil nu (comment la capacité d’obtenir du plaisir d’une manière peut-elle conduire à l’impossibilité de l’obtenir d’une autre ?), les psychologues ont entrepris de tester cette thèse.
Il s'est avéré que tout est exactement le contraire : si une femme commençait à s'autosatisfaire avant le début de l'activité sexuelle, ses chances de devenir l'une des victimes qui n'ont jamais connu d'orgasme sont trois fois moindres.
Ainsi, de nombreux sexologues, à qui les femmes posent la question de savoir s'il est possible de se masturber tous les jours, répondent par l'affirmative. De plus, ils recommandent directement de le faire - de cette manière, une femme pourra mieux connaître son corps, ressentir ses réactions à telle ou telle méthode de plaisir, ce qui ne fera par la suite qu'enrichir sa vie sexuelle.
Encore une fois, il est important de ne pas franchir la ligne qui sépare le plaisir de l’habitude et, par conséquent, de l’obligation et de l’inévitable perte de plaisir. Mais chacun en décide individuellement. Il est considéré comme optimal d'utiliser 1 à 2 fois par jour avec un fort tempérament ou moins, selon le désir.
Une autre question est de savoir s'il est possible de se masturber tous les jours pendant la menstruation. Le danger ici, outre les considérations hygiéniques, peut être une augmentation des saignements pendant l'orgasme qui suit l'autosatisfaction. C’est donc à la femme elle-même de décider où et quand le faire. Par exemple, c'est assez hygiénique - sous la douche.
Les méthodes d'autosatisfaction sont connues depuis l'Antiquité et ce n'est que maintenant qu'elles gagnent en popularité et cessent d'être un vice. Cependant, la masturbation fréquente peut nuire au corps à certains égards. Beaucoup de gens s'intéressent à la quantité de masturbation possible et est-ce nocif ?
Qu'est-ce que la masturbation ?
Il se trouve que les hommes sont plus familiers avec le thème de la masturbation. Selon les statistiques, environ 90 % des hommes et 70 % des femmes se masturbent, ce qui est tout à fait normal.
Les hommes se familiarisent généralement avec le thème de la masturbation à l'adolescence. Pendant cette période, il y a un changement brutal des niveaux hormonaux, une poussée d'hormones dans le corps, qui devient souvent la cause d'une branlette. Peut-être qu'à cet âge, les hommes éprouvent de nouvelles sensations, ce qui provoque de telles activités.
Fait intéressant:
La plupart des gens vivent leur première expérience sexuelle par la masturbation.
Si un homme se masturbe en l'absence d'un partenaire sexuel régulier ou en cas d'abstinence prolongée pour diverses raisons et qu'après la reprise des relations sexuelles, cela disparaît, alors c'est la norme. Une telle masturbation ne fera certainement aucun mal, bien au contraire.
La masturbation a un effet néfaste sur la puissance et la fonction érectile lorsqu'un homme ou un homme adulte essaie de remplacer les rapports sexuels normaux par la masturbation. Cela est particulièrement vrai dans les cas où la masturbation apparaît dès l'adolescence et peut être retracée tout au long de la vie.
Est-ce dangereux pour un homme de se masturber ? Si la situation est identique à celle ci-dessus, alors oui, c'est nuisible. Dans de tels cas, il est préférable de consulter un spécialiste qui vous aidera à arrêter la masturbation et à privilégier les relations sexuelles complètes avec un partenaire régulier.
Au fait, qu’est-ce que la masturbation ? Il s’agit d’une méthode d’autosatisfaction qui comporte de nombreux types. La masturbation peut se faire soit simplement avec les mains, soit à l'aide de divers jouets sexuels. À ces fins, les hommes peuvent utiliser des poupées en caoutchouc, des vagins et les femmes peuvent utiliser des vibrateurs, divers satisfateurs, etc.
Vidéo « À quelle fréquence peut-on se masturber ? »
Vidéo d'information avec une discussion détaillée sur cette question : les mythes courants et leur réfutation, les méfaits et les avantages de la masturbation.
Types de masturbation
Afin d'examiner plus précisément la question des avantages et des inconvénients de la masturbation, vous devez comprendre les principaux types de cette activité. Il en existe trois types : la masturbation consciente, réflexive et psychopathologique.
L’apparition du réflexe est tout à fait normale et n’est pas considérée comme une maladie. Le plus souvent, ce type survient dans l'enfance, lorsque l'enfant tire ou frotte le pénis avec ses mains, étudiant son corps. L'enfant fait ces mouvements inconsciemment, mais il vaut mieux les éviter, car avec trop de stimulation, un gonflement du pénis est possible.
Si un homme en âge de conscience a décidé de se livrer à la masturbation, cela est alors considéré comme la norme lorsqu'il essaie de se satisfaire de cette manière en l'absence de partenaire sexuel. L’essentiel est que cela ne devienne pas une pratique systématique.
Sinon, la masturbation n'apportera aucun bénéfice ; vous devez vous en débarrasser le plus rapidement possible par tous les moyens possibles. Cela est particulièrement vrai pour les hommes qui ont un partenaire régulier, mais qui préfèrent la masturbation plutôt que le sexe.
Quand la masturbation est-elle normale ?
De nombreux hommes s'intéressent à la question : la masturbation affecte-t-elle l'érection et à quelle fréquence peut-on pratiquer ce type d'activité ?
Si vous comparez la masturbation des hommes et des femmes, vous remarquerez que chez les hommes, la masturbation ressemble davantage à un rapport sexuel standard. C’est ce qu’on appelle la masturbation adaptative. C'est-à-dire qu'un homme, utilisant sa main ou une sorte d'appareil sexuel, effectue des mouvements similaires aux mouvements pendant les rapports sexuels. Le type de masturbation adaptative permet de s'entraîner pour atteindre l'orgasme, ce qui a ensuite un effet bénéfique sur le résultat d'un rapport sexuel standard.
Dans le cas des femmes qui se livrent le plus souvent à une masturbation inadaptée, c'est-à-dire qui apporte simplement du plaisir et n'apporte aucun bénéfice, de telles activités peuvent être nocives. Cela peut conduire au fait qu'une femme ne pourra pas atteindre l'orgasme avec son partenaire sexuel, car elle s'habituera à ses propres rythmes et mouvements.
La masturbation peut être utile dans les cas où un homme ou une femme n'a pas la possibilité d'être sexuellement actif pendant une certaine période. Un voyage d'affaires, un long voyage, une maladie et même une période de jours critiques - tout cela peut devenir un motif de masturbation. Parfois, la masturbation est un excellent moyen de faire face à un stress extrême.
D'ailleurs, certains couples pratiquent la masturbation via Skype, notamment lors de voyages d'affaires, lorsqu'il n'y a aucune possibilité d'avoir des relations sexuelles complètes. Dans le même temps, les deux partenaires se branlent devant la caméra en même temps, en profitant comme d'un rapport sexuel standard.
Parfois, un homme ou une femme, en effectuant certains mouvements, comme lors de la masturbation, a un effet très excitant sur son partenaire sexuel. Par conséquent, une telle activité peut également être utilisée comme préliminaires, pour se préparer à des relations sexuelles torrides.
Avec la masturbation régulière et fréquente, qui concerne principalement les hommes, des complications graves sont possibles, notamment un gonflement du pénis. Dans de telles situations, il est temps de tirer la sonnette d’alarme et de demander l’aide d’un médecin.
En adhérant à quelques-unes des recommandations ci-dessous, vous pouvez éviter de graves conséquences :
- lors de la masturbation, il est préférable d'utiliser un gel lubrifiant spécial, assurant ainsi une glisse facile ; un frottement sec peut provoquer un gonflement du pénis (en l'absence de lubrifiant, vous pouvez utiliser de la vaseline, de la crème ou de l'huile pour bébé) ;
- consultez votre médecin pour savoir à quelle fréquence vous pouvez vous masturber si vous n’avez pas de partenaire sexuel régulier ;
- Après avoir découvert même un léger gonflement, il est nécessaire d'arrêter la masturbation, surtout si le pénis est devenu moins érection ou si l'érection a complètement disparu ;
- Si vous ressentez une gêne ou des problèmes d’érection ou d’éjaculation, demandez l’aide d’un médecin.
Des mouvements brusques et brusques vers le pénis peuvent également endommager cet organe, vous ne devriez donc pas être trop zélé dans ce domaine. Tous les mouvements doivent être fluides, doux et ciblés, ce qui aidera le pénis à augmenter sa taille et finalement à atteindre son objectif final.
Aspects négatifs de la masturbation
Seul un spécialiste peut répondre à la question de savoir comment arrêter de se masturber. La masturbation peut parfois être bénéfique, mais elle a aussi ses inconvénients.
Quel est le mal de la masturbation ? Il existe de nombreux aspects négatifs, parmi lesquels deux inconvénients principaux peuvent être identifiés :
- production excessive de glucose dans le sang en raison d'un manque de niveaux de stress physique suffisants ;
- niveau élevé de concentration résiduelle d'adrénaline.
Pour les hommes, la branlette est nocive avec le risque de développer une pathologie appelée varicocèle. Il s'agit d'une maladie dans laquelle des veines enflées (diverses variétés) apparaissent sur les organes génitaux du sexe fort. Le pénis peut commencer à gonfler en raison du flux sanguin privé, ce qui peut à son tour déclencher le développement de processus inflammatoires dans la région de la prostate et dans les tissus voisins de la région du pénis.
En raison de la masturbation, les centres de la colonne vertébrale sont déprimés, ce qui a un impact considérable sur l'érection et l'éjaculation. Par conséquent, si vous vous masturbez fréquemment, vous ne devriez pas vous plaindre du fait que votre pénis ne durcit pas.
En l'absence de possibilité d'effectuer un rituel de branlette, les gens deviennent plus irritables, nerveux et des problèmes de mémoire, d'attention et de concentration peuvent survenir.
Dans les cas particulièrement avancés, un gonflement du pénis est possible, dans lequel tout le pénis et la tête peuvent gonfler. En plus de l'inconfort esthétique, cela entraîne de nombreuses sensations désagréables lors de la miction et, indépendamment de la vidange de la vessie, provoque des douleurs intenses.
Si vous n'utilisez pas de crème hydratante, alors avec des épines régulières et prolongées, le développement d'une balanoposthite est possible. Que dire du fait qu'avec une masturbation constante, la circulation sanguine dans le pénis se détériore, ce qui entraîne des conséquences irréversibles.
La masturbation entraîne une augmentation de l'excitabilité nerveuse, ce qui, avec le temps, peut provoquer un sentiment de satisfaction inférieur, un sentiment de faiblesse, de dépression et de faiblesse. L’estime de soi peut chuter considérablement. De plus, cela s'applique aussi bien aux hommes qu'aux femmes.
Bien sûr, tout doit être modéré. Cette règle s'applique également à la masturbation. Dans certains cas, la masturbation peut être très utile, mais il ne faut pas en abuser. D'accord, il est bien plus agréable de vivre du plaisir ensemble, en partageant des sensations indescriptibles avec son partenaire.
Vidéo « Est-il possible de se masturber – préjudice et bénéfice »
Informations intéressantes avec des faits historiques sur la masturbation, ses côtés positifs et négatifs.
– soi-disant médecin et même docteur en médecine – apprend aux gens à se masturber depuis l'écran de la principale chaîne de télévision russe. Ici, nous devons comprendre : est-elle une ennemie ou juste une idiote ? Les éditeurs de RuAN pensent qu'il y a un peu de tout ici. D'une part, les médecins d'aujourd'hui ne savent et ne comprennent presque rien, alors ils bavardent au hasard. D'un autre côté, les ennemis des Rus lui ont fait une offre qu'elle ne pouvait refuser en raison d'une ignorance totale des enjeux. D'où les nombreuses années de tromperie de l'écran principal du pays...
Les méfaits de la masturbation pour la santé humaine
Les méfaits de la masturbation s'expriment également par des conséquences telles que la neurasthénie cérébrale. Ces patients sont impuissants à la moindre difficulté, lâches, indécis, distraits, timides, timides, ils évitent la société et recherchent la solitude. Ils sont toujours en proie à l'anxiété, à la peur et aux cauchemars...
1. Dommages au système nerveux central
Le système nerveux relie tous les organes de notre corps en un tout inextricable. Chaque minute, nos facultés mentales entrent en contact avec le système nerveux, dont dépendent tous nos mouvements et sensations. Le système nerveux est une zone très organisée dans sa structure, et chaque impression reçue de l'extérieur est enregistrée par le système nerveux du cerveau. Après cela, il n’est pas surprenant que notre système nerveux soit affecté par le vice. La connexion interne qui existe entre les organes génitaux et le système nerveux, et principalement la moelle épinière, devrait être affectée en premier lieu par les organes. La médecine moderne appelle ce cas la neurasthénie sexuelle.
Neurasthénie sexuelle fait référence à cette forme de faiblesse nerveuse que l'on retrouve dans la perturbation des rapports sexuels, causée par des dommages à la propriété sexuelle. Bien entendu, d’autres maladies sont également possibles. Les maladies résultant de la masturbation sont si diverses qu'une liste d'entre elles et un résumé clair dépassent le cadre de ce travail, mais, compte tenu de la nécessité d'enseigner à chaque médecin au moins quelques informations concernant ces maladies, je m'y attarderai. En quelques mots.
Trois types de neurasthénie attirent l'attention d'un célèbre psychiatre Kraft-Ebing.
1. Névrose locale, qui se traduit par des émissions fréquentes et une éjaculation précoce.
2. Névrose lombaire, accompagné de névralgie du plexus nerveux lombo-sacré et d'émissions diurnes et nocturnes fréquentes, avec une forte diminution de la volonté.
3. Augmentation des symptômes neurasthéniques. Ce phénomène affecte le système spinal à tel point qu'il provoque des anomalies sexuelles, telles qu'un aspermatisme temporaire (manque de libération des spermatozoïdes), dans lequel les spermatozoïdes n'apparaissent pas vers l'extérieur, des écoulements séminaux et d'autres types.
Ce schéma de Krafft-Ebing n'est pas complètement légalisé, indiscutable et inébranlable, mais en termes généraux, il donne l'interprétation correcte de la maladie. Les excès sexuels peuvent conduire à une neurasthénie spinale sans perturber le bon fonctionnement des organes génitaux. Au contraire, j'ai le courage d'affirmer que les organes génitaux ne sont en aucun cas violés. Si nous nous rappelons comment, à la suite de rapports sexuels excessifs ou de masturbation, nos excès sexuels ont été modifiés, alors nous serons convaincus que les patients qui abusent des rapports sexuels sont adjacents à la troisième étape du schéma établi par Krafft-Ebing. Différents types d'excès sexuels entraînent différentes conséquences neurasthéniques. Causes de la masturbation neurasthénie cérébrale, rapports sexuels excessifs - neurasthénie spinale, une copulation interrompue provoque une impuissance sexuelle mentale.
Il existe bien sûr des écarts par rapport aux dispositions que j'ai données. Les phénomènes cérébraux de neurasthénie sexuelle entraînent des maux de tête et exercent une pression sur le cerveau. La pression et la douleur sont ressenties au niveau du front ou à l’arrière du crâne. L'activité mentale correcte est naturellement perturbée par tout cela, les patients abandonnent leur travail ; ils sont incapables de lire, d'écrire ou de travailler, et leur humeur générale est maussade, associée à l'insomnie, à la mélancolie, à un sentiment de peur, à un affaiblissement des capacités mentales, à un manque d'énergie et à une irritabilité accrue. Malgré leurs meilleurs vœux, les patients sont privés de la possibilité de se ressaisir et de faire preuve de maîtrise de soi. Très souvent, ils perdent la mémoire et ces patients présentent des troubles dans divers sens.
Phénomènes spinaux connecté du côté du cerveau et avec d’autres centres. Ici, la faiblesse, la fatigue et les douleurs dans la région lombaire et dans les membres entrent en jeu. Les patients se plaignent de ramper sur le dos, de froid, de lourdeur dans divers membres, de douleurs et de névralgies. Le médecin doit prendre en compte ces sensations purement individuelles lors du diagnostic, en les déterminant par la recherche. Tremblements des membres, contractions vibratoires, en particulier dans les doigts, augmentation du réflexe du genou avec un léger coup - tout cela indique maladie grave, pour le traitement duquel le médecin doit s'armer de connaissances et de patience.
Geslin explique la neurasthénie de deux manières : la fatigue des centres d'activité sexuelle, qui résulte d'une surstimulation, et des influences mentales, dans lesquelles le patient réfléchit constamment aux conséquences possibles. Cela lui cause de la souffrance et de la peur, cela se développe en lui haine de la vie, crée de la mélancolie et une humeur déprimée. Toute la vie, les pensées et l'imagination de ces patients sont occupées par des idées tournant uniquement autour des tendances sexuelles. Gessling note que pour de nombreuses personnes mariées de cette catégorie, la peur de leur femme, qu'elle puisse tomber dans une relaxation sexuelle et créer un environnement d'infidélité légalisée, est si grande que le patient recherche les moyens les plus artificiels pour abolir cela et, ne le trouvant pas, tombe dans une humeur dépressive, ce qui affecte gravement son système nerveux.
La masturbation cause un préjudice absolument incalculable aux jeunes hommes qui ont une prédisposition à cet acte de la part de leurs parents. Ces jeunes hommes sont sujets à la neurasthénie cérébrale, avec toutes les conséquences qui en découlent, pouvant aller jusqu'aux convulsions neurasthéniques. Furbinger dit qu'il a connu un jeune homme, d'excellente hérédité et de santé florissante, qui, sous l'influence de l'onanisme, a tout perdu et atteint l'épuisement complet.
Beaucoup ont discuté de la façon dont la masturbation affecte différents sexes et chez qui elle provoque une neurasthénie plus grave : chez l'homme ou chez la femme. Personnellement, je pense qu'il n'y a pas beaucoup de différence ici. Goessling dit que les hommes souffrent comparativement moins d'épuisement que les femmes, car elles sont plus enclines aux rapports sexuels naturels. Quant à l'opinion selon laquelle la disparition d'une érection ou d'une éjaculation de sperme se termine par la masturbation, elle n'est pas tout à fait vraie. La masturbation, contrairement à la copulation normale, ne nécessite pas d'érection, mais seulement lubricité, désirs.
Ainsi, de tout ce qui précède, nous concluons que la masturbation a un effet extrêmement dramatique sur le système nerveux, dont le résultat est troubles graves de l'ensemble du système nerveux. Bien sûr, il y a des cas de suicide, mais je ne considère pas cela comme un facteur suffisamment frappant, et ceux qui prétendent qu'il en est ainsi, à mon avis, exagèrent quelque peu.
2. Dommages aux organes des sens externes
L'opinion ci-dessus selon laquelle la masturbation affecte principalement vision, n’a pas reçu une interprétation suffisante dans la partie précédente de ce travail. Je considère qu'il est nécessaire de s'arrêter un peu à ce stade. Il convient toutefois de garder à l’esprit que non seulement l’œil, mais aussi l’odorat, l’oreille et même la parole sont sujets à des modifications anormales du fait de la masturbation. Tissot, et particulièrement Koch, en 1982, ils ont souligné l'effet de la masturbation sur la vision. Koch tire ses conclusions d'un certain nombre d'observations de garçons et de filles chez lesquels les maladies oculaires se sont développées de manière constante et forte et disparu avec l'arrêt de la masturbation. Les célèbres ophtalmologistes Morin, Galezovsky et Fitzgerald soutiennent leurs observations par une liste étonnante de victimes de la masturbation. Prof. Koch fait référence à sa pratique, qui a abouti à ce qu'un certain nombre de patients souffrent de maladies oculaires subjectives, exprimées par la photophobie.
Extérieurement, les yeux d'Onaniki ne présentent pas de signes de dommages à tous égards : des pupilles normales, une certaine acuité visuelle, tension et sensation de lumière, le nerf optique et la rétine sont en ordre, mais néanmoins, les yeux d'Onaniki ont tellement peur de lumière qui, progressivement, toutes les fonctions oculaires s'affaiblissent, la pomme prend l'apparence d'une sorte de teinte mate et les patients commencent à se sentir étourdis. Habituellement, les patients ressentent cela dans les deux yeux en même temps, et ces phénomènes s'accompagnent de symptômes caractéristiques, tels que la phosphorisation de la pupille, l'apparition de certains flocons de neige, cercles, points et insectes devant les yeux ; Les patients vivent constamment un état tel que s'ils sortaient de l'obscurité pour entrer dans une lumière vive, la lecture devenait complètement impossible. Morin raconte qu'une Américaine, qui se masturbait depuis de nombreuses années, avait réduit sa vision à un état si bas qu'elle ne pouvait plus supporter le regard des regards indiscrets.
Chez les patients, cette réaction dure entre un mois et plusieurs années, mais je connais un patient qui a souffert de lésions oculaires dues à la masturbation pendant 20 ans. Les patients se plaignaient de douleurs dans la zone sacrée, mais je n'avais aucune preuve définitive qu'ils avaient un tabes dorsalis, au contraire, en même temps j'ai remarqué chez eux tous les signes de neurasthénie, comme l'insomnie et de graves émissions nocturnes. Cause de la déficience visuelle il faut regarder dans le cerveau, puisque les nerfs optiques, selon les ophtalmologistes, ne sont pas touchés.
Les vieilles filles et les femmes en général sont très sensibles aux maladies oculaires rapides dues à la masturbation, et celles-ci se manifestent le plus souvent sous la forme d'un catarrhe sec de la membrane conjonctive des yeux. Pour mes confrères, je signale l'apparition des symptômes suivants : rougeur de la membrane conjonctive, sans écoulement de pus ni aucune autre sécrétion, pression au niveau pupillaire et sensation de brûlure. Je connaissais un patient de 24 ans qui se masturbait 4 fois par jour depuis l'âge de 15 ans. Il m'a avoué qu'il se sent toujours un peu ivre, comme à cause de la morphine, et malgré tous ses efforts pour arrêter la masturbation, il ne peut pas le faire, car sans cela, il se sent opprimé et seul. Bientôt, ce patient présenta tous les signes oculaires que j'ai décrits ci-dessus.
Foerster, Landesberg et j'ai observé un malade qui développa une inflammation catarrhale de la membrane conjonctive, si facilement guérissable dans un jeune âge si elle apparaît par d'autres causes que la masturbation, et si difficile à traiter par la masturbation. Spasmes des paupières, rougeur du nerf optique, dus à la masturbation, prof. Morin a observé chez de nombreux patients, surtout chez les femmes. Förster cite des cas d'apparition de la maladie de Baset chez la femme, sous l'influence d'un défaut développé précocement, ainsi que d'un verdissement complet de la cataracte, et Hutchinson hémorragie interne de l’œil observée causée par la masturbation.
Ainsi, il est possible d'établir avec certitude la durée et la fréquence de la masturbation chez les patients dès qu'ils développent des maladies induites par la lumière. Alors que les oculistes luttent depuis longtemps contre ces phénomènes, chez les onanistes, ces phénomènes mettre fin immédiatement, dès que les patients arrêtent de se masturber.
Daniel Benver(un célèbre ophtalmologiste de Hambourg) rapporte un cas d'augmentation de la sensibilité de la rétine suite à la masturbation. Ce spécialiste avait un patient de 29 ans qui réagissait si fortement à la lumière qu'il devait porter des lunettes noires. Ce patient était un enseignant national et, avec sa convoitise vicieuse, il en est arrivé au point où il a dû abandonner l'enseignement à l'école. Benver a examiné les yeux avec un miroir et a constaté que tous les nerfs optiques, membranes, etc., étaient en parfait état. Dans ces cas, je recommande de recourir à l'électrification, au bromure de sodium et à l'arsenic. Ces remèdes donnent des résultats très positifs dans le traitement des yeux des onaniques.
Dès l'apparition d'une sensibilité oculaire excessive, d'une photophobie, de spasmes des paupières, d'une dilatation et d'une immobilité de la pupille, il est conseillé au médecin de suspecter une masturbation. Prof. Furbinger considère une augmentation du réflexe du genou et un tremblement des paupières comme un signe complètement diagnostique (définitif) de masturbation. Frédéric Hoffmann J'ai observé chez un patient qui recourait souvent à la masturbation, au cours de la 23e année de sa vie, de graves vertiges et des pupilles dilatées. Le même médecin rapporte des cas étonnants patients aveugles engagé dans la masturbation. Cependant, un certain nombre d'oculistes rejettent cette conclusion et recherchent d'autres causes de cécité, car les études miroir n'ont pas donné de résultats positifs.
Perte auditive, à cause de la masturbation. Ici, les phénomènes ne sont pas aussi dramatiques que dans les maladies oculaires, mais nous trouvons néanmoins des documents provenant d'un certain nombre de spécialistes des maladies de l'oreille qui nous convainquent que la masturbation affecte sans aucun doute l'audition. Bonafond J'ai observé des phénomènes aigus dans les oreilles chez des patients, tels que des douleurs, des bourdonnements, des coliques, et l'aspect anatomique de l'oreille n'a pas du tout changé. La même chose est déclarée Weber Lisle, qui a observé non seulement lors de la masturbation, mais même lors de copulations trop violentes, surtout chez la femme, des phénomènes défavorables à l'oreille.
Si, en général, le patient est sensible à l'inflammation de l'oreille moyenne, chez les onaniques, cette maladie évolue de manière extrêmement défavorable. Les symptômes accompagnant la maladie de l'oreille se révèlent par des douleurs dans la colonne vertébrale, au niveau des vertèbres lombaires thoraciques et nerveuses. Les médecins ont essayé de recourir à un traitement local, mais cela n'a donné aucun effet, car la cause principale de la maladie n'a pas été éliminée, c'est-à-dire. masturbation.
Weber Lisle affirme que certaines femmes souffrant de déficience auditive refusent de se marier de peur d'aggraver leur maladie (probablement en fonction des rapports sexuels). Ce qui est le plus caractéristique, c'est qu'avec toutes les maladies de l'oreille, les patients ne subissent pas de lésions auditives anatomiques, tandis qu'il existe des acouphènes, des douleurs et une sensibilité auditive accrue.
3. Dommages au psychisme et à l'esprit
La masturbation prolongée porte un coup dur aux capacités mentales d’une personne. La neurasthénie cérébrale, conséquence des excès sexuels, affecte principalement les émotions spirituelles d'une personne. Si nous retraçons ce qui se passe dans l’âme d’une personne pendant et après l’acte d’onanisme, nous remarquerons que le processus même, qui provoque de plus en plus d’excitation, augmente l’érection, l’exaltation mentale et mentale jusqu’au plus pathétique. Au moment d'une augmentation progressive des expériences sexuelles voluptueuses, l'état mental de l'onaniste lui dicte l'extase, les paroles élevées, les analogies poétiques, les phrases délirantes, et dès que vient le moment de satisfaction, dès que l'érection tombe, le le pathétique de la personne, son exaltation et son extase tombent avec lui. Au moment de la volupté, la circulation sanguine s'accélère, tout le corps est intensément réchauffé, le sang afflue vers la tête si bien que la personne qui vit cet état semble perdre la tête, les yeux fermés, et parfois il s'agit de convulsions, de convulsions, comme une conséquence de l'extase érotique.
Choquer tout le système nerveux implique complet épuisement cérébral. Cela indique qu'un tel processus ne peut que provoquer un choc extrême sur la volonté et les émotions d'une personne. Il n’est pas difficile d’imaginer ce qui arrive à un sujet qui se livre à ce genre de manipulation plusieurs fois par jour pendant des années. Au médecin Tissot un patient rapporte ce qui suit : « Mon pouvoir d'imagination s'est tari, ma gaieté disparaît chaque jour et tous mes sentiments s'estompent. Je regarde mon environnement comme s'il s'agissait d'un rêve, comme d'une vision. Je fais des efforts incroyables avec mon âme dévastée pour trouver en moi le potentiel de ces lignes..
Ci-dessus, dans la description neurasthénie cérébrale, j'ai déjà eu l'occasion de parler des ravages qui se produisent dans le cerveau d'une personne et de la manière dont cela affecte sa mémoire : lourdeur dans la tête, vertiges sévères, affaiblissement du système nerveux, perte de mémoire - tout cela accompagne un patient qui présente des signes de neurasthénie cérébrale , et on arrive au point que les patients sont obligés refuser d'exercer des fonctions officielles. Cette seule circonstance, c'est-à-dire La conscience qu’a une personne de s’être exclue de la vie et de ses responsabilités entraîne des conséquences mentales dangereuses.
Ces patients sont impuissants à la moindre difficulté, lâches, indécis, distraits, timides, timides, ils évitent la société et recherchent la solitude. Ils sont toujours en proie à l’anxiété, à la peur et aux cauchemars. Chez beaucoup de malades, l'insomnie s'ajoute à tous ces phénomènes, et ils sont alors infiniment pitoyables. Ils se livrent à leur état d’esprit, solitaire, sombre et déprimé. Les patients, au coucher, sont tourmentés par leurs pensées toute la nuit, leur conscience est blessée, une autoflagellation survient - un processus qui les tourmente encore plus. Les patients ne connaissent pas le sommeil, deviennent hypocondriaques et développent avec le temps des tendances morbides anormales, entraînant un certain nombre de phénomènes indiquant que neurasthénie cérébrale va à psychoses.
De là, nous tirons la conclusion sans équivoque que, puisque la mélancolie et l'hypocondrie surviennent chez les jeunes, la présence de masturbation doit alors être suspectée. Cependant, les affirmations selon lesquelles ce défaut entraînerait une paralysie progressive et une folie sont totalement fausses. Jamais auparavant la folie n’a été une conséquence de la masturbation, encore moins une paralysie progressive. Kurshman croit à juste titre que la masturbation peut constituer un facteur prédisposant à la maladie mentale.
Un certain nombre d'autorités, comme Ellinger, Hagenbach et d'autres, considèrent la masturbation comme la cause directe maladie mentale. Eringer, par exemple, prétend que la masturbation dans soixante-trois cas provoquait de graves symptômes de troubles mentaux ; Fleming, Fredrich et Morel sont du même avis. Prof. Esquirol suggère que la plupart des maladies mentales observées dans les couches aristocratiques de la société sont le résultat de la masturbation. Il écrit ce qui suit : « L'onanisme est un mal meurtrier des hommes, il est cause de folie, surtout parmi la classe possédante. Hagenbach a identifié 69 cas de folie (sur 800) dont la masturbation pourrait être la cause ; cependant, plusieurs d'entre eux impliquaient sans aucun doute une maladie mentale..."
Célèbre psychiatre anglais, médecin Skye, estimait qu'il existait un type particulier "folie onaniste", accompagné d'un regard errant, d'une faiblesse générale, d'une dépression, d'une maladresse, de tendances suicidaires, etc. Un autre médecin, anglais Spitsk, donne une image complètement différente des phénomènes mentaux lors de la masturbation ; il prétend que les patients éprouvent une somnolence générale, la tristesse des pensées est soudainement remplacée par l'exaltation, l'illumination générale ; La perte d’esprit dépend directement de la fréquence de la masturbation. La maladie se manifeste entre 13 et 20 ans ; Avant 13 ans, les maladies mentales sont rarissimes, et il s'agit ici de bêtise ordinaire, d'épilepsie et d'agitation extrême...
Il existe même une opinion selon laquelle la masturbation implique l'idiotie, mais c'est incorrect. Il n’y a aucun cas où la masturbation soit la seule cause de l’idiotie ; la science psychiatrique établit le phénomène inverse, à savoir que l'idiotie provoque une tendance à l'onanisme. La question reste ouverte sur épilepsie, cette névrose fonctionnelle qui s'exprime sous forme de convulsions. En tant que médecin, je dois confirmer que les causes de l'épilepsie ne sont pas encore établies. Les tentatives faites par les médecins pour expliquer l'origine de l'épilepsie sont intenables ; elles ne sont que des facteurs prédisposant à cette maladie. La prédisposition ici doit être comprise comme hérédité, c'est à dire. qu'un des proches du patient a déjà souffert d'épilepsie. Toutefois, cela n’est pas du tout nécessaire pour qu’une maladie grave survienne. Si le patient est sensible à la prédisposition, le choc neuropsychique des systèmes nerveux central et périphérique contribue à l'apparition d'un tableau complet de l'épilepsie.
Autrefois, les médecins définissaient la copulation comme une épilepsie temporaire, et non sans raison. Cas de note Tissot, Hoffmann et Galer crises d'épilepsie après chaque acte d'onanisme. Zimmerman décrit des cas de crises d'épilepsie chez un garçon de 23 ans après masturbation et émissions nocturnes. Lorsque le patient parvenait à contrôler ses pulsions, les crises d'épilepsie cessaient, mais reprenaient avec encore plus de force dès qu'il retombait dans son étau. Prof. Morille décrit le même cas, et il souligne que les crises d’épilepsie du patient ont complètement disparu et qu’il a réussi à guérir le patient des tendances onanistes. Une issue aussi favorable est absolument restauré les capacités mentales du patient, qui a immédiatement repris ses activités normales.
On observe souvent des crises d'épilepsie après l'acte de copulation chez les animaux, principalement chez les chiens. Tout ce que nous avons donné ici à propos de l'épilepsie et de la masturbation s'applique presque entièrement à la définition. liens entre l'hystérie et la masturbation. L'hystérie est également un symptôme prédisposant, mais ce phénomène ne peut en aucun cas être pris en compte comme cause directe de la maladie. Hystérie elle est exclusivement associée uniquement à des processus mentaux et a la même étiologie peu claire que l'épilepsie. Nous connaissons des cas où l'hystérie apparaît chez des personnes mentalement très excitées, que cette excitation soit ponctuelle ou répétée sur une longue période. Éveillements onanistes représentent de fortes irritations mentales et physiques qui peuvent perturber le système nerveux central de son état d'équilibre normal habituel. Ceci est bien entendu exacerbé si le sujet a une prédisposition à la maladie. Une éducation perverse, qui entraîne un stress mental excessif, prépare certainement le terrain à l’hystérie.
Les processus sexuels menant au développement de l'hystérie ne passent pas sans laisser de trace ; Cette affirmation est confirmée par d'innombrables observations dans la pratique médicale. Chez les femmes, l'hystérie est étroitement liée aux effets sexuels qui surviennent après une nymphomanie et d'autres excès sexuels, et Après la masturbation, les femmes subissent des crises d'hystérie. A l'appui de cette opinion, Tissot et Foder citent de nombreux faits faisant autorité ; Ainsi, nous pouvons supposer avec certitude que la masturbation est un facteur qui détecte l'hystérie, mais ne la provoque pas.
Furbinger prouve à juste titre que la folie n’est pas une conséquence directe de la masturbation ou des excès sexuels excessifs. Il n’admet catégoriquement pas que la neurasthénie sexuelle puisse aboutir à une forme grave de psychopathie. Contrairement à cette opinion, des autorités aussi respectables que Griesinger et Ellinger prouvent que la masturbation est une cause sérieuse de folie.
Notre conclusion se résume au diagnostic unanime d'éminents scientifiques et observateurs selon lequel la masturbation provoque grand mal capacités mentales, raison, affaiblissant la mémoire dans le premier cas et dans le second - compliquant le développement de la pensée. La masturbation peut aussi provoquer de légères psychoses (malancholie, hystérie, disposition au mysticisme), mais toujours en présence d'hérédité. L'onanisme ne conduit jamais à une psychose grave et ne peut provoquer ni folie, ni suicide, ni paralysie progressive. Dans les statistiques des hôpitaux psychiatriques, nous trouvons les chiffres suivants : en Suède, il y avait des malades mentaux 3,7% , En Angleterre - 1,1% .
Masturbation à court terme, qui apparaît inévitablement comme une forme de transition vers les rapports sexuels chez presque toutes les personnes, n'affecte en rien les capacités mentales. Plus la masturbation dure de plus en plus longtemps, plus elle représente un danger pour une personne et son activité intellectuelle.
Tout comme les perversions psychosexuelles peuvent provoquer la masturbation, la masturbation est une cause prédisposante aux psychoses sexuelles mentionnées. Physiologiquement, il est difficile d’établir les limites entre normal et excessif. Nous avons souligné encore plus haut que cela dépend des caractéristiques subjectives et individuelles d'une personne. Nymphomanie Et satyriasis nous définissons un état sexuel aigu d'un homme ou d'une femme, dans lequel les idées les plus indifférentes entraînent des sensations voluptueuses, et ce désir sexuel est si fort que le patient essaie d'être satisfait à tout prix. Dans leur excitation sexuelle, les patients atteignent le stade des hallucinations, de la folie et peuvent souvent s'avérer dangereux pour la moralité publique. Les nymphomanes et les satyriasis ne sont pas difficiles à reconnaître, car ils perdent tellement le contrôle d'eux-mêmes qu'ils n'essaient pas de cacher leur passion destructrice. Ils sont submergés par la vague de leurs désirs sales et perdent toute notion de honte ; Il y a des moments où ils s'adonnent à leur vice même en présence d'étrangers.
Deslyand Toutes ces anomalies s'expliquent par une fausse éducation. Il connaissait une petite fille qui ne pouvait être sevrée de la masturbation ni par des demandes, des remontrances, des menaces ou même des châtiments corporels ; elle s'adonnait à ce vice sans vergogne devant tout le monde, même à table, à la vue de plats agréables. Par la suite, le mariage n’a pas débarrassé cette femme du vice, et elle a continué à se masturber jusqu’à sa mort.
La racine des vices sexuels cachée dans le corps réveille chez une personne des tendances masturbatoires, par la suite des perversions, et conduit finalement à une psychose sexuelle. Par curiosité, je vais vous raconter l'incident kleptomanie comme conséquence de la masturbation. Médecin Fermeture éclair en 1878, il eut une rencontre avec un patient de 32 ans, boulanger de profession, qui se masturbait depuis 19 ans. Lorsqu'il vit une belle femme, il devint si excité que sa maîtrise de lui-même le quitta ; le cœur commença à battre fort, le pénis se tendit, et pour satisfaire sa passion, il dut toucher un vêtement de cette femme, et il lui vola son mouchoir ou autre chose, et après cela vint la satisfaction. L’illusion mentale peut conduire à la mutilation des organes génitaux, ce qui est bien entendu une conséquence de la masturbation.
Nous connaissons de nombreux cas, dégoûtants par leur sauvagerie, évoquant en nous des sentiments de dégoût. Chopard décrit un cas où un garçon de 15 ans a atteint une telle perfection dans le vice que, s'adonnant à l'onanisme huit fois par jour, il n'a pas extrait la graine. Par la suite, il a commencé à irriter l'urètre avec divers objets, mais lorsque cela a cessé de fonctionner, il a commencé à se couper le pénis avec un couteau, et la sensation voluptueuse était tellement paralysée par la douleur qu'à ce moment-là, il était satisfait. Très souvent, nous rencontrons des signes de lésions de l'urètre, de la muqueuse de la vessie, du col de l'utérus et même de l'utérus lui-même. Ces mutilations des organes génitaux confèrent aux patientes une volupté extrême et les obligent finalement à se tourner vers les chirurgiens. Si ces opérations sont réalisées sans anesthésie, elles sont très douloureuses et débarrassent pendant un certain temps le patient de ce défaut.
4. Dommages digestifs
Les effets néfastes de la masturbation sur les organes digestifs se font sentir exclusivement à travers la neurasthénie sexuelle. Bien entendu, ces phénomènes ne sont pas aussi fréquents que les lésions du système nerveux. Chez les neurasthéniques qui se masturbent, la digestion devient difficile en raison de ce qu'on appelle la dyspepsie nerveuse, qui se traduit par des douleurs à l'estomac immédiatement après avoir mangé, ainsi que par des éructations, des vomissements, notamment après des troubles émotionnels. Ces phénomènes s'accompagnent d'une perte d'appétit, d'éjaculation et d'un goût désagréable en bouche. Moins fréquent chez les onanistes maladies nerveuses gastriques, compliquée de vomissements, de mouvements péristaltiques des intestins, de constipation et de ballonnements.
Une étude approfondie des patients a montré que les maladies gastriques surviennent en raison d'un état mental excité, ainsi que sous l'influence attaques onanistes. Le système nerveux central contrôle tous les phénomènes anormaux qui provoquent des douleurs à l'estomac et, comme il s'avère, ce phénomène n'est pas de nature nerveuse, mais présente tous les symptômes d'une maladie des nerfs gastriques. Chez ces patients, on remarque des maux de tête, une lourdeur dans la tête, des troubles des fonctions sexuelles et un état d'esprit déséquilibré.
L'état général du patient dépend principalement de l'humeur, et l'humeur de l'esprit change en fonction de phénomènes gastro-intestinaux. Chez certains patients, des douleurs à l'estomac surviennent immédiatement après avoir mangé des aliments digestibles, même en petites quantités, comme quelques cuillères de soupe ou deux ou trois gorgées de bouillon ; dans d'autres cas, l'onaniste digère facilement un repas copieux composé de plats difficiles à digérer. Il est impossible de poser un diagnostic précis permettant de déterminer l’origine des maladies gastro-intestinales. Cela dépend principalement de la manière dont l’estomac du patient est généralement adapté à la digestion des fourrages grossiers. Le plus souvent, on constate des complications gastriques chez les patients des classes aisées, habitués à la nourriture choyée, à toutes sortes de gourmandises comme le caviar, le balyk, les sardines, etc., ainsi qu'aux boissons alcoolisées, au cognac, etc. Ces patients souffrent de maladies nerveuses du l'estomac sont également associés à catarrhe de l'estomac. Chez les jeunes hommes des deux sexes, pendant une période où le corps a besoin d'un afflux de nutriments et où le besoin de nourriture est accru, la masturbation provoque une augmentation de l'appétit.
Au début, il semble que le corps reconstitue intensément l'énergie perdue, due au long processus de masturbation, en exigeant de fortes doses de nourriture. Au fil du temps, avec une masturbation prolongée, une image complètement différente se dessine : les patients ressentent une maigreur, une pâleur et remarquent tous ces troubles nutritionnels qui conduisent à cachexie nerveuse. Tout cela s'accompagne d'une perte de force, d'une faiblesse, de ballonnements, de vomissements, de constipation et de diarrhée. Les femmes y sont particulièrement sensibles. J'ai observé chez des malades des diarrhées certainement d'origine onaniste ; Une patiente de 20 ans a eu des crises de diarrhée dès qu'elle s'est couchée et a réchauffé ses parties génitales. 5 à 6 fois pendant la nuit, elle a eu ces pulsions, et selon le diagnostic des médecins et mon observation personnelle, cette femme a souffert neurasthénie sexuelle.
Il a été possible d'établir que la diarrhée survenait peu après le décès de son mari et, comme il s'est avéré plus tard, des manipulations onanistes, auquel cette veuve avait souvent recours. J'ai conseillé à la patiente de se marier le plus tôt possible, et lorsqu'elle a rapidement réalisé son intention, elle a été complètement libérée de toute souffrance gastrique.
Voici les faits qui nous convainquent de l'influence de la neurasthénie sexuelle sur les processus digestifs. Prof. Preyer cite un certain nombre de cas de maladies gastriques liées à un dysfonctionnement sexuel. Hoffmann parle d'un homme qui a développé la diarrhée après un acte d'onanisme, et Fournier commente un autre cas d'un jeune homme souffrant de graves coliques abdominales et de diarrhée causées par la masturbation ; et lorsque le patient recevait des aliments diététiques (une petite quantité de vin rouge, de la viande, etc.), tous ces symptômes disparaissaient immédiatement. En tout, indigestion chez les onanistes- ce n'est pas si rare. Il faut cependant admettre que Fournier exagère quelque peu ces phénomènes. Selon la conclusion générale des médecins, la neurasthénie sexuelle, due à la masturbation, entraîne des troubles de l'activité mentale et émotionnelle et, dans de très rares cas, une indigestion.
5. Effet sur la circulation sanguine et la respiration
Non seulement les médecins, mais aussi la plupart des gens connaissent l’existence d’un lien entre les organes respiratoires (gorge) et les fonctions sexuelles. On sait, par exemple, comment au cours de la période de maturité la voix des jeunes hommes change, qui tantôt diminue, tantôt augmente, acquérant un soupçon d'enrouement ou de sonorité. Il existe également des cas où, dans l'Antiquité, ils recouraient à la castration des chanteurs afin de préserver leur voix, principalement chez les garçons. En Italie, au XXe siècle, les testicules des garçons étaient coupés lorsqu'ils entraient dans une chorale d'église italienne. La médecine connaît des cas où des femmes ayant subi une opération de castration ont eu une modification de leur voix, qui a acquis un ton plus masculin et plus rude, alors que chez les hommes adultes, cette opération a provoqué exactement le phénomène inverse. L'effet de la masturbation sur les poumons est insignifiant, et s'il existe encore des cas opposés en médecine, cela fait référence à une période où la masturbation n'a pas encore été suffisamment étudiée par les chercheurs.
Platiers décrit un cas où un homme remarié a eu des crises d'étouffement lors de rapports sexuels avec sa femme et lors d'une excitation sexuelle normale. Ce sujet est mort lors d'une copulation violente. À propos de la véritable cause du décès du patient, c'est-à-dire Platers ne rapporte rien sur les maladies pulmonaires ou cardiaques. Il faut cependant dire que les auteurs les plus récents - les chercheurs modernes - sont du même avis que La masturbation a un effet extrêmement néfaste sur les poumons. Fournier, par exemple, témoigne que les onanistes souffrent pour la plupart d'un sous-développement de la poitrine, de difficultés respiratoires, de lésions pulmonaires et de catarrhe chronique. Fournier considère ce fait si convaincant qu'il n'est pas nécessaire de l'étayer par d'autres observations.
Même Riebing, cet « innovateur » dans le domaine de la recherche sur les causes de la masturbation, rapporte que maladies cardiaques et pulmonaires sont sans aucun doute les conséquences de la masturbation. Peyer cite un certain nombre de cas d'asthme chez des patients dus à des excès sexuels, c'est-à-dire il existe ce qu'on appelle l'asthme génital. J'avoue que le processus a été aggravé par les phénomènes de neurasthénie sexuelle, l'état bronchique des voies respiratoires et, le plus souvent, par les processus asthmatiques. Si nous parlons de l’effet direct et immédiat de la masturbation sur les voies respiratoires, alors je dois souligner qu’il n’y a pas d’effet direct de la masturbation sur les organes respiratoires et circulatoires.
Une influence plus néfaste masturbation a un impact sur organes circulatoires. Cette fois, la neurasthénie sexuelle prend une importance prédominante. Pour se convaincre de l'influence de la masturbation sur l'activité cardiaque, il suffit de suivre les phénomènes qui se produisent lors de la copulation. L'excitation multiplie le nombre de battements de cœur, la respiration se resserre et le visage devient rouge de sang. Cela crée une accélération excessive de la circulation sanguine et amène le sujet à l’extrême limite de la tension. La question ici est de savoir si une masturbation excessive, en présence d'une prédisposition, telle que l'artériosclérose et d'autres causes, peut conduire à l'apoplexie ou à la survenue d'un anévrisme. En science, nous trouvons des cas où l'excitation excessive d'un homme avec une jeune fille a entraîné la mort en raison d'un anévrisme mineur de l'aorte. Des palpitations, des crises de douleur dans la région de la poitrine, une activité cardiaque accrue, une augmentation épileptique du pouls - peuvent certainement se développer sous la forme de névroses cardiaques chez les onanistes.
Le fait que de tels phénomènes au niveau du cœur dépendent également d'une forte influence nerveuse nous convainc que les onanistes souffrant de névroses cardiaques sont également sensibles à d'autres maladies nerveuses. La dernière conclusion nous donne le droit incontestable de soupçonner une neurasthénie sexuelle chez le patient.
6. Effet sur l'organisation musculaire
Suite à cela, la question se pose de la possibilité de l'influence de la masturbation sur le système musculaire, c'est-à-dire sur les conséquences possibles de la masturbation, comme la paralysie complète et même partielle. Il faut ici, à propos de l'influence de la masturbation sur le système musculaire, répéter complètement ce que nous avons dit sur la relation entre la masturbation et les organes respiratoires, c'est-à-dire que cette influence est exagérée. En 1857, le célèbre scientifique français Bourbon a choisi cette question comme sujet de sa thèse. Un certain nombre de ses conclusions et observations se résumaient au fait que de petits afflux de sang devraient avoir un effet incontestable sur le cerveau et, principalement, sur la moelle épinière. Ces phénomènes donnent lieu à des chocs partiels qui conduisent à leur tour à la paraplégie.
Je considère cela comme incroyable, car je ne connais, ni dans ma pratique ni dans celle d'autres scientifiques, de cas de paralysie chez un patient, de contracture et d'autres conséquences de « choc » dues à la masturbation. À mon avis, la masturbation affaiblit le système musculaire, c'est pourquoi après chaque acte de masturbation, accompagné d'une diminution de l'activité mentale et d'une légère fatigue physique, on observe un affaiblissement de la démarche, une fatigue rapide et parfois des douleurs dans les membres. Les patients se plaignent souvent d'une sensation de lourdeur dans tous les membres. Je considère ce genre de phénomène comme symptomatique pour les diagnostiqueurs, mais en tant que médecin, je ne peux pas admettre que la paralysie soit dépendante de la masturbation.
7. L'influence de la masturbation sur les organes génitaux
Je dois diviser cette partie en deux groupes :
1. Lésions organiques.
2. Les lésions sont fonctionnelles.
Les lésions organiques sont moins importantes que ces dernières. Selon les observations des médecins, à cause de la masturbation fréquente, ainsi que des copulations perverses fréquentes, les organes génitaux des hommes et des femmes s'agrandissent, en particulier chez les premiers, lorsque la taille et la taille du pénis atteignent des dimensions extraordinaires. Chez les garçons et les hommes adultes, le pénis et le scrotum grossissent simultanément, et chez les filles et les femmes, les grandes et petites lèvres et, principalement, le clitoris. Cela se produit également en raison d'un rétrécissement dû à des afflux de sang fréquents. Nous trouvons des documents dans des études sur la masturbation dans lesquels nous pouvons lire que chez les prostituées, le clitoris atteignait une longueur de 6-8 centimètres, et il gonfle beaucoup, devient rouge pourpre, des plis se forment à proximité et son apparence ressemble à la forme d'un pénis masculin. En médecine, nous connaissons des cas où des phénomènes de ce genre nous ont donné des raisons de considérer de telles femmes comme hermaphrodites. Leurs lèvres sont devenues plus longues, des signes de gonflement sont apparus, elles se sont affaissées et épaissies. Dans ces cas, l'ouverture externe s'ouvre et l'expansion du canal s'étend presque jusqu'au col de la vessie.
Si l’on peut affirmer que les masturbateurs, en raison de leur passion destructrice, avaient des organes génitaux élargis, alors on ne peut pas en conclure que la masturbation en est la cause. Dans la grande majorité des cas, les organes génitaux des onanistes ne sont pas différents des organes génitaux de tout le monde. Apparaissent sur les organes génitaux eczéma, éruptions cutanées résultant du frottement et de leur peignage. Il s’agit cependant de phénomènes rares et ils apparaissent majoritairement chez les filles et les femmes. Dans la pratique, je n’ai généralement pas vu cela se produire. La masturbation, pratiquée à la main ou par d'autres moyens, entraîne d'autres conséquences que le frottement des cuisses, l'introduction de corps étrangers dans l'orifice génital, etc. Tardieu indique que certaines filles ont inséré divers objets dans leur vagin et ont tellement développé l'élasticité des organes génitaux qu'à l'avenir elles ont pu le faire sans briser l'hymen. Lors de la masturbation en frottant les cuisses, le prépuce se développe moins par rapport à la taille du clitoris que lors de la masturbation avec la main, et le clitoris ne s'allonge pas autant ; un trait caractéristique est son élasticité et son allongement, en forme de pilon ; .
L'effet de la masturbation sur les organes internes de la femme, en particulier sur le col et ses appendices, est également petit. La plupart des filles et des filles adultes ne sont pas très souvent sujettes aux maladies des organes génitaux, malgré la masturbation fréquente. Les expériences montrent que les maladies des parties génitales chez les femmes surviennent principalement après le mariage et que le plus souvent, les maladies résultent de la gonorrhée chez leur mari. Cependant, il convient de rappeler que, puisqu'il existe une sorte d'anomalie dans l'utérus lui-même, la masturbation, qui augmente fortement l'activité sexuelle et irrite les organes génitaux, a un effet extrêmement néfaste sur la sphère sexuelle générale.
La masturbation affecte certainement le développement précoce des fonctions sexuelles, c'est-à-dire la maturation précoce du désir sexuel et, en relation avec cela, provoque des érections et une éjaculation prématurées. C'est tout ce que je peux dire du désordre organique des organes génitaux lors de la masturbation.
Dommages fonctionnels aux organes génitaux et les voies urinaires dépendent sans aucun doute entièrement de la neurasthénie sexuelle. Je les divise en deux groupes :
a) pour les névroses d'origine génito-urinaire,
b) pour les troubles fonctionnels.
a) Névroses.
Tout d'abord, en cas de maladies urinaires, la vessie est touchée, c'est-à-dire Des douleurs nerveuses surviennent dans la vessie. La maladie consiste en une souffrance qui apparaît au niveau de l'os pubien, survenant pendant ou après la miction. De plus, la névrose entraîne une envie accrue d'uriner, et en même temps l'urine sort en gouttes, et sa couleur et sa composition sont tout à fait normales. Cela peut s'expliquer par une innervation anormale des muscles qui scellent la vessie. Étoile rapporte des cas d'urines sanglantes apparaissant après la masturbation et même la rétention.
Les conséquences sont encore plus terribles lorsque les patients développent ce qu'on appelle "incontinence urinaire". Cette maladie peut persister dès le plus jeune âge jusqu'à l'âge de 30 ans et touche principalement les filles, comme conséquence de la masturbation. J'ai observé une patiente de 12 ans qui urinait sur elle-même tous les soirs. Son apparence, son physique, son aspect mélancolique et d'autres signes m'ont amené à croire que la jeune fille se livrait à la masturbation. Grâce aux enquêtes de mon entourage, j'ai appris que mes soupçons étaient tout à fait raisonnables, puisque le père avait rattrapé la fille pendant la masturbation. Grâce à un traitement à long terme, j'ai pu obtenir des résultats très concrets.
Névroses sexuelles souvent exprimée par des névralgies des testicules des parties environnantes et, plus rarement, des voies urinaires. Parmi mes patients, je connaissais un étudiant qui souffrait de douleurs névralgiques sévères au niveau des testicules, qui se propageaient rapidement au cordon spermatique et entraînaient des crises de neurasthénie sexuelle. J'ai eu recours à un traitement par courants faradiques avec des résultats favorables. Chez d’autres patients, j’ai observé une sensibilité accrue de la tête du pénis. La chose la moins courante que j’ai remarquée chez les patients est ce qu’on appelle la « danse des testicules », qui se produit à la suite de contractions musculaires.
b) Troubles fonctionnels.
Ce phénomène se produit aussi bien chez les hommes que chez les femmes, et chez les hommes, il provoque un écoulement séminal et l'impuissance, et chez les femmes - infertilité. L'éjaculation douloureuse est sans aucun doute une conséquence d'une masturbation prolongée. On sait que les jeunes qui mènent une vie normale (abstinence) font des rêves humides pendant leur sommeil, qui se produisent sans la participation de la volonté de la personne. Les pollutions peuvent être physiologiques et douloureuses, mais il est impossible d’établir une frontière entre elles. Les émissions qui se produisent pendant l'éveil doivent être classées comme émissions de phénomènes douloureux, c'est-à-dire aux éruptions périodiques et trop fréquentes de sperme lors de l'érection du pénis et aux sensations sexuelles voluptueuses. Flux séminal, c'est-à-dire l'effusion de sperme, qui, contrairement aux émissions, n'entraîne pas d'érection et est également exempte de volupté, se produit principalement lors de la miction et des selles. Nous pouvons affirmer en toute confiance que les rêves mouillés fréquents prévalent sur spermatorrhée. Cela s'explique par le fait que le public considère les rêves mouillés comme un phénomène sûr et a peur de l'éjaculation qui se produit lors des selles.
Une marche accrue, une tension excessive, même le fait de toucher les organes génitaux peuvent servir d'impulsion à l'apparition de spermatozoïdes, ce qui ressemble au début des excès sexuels et de la masturbation. Le sperme est un liquide gélatineux trouble avec une odeur spécifique, et si vous le regardez au microscope, il se compose de milliards de spermatozoïdes. Avec le développement progressif de la maladie, en particulier lorsque des rêves humides apparaissent à la suite de la masturbation, le sperme devient aqueux, plus transparent, plus fin et le nombre de spermatozoïdes qu'il contient diminue. Il faut dire qu'ils changent non seulement quantitativement, mais aussi qualitativement.
La maladie évoquée ici est une conséquence des tendances neurasthéniques chez le patient et est principalement observée chez les personnes appartenant à la classe aisée, qui ne surchargent pas leurs fonctions mentales par le travail et sont capables de s'adonner de manière incontrôlable aux plaisirs sexuels. C'est cette position sociale qui augmente le nombre des onanistes ; Il est tout à fait naturel que l’on retrouve cette maladie majoritairement chez les hommes d’âge mûr, notamment vers la 20e année de vie.
Impuissance sexuelle(impuissance) chez les hommes indique la masturbation ; Par impuissance, nous entendons l'incapacité d'accomplir l'acte de copulation avec le sexe opposé, c'est-à-dire affaiblissement complet de l'activité sexuelle pendant les rapports sexuels. L'impuissance se présente sous différentes formes : nerveuse et mentale.
Impuissance nerveuse– la forme la plus courante chez les patients. Cette impuissance, puisqu'elle est associée à la neurasthénie sexuelle, s'avère temporaire, tout comme la faiblesse, l'insomnie et les palpitations. Ce tableau typique de la neurasthénie des champs est extrêmement diversifié et extrêmement variable. La seule question qui reste floue est la suivante : pourquoi, avec la neurasthénie sexuelle, certains ne ressentent que des symptômes séminaux, d'autres souffrent d'impuissance nerveuse et d'autres encore ressentent les deux.
Il existe une opinion selon laquelle la masturbation n'aboutit ensuite qu'à l'éjaculation et que l'impuissance sexuelle est causée par des excès sexuels. Les praticiens ont peut-être observé que ces deux vices De ce fait, ils provoquent des symptômes articulaires, de l’éjaculation et de l’impuissance, et parfois (mais c’est moins fréquent) – un des types de ces phénomènes. L'onanisme, ainsi que les excès sexuels, donnent la même image d'éjaculation ou d'impuissance que l'on observe avec les copulations systématiques (interrompues). Chez les patients, cette maladie apparaît dans l'ordre suivant : d'abord écoulement séminal, puis impuissance. Furbinger rapporte que, selon ses observations, environ 30% les patients souffrant d'impuissance nerveuse doivent leur maladie à exclusivement à la masturbation…
8. La masturbation et ses effets sur le corps dans son ensemble
Si nous avons conclu que la masturbation affecte des organes individuels de notre corps, si les conséquences de la masturbation affectent l'individu à la fois mentalement et physiquement, alors nous conclurons sans équivoque en affirmant que la masturbation a un effet général sur tout le corps humain. Et nous ne parlons pas ici d’une perte de force ou de malnutrition, mais de dépression générale, de fatigue et de désorganisation complète de l’état organique d’une personne, selon la durée de sa masturbation.
Personnellement, je suis sûr que la plupart des jeunes hommes, pâles et maigres, doivent l'état de leur corps à à son vice débilitant. Si l'un des médecins ne partage pas mon point de vue, j'attribue cela à l'étude insuffisante de la masturbation dans la littérature médicale en général. Dans ce cas, j'applique une méthode moins médicale que psychologique : si le patient souffre de phtisie, d'anémie, de diabète, de maladie rénale, de perte générale de force, et en plus, il se masturbe aussi, alors ce défaut contribue à une diminution encore plus significative de la force et à une perturbation de l’état du corps. J'ai connu des personnes au physique très fort chez qui la masturbation nuisait à leur santé générale, et s'ils me signalent qu'il existe des cas où la masturbation n'a eu aucun effet sur le corps humain, alors je classerai cela comme des cas exceptionnels et improbables.
Traces de masturbation sur la santé humaine restent sous la forme d'un trouble nerveux des organes digestifs ou d'autres phénomènes entraînant une baisse complète de la force et de l'humeur. D'une manière ou d'une autre, les conséquences de la masturbation se font sentir, et aucune critique de ce point de vue ne me convaincra du contraire. Dans ce cas, il existe un trouble de la marche, une mobilité limitée, une course limitée et un affaiblissement du système musculaire. Si, en observant des jeunes hommes au visage pâle, souffrant d'apathie et de fatigue, nous ne pouvons pas reconnaître la véritable cause de leur état, alors, sans aucun doute, la raison réside dans excès sexuels, qu'il s'agisse d'une copulation naturelle ou d'une masturbation.
Les onaniques souffrent aussi souvent d'insomnie, et s'ils parviennent à s'endormir pendant un moment, alors leur sommeil est sensible, anxieux, agité. Tous ces phénomènes les poussent à consulter le médecin, mais ils le laissent pour la plupart déçu. Le médecin identifie des maux d'estomac, de la nervosité, de l'anémie, et souvent il ne reconnaît pas la véritable cause de la maladie, mais le patient la cache : un sentiment de honte et de maladresse s'empare de lui. Une discorde mentale complète et une insatisfaction commencent et le patient tombe dans le désespoir. J'écris ces lignes pour que le médecin, dans tous les cas que j'ai indiqués, recherche la cause principale de la maladie. Les phénomènes que j'ai énumérés sont si symptomatiques qu'un diagnostic sans équivoque peut apporter le salut au patient.
Je voudrais terminer ce chapitre avec quelques mots sur les conséquences de la masturbation.
Supposons un cas où une personne engagée dans la masturbation est dotée d'une excellente santé physique, d'un plein épanouissement mental et ne souffre en aucune façon de son vice, de plus, elle bénéficie également de conditions de vie absolument hygiéniques. Cependant, je n'ai aucune raison de croire que la masturbation dans les conditions spécifiées n'entraînera pas de conséquences graves. Bien entendu, un processus d'affaiblissement progressif, à la fois physique et moral, se produira, le degré de résistance de la volonté diminuera et le patient deviendra l'esclave de son vice.
Je pense que nous serons proches de la vérité si nous soulignons que l'humanité commence généralement son activité sexuelle par la masturbation, et si ce vice, qui a commencé dès le plus jeune âge, n'est pas arrêté à temps, alors il entraîne une chronique, je dirais , poursuite épidémique de la masturbation. Je passe ici à la caractérisation des étapes suivantes des conséquences de la maladie :
1. Stade de l’état immoral physique et mental du patient.
2. Stade des maladies nerveuses.
3. Stade de psychose offensive.
Il doit seulement être clair pour le lecteur que je n'établis pas ici les étapes requises pour chaque onaniste, je signale seulement l'évolution de la maladie et les conséquences qui peuvent survenir chez les patients avec le développement imparable du défaut.
Dans la première étape, c'est-à-dire avec un état immoral physique et mental chez le patient, on remarque regard terne, yeux sans vie, apathie, fatigue, visage pâle, anémie. Il y a des cernes bleus sous les yeux enfoncés. Les mouvements sont lents, apathiques, en un mot, la personne change radicalement d'apparence, qui prend l'apparence d'un « visage âgé ». A ce déclin physique s’ajoute un déclin mental : les facultés mentales s'émoussent, la mémoire s'affaiblit, la distraction apparaît et la confiance en soi se perd. Colère, irritabilité, solitude, fort sentiment de solitude - tout ça détruit complètement la personnalité, plongeant une personne dans l'horreur. Une éducation adéquate est nécessaire pour ramener le patient à un état normal, en éveillant en lui ces forces vitales qui lui apportent soutien et confiance en son avenir. À ce stade, il est nécessaire d’arrêter la maladie de la manière la plus décisive, avant que l’ensemble du système nerveux central du patient ne soit affecté.
Lorsqu'une maladie interne apparaît chez un onaniste, une maladie du système nerveux central, alors nous avons ici deuxième stade de la maladie. Cette seconde étape conduit d'abord à un affaiblissement des muscles, et il n'est pas difficile d'imaginer l'état d'une personne chez qui le désordre musculaire s'ajoute au désordre général de tout l'organisme et à la dépression de l'esprit. Des vertiges apparaissent, des phénomènes lumineux apparaissent devant les yeux, tout le système nerveux est tendu, les organes abdominaux sont sujets à des changements et des contractions incompréhensibles pour le patient. Le cœur fonctionne par intermittence, le pouls s'accélère, la respiration est difficile (bien qu'aucun phénomène pathologique ne soit observé dans les organes circulatoires et les voies respiratoires). Si le patient traverse une période de croissance, celle-ci se produit simultanément processus de chlorose. L'appétit disparaît et le patient, quel que soit son degré d'intelligence et de développement, se transforme en personne stupide et inintelligente.
Si l'on ajoute à cela la perte douloureuse de sperme, le vaginisme chez la femme et l'impuissance sexuelle qui survient chez l'homme, alors il ne sera pas difficile d'imaginer le patient et son état d'esprit. Pendant la première période, la maladie ne perturbe pas les fonctions sexuelles presque normales ; cependant, dans la deuxième période, le patient vit un processus difficile : l'érection ralentit et le patient doit recourir à l'aide de la fantaisie pour atteindre l'excitation sexuelle. Chez ces personnes, après l’excitation sexuelle et le début de l’érection, l’éjaculation apparaît immédiatement. Peu à peu, cela conduit au fait que, même en l'absence d'érection, chez les personnes du deuxième stade, apparaît l'éjaculation, qui devient d'autant plus douloureuse et douloureuse, qu'elle apparaît principalement en société, en présence de nombreuses personnes, et cela se produit si vite que le patient n'a pas le temps de s'incliner et de partir...
Développement physique de la maladie chez la femme entraîne une anémie, une pâleur et une perte générale de force. Les maladies ovariennes chez les jeunes filles surviennent également, dans une certaine mesure, en raison de masturbation fréquente. Pour rendre cela plus convaincant, je signalerai un cas où pour de nombreuses filles après le mariage, ces douleurs ont complètement cessé.
Leur développement mental s'exprime par une mémoire affaiblie, un ennuyement, un oubli, une susceptibilité accrue, une imagination facilement stimulante, etc. Voici deux stades qui apparaissent chez les patients sous des formes extrêmement variées. Durant cette deuxième période, on observe des cas d'arrêt brutal de la masturbation, difficile à expliquer d'un point de vue médical : est-ce le résultat d'un travail interne sur soi ou la conséquence d'autres raisons ou, enfin, le fait que la l'état physique et mental du patient ne lui permet pas de poursuivre la masturbation.
La troisième étape est le stade de la psychose offensive– s’exprime par l’affaiblissement de toutes les capacités mentales, supprimant l’activité cérébrale d’une personne et la privant de maîtrise de soi. Dans ces cas, les patients développent des psychoses légères : les inclinations les plus nobles disparaissent, des remords apparaissent, le processus d'oppression mentale se poursuit, et si en plus le patient est possédé par une prédisposition nerveuse, il atteint alors la tragédie interne la plus profonde.
Diminution des qualités morales d'une personne, c'est à dire. ses principes moraux et sa violation de caractère sont les conséquences incontestables de la masturbation ; Tout d’abord, il est nécessaire de développer chez une personne la notion de bien et de mal, de sincérité et de vérité. En un mot, il faut élever l’état moral de l’homme à un point tel qu’il lui permette de considérer son vice comme un acte immoral ; la raison doit élever la voix et forcer l’homme à travailler sur lui-même.
Toutes les questions sur la masturbation sont causées par des inquiétudes et des peurs « de ne pas nuire à quelque chose »
Je poste quelques questions sur les avantages et les inconvénients de la masturbation sur le site sous la forme d'une petite FAQ.
Bonjour, cher docteur !
Je m'excuse d'avance pour l'idiotie des questions, mais il est né uniquement du fait d'une vie sexuelle anormale, c'est-à-dire sans petite amie.
Ce n’est pas de la idiotie.
Les questions sont complexes et ambiguës, comme vous le savez dans la littérature : de nombreuses options opposées sont proposées. Des stupides « paumes velues » et « surmenage de l'orgue » aux « acclamations de masturbation » dans l'esprit d'Emmanuelle.
Est-il dangereux de se masturber sans lubrification ?
Je tiens à dire tout de suite que je n'ai presque jamais utilisé de lubrifiant, car d'une part il n'y a pas un très bon contact avec celui-ci, et d'autre part, cela provoque une stimulation trop rapide. Je ne suis plus sûr du dernier point, mais de toute façon, j’ai l’habitude de le faire sans elle.
Disons simplement que nos pères, grands-pères, arrière-grands-pères, arrière-arrière-arrière-grands-pères, etc. - se sont passés de lubrification, n'est-ce pas ? Et en fait, ils ont survécu d’une manière ou d’une autre. Le fait qu’ils se sont presque tous masturbés en même temps – et bien sûr, ils n’ont certainement pas acheté de lubrifiants.
Je vous rappelle que nous parlons de la méthode « classique » de masturbation en déplaçant le prépuce de haut en bas. Dans ce cas, il n’y a pas de « glissement » des surfaces comme lors des rapports sexuels, et aucune lubrification n’est nécessaire.
Je mentionnerai les options, juste au cas où. Dans le cas, par exemple, du phimosis (rétrécissement du prépuce), la masturbation s'effectue différemment qu'en son absence (après une « circoncision », une intervention chirurgicale pour des raisons médicales ou religieuses. Oui, une lubrification peut être nécessaire.
Eh bien, permettez-moi également de mentionner qu'un homme produit normalement du lubrifiant lorsqu'il est suffisamment excité. Pas grand chose, quelques gouttes, mais largement suffisant pour assurer une ouverture et une fermeture en douceur de la tête. Si cela ne ressort pas, il est logique de réfléchir notamment à la question de savoir si la masturbation est mécanique, non pas un dégagement de vapeur, mais plutôt une habitude.
Dans ce cas, la masturbation peut effectivement être nocive ! Tout comme manger sans volonté, sans appétit, est nocif, mais par exemple, manger sous l'effet du stress habituel.
La masturbation fréquente (sans lubrification) peut-elle assombrir la peau du pénis ?
Le pigment, c'est-à-dire la substance qui assombrit normalement la peau des organes génitaux, est libéré sous l'action d'hormones, la testostérone (sous condition). Autrement dit, ce sont des processus indépendants et l'assombrissement est la norme !
Au contraire, la couleur pâle de la peau du pénis et du scrotum provoque de la tristesse chez le sexologue, l'andrologue, qui devra la traiter.
L'assombrissement par rapport au reste de la peau est normal et le degré de pigmentation indique une saturation hormonale. Comme pour les cheveux à motif masculin, avec le « chemin vers la belle-mère ».
Là encore, une masturbation fréquente pourrait-elle réduire la sensibilité du pénis dans son ensemble ?
L’expression « masturbation fréquente » a été entendue à plusieurs reprises avec une connotation prétendument négative. Fait? Je voudrais clarifier ce que l'on entend par là.
Ce mot, le terme « souvent », est largement compris.
Eh bien, permettez-moi de clarifier ce que l'on entend par diminution de la sensibilité. Le fait qu’avant, chaque contact avec le pénis provoquait une sensation aiguë, mais maintenant ce n’est plus le cas ? Ou le fait qu'avant, le pénis « s'élevait » immédiatement avec toute pensée érotique, mais maintenant ce n'est plus le cas ? Ou?
Est-il vraiment possible d’augmenter la longueur d’un pénis avec un extenseur ou une pompe ?
La dernière question n'est pas directement liée au sujet évoqué, mais reste très intéressante. J'ai lu votre article ici sur le site et je tiens à dire d'emblée que je traite le sujet de l'élargissement avec beaucoup de calme, sans le fanatisme qui existe.
Mais! Je me demande simplement si cela est possible en principe, alors pourquoi ne pas essayer de l'augmenter au moins un peu ?
Il existe deux types de grossissement.
La première consiste à atteindre la taille génétique. C'est l'événement le plus courant. Un adolescent commence à « travailler pour agrandir » le pénis lorsque sa croissance n’est pas encore terminée et que le pénis n’a pas encore « redressé ses épaules ». Déjà dans le processus, il est heureux de constater à quel point le pénis devient plus fort et grandit.
La deuxième option est un analogue de l'appareil Ilizarov. Ils prennent un homme d'un mètre de long et lui font des bras et des jambes comme ceux d'un homme d'un mètre et demi.
La particularité du pénis est la suivante... Le plus souvent, ce ne sont pas les « nains » qui font cela, mais ceux qui ont les 13-15 cm classiques. Et donc, d'une part, le processus est purement psychologique (je le souhaite). ne soit pas pire que celui de Petya), et d'un autre côté, la fonctionnalité peut diminuer.
Un judoka mesurant 1,60 m chute et saute sans se blesser. Mais lui, allongé jusqu'à 2,1 m, va tomber blessé.
La deuxième option est à la discrétion de la personne elle-même, à mon humble avis
Veuillez m'excuser pour toute cette confusion.
Merci d'avance!
Rien, c'est mieux quand l'image devient plus claire dans ta tête.
Et cette phrase « apologétique » elle-même dit quoi ?
Une mauvaise masturbation est certainement nocive, tout comme la masturbation chez les hommes adultes.
En fait, de telles questions sont courantes et répandues... De nombreux hommes et filles les ont posées ou les posent, et tous avec l'idée des dangers de la masturbation.
Eh bien, tout comme fumer est nocif, mais si c'est rare et petit à petit, alors fumer ne semble pas être nocif.
La masturbation est une activité familière à beaucoup et il n’est pas nécessaire de le nier. Si vous doutez encore que cela soit normal dans la plupart des cas, MedAboutMe vous aidera à le comprendre.
La masturbation est l'autosatisfaction, l'obtention d'une libération sexuelle sans partenaire, par soi-même. La stimulation sexuelle mutuelle n’est plus considérée comme de la masturbation : c’est une caresse.
Jusqu’à récemment, la masturbation était considérée comme honteuse, indigne et même nuisible. Des dizaines de mythes liés à l'autosatisfaction circulent encore dans la société. D’ailleurs, les résultats d’enquêtes anonymes montrent que 90 % des hommes et plus de 70 % des femmes se sont masturbés au moins une fois dans leur vie. Les experts sont convaincus que ces chiffres sont sous-estimés et que seuls quelques-uns ne se sont jamais livrés à l'autosatisfaction de leur vie.
S'ensuit-il que la masturbation soit la norme ? Oui. C'est tout à fait normal.
C'est vrai, à quelques exceptions près.
Attitudes saines à l'égard de la masturbation : questions et réponses
Dans tous les cas, quand elle ne devient pas obsessionnelle, quand la masturbation ne commence pas à nuire à la santé ou aux relations avec un partenaire vivant. L'abus de la masturbation peut conduire à la disparition complète du désir de relations normales, qui doivent encore être construites et entretenues. Et l’autosatisfaction est là, toujours à portée de main, au propre comme au figuré.
À quoi ressemble la masturbation ?
La masturbation chez les adolescentes est la plus courante. Lorsque le corps commence à mûrir, il est secoué par des tempêtes hormonales qui ne trouvent pas d’issue. Un adolescent explore sa propre sexualité en éveil. En règle générale, les adolescents vivent seuls leur première expérience sexuelle. Et c'est normal. Bien qu'auparavant, les enfants étaient punis de la manière la plus cruelle pour « branlette » et menacés de toutes sortes d'horreurs à l'avenir. Ce qui, je dois le dire, a gâché la vie de plus d’une personne… Dans la plupart des cas, lorsqu’un adolescent mûr a un partenaire permanent, le besoin d’autosatisfaction disparaît.
P., 41 ans. Peu importe ce qu’ils vous disent, tous les garçons se masturbent. Sinon, les hormones vous épateront. Sinon, comment survivre à la période d'hypersexualité, lorsqu'une érection survient pour une raison quelconque ? J'ai vu l'épaule nue d'une belle fille - ça y est, on ne peut pas l'éloigner de son ventre à deux mains. La femme impudente aux yeux verts la regardait comme ça, surtout - tout, prêt au combat. Et si vous rêvez de beauté la nuit, où devriez-vous courir ? Vous vous réveillez, puis votre rêve ne demande qu'à tomber sur vos genoux... Comme on dit, « ce qui est naturel n'est pas sans orgasme ». Bien sûr, lorsqu'une petite amie permanente est apparue, le besoin de masturbation a disparu. Presque.
Chez les adultes, la masturbation peut être substitutive - lorsque l'autosatisfaction remplace le sexe normal en raison de l'inaccessibilité de ce dernier. Cela peut arriver aux célibataires, aux conjoints séparés ou à un isolement prolongé des personnes du sexe opposé. Un corps sain a besoin de libération, et il vaut mieux la donner que de souffrir d'insatisfaction sexuelle.
T., 32 ans. Il se trouve que mon mari a dû travailler longtemps dans un autre pays. Bien sûr, nous nous sommes tous les deux masturbés. Mais que se passe-t-il si les organismes sont jeunes, sains et capricieux ? Escalader le mur ? Tricher avec le risque de contracter une sorte de maladie sexuellement transmissible et l'inévitable sentiment de culpabilité ? Pourquoi, s'il existe une issue normale sans tout cela. Nous avons fait l'amour via Skype : nous nous sommes masturbés l'un devant l'autre. Je n’ai même pas pensé à trouver un remplaçant à mon mari grâce à ça. Je suis sûr qu'il le fait aussi. Maintien de la santé et du mariage.
L'autosatisfaction est également pratiquée dans les cas où il n'y a tout simplement pas assez de sexe et où l'un des partenaires obtient lui-même ce qui manque. Par exemple, lorsque les tempéraments des époux ou des amants ne correspondent pas.
A., 28 ans. J'ai du mal à atteindre l'orgasme. En règle générale, je n'ai pas le temps de faire cela pendant les rapports sexuels avec mon mari. Par conséquent, j’obtiens ce dont j’ai besoin grâce à la masturbation. Au début, je l'ai caché à mon mari, j'étais gênée. Puis il l’a découvert quand même. Au début, il était contrarié que je lui cache que je n’obtenais pas ce que je voulais, et j’ai commencé à faire plus d’efforts. Mais je fais toujours de mon mieux. Surtout juste après un bon échauffement avec mon mari. Je suis content de ma vie sexuelle.
Les médecins parlent également de masturbation adaptative et inadaptée. Le premier, adaptatif, est proche du sexe naturel. Les femmes obtiennent un soulagement en stimulant le clitoris ou le vagin. Les hommes imitent la friction en enroulant leur main autour du pénis. Des vagins artificiels ou des godes sont également utilisés. Le corps reçoit presque tout de la même manière que lors d'un coït normal, à l'exception des émotions positives liées à l'intimité avec un partenaire.
Avec la masturbation inadaptée, la stimulation se produit différemment que pendant les rapports sexuels. Par exemple, une femme peut provoquer un orgasme par une forte tension dans ses jambes et ses muscles pelviens pliés ou croisés. Et un homme - en serrant le pénis ou le scrotum jusqu'à ce que ça fasse mal, ou d'une autre manière. L'habitude d'obtenir une satisfaction de manière non naturelle peut interférer avec l'orgasme normal à l'avenir et conduire à l'abandon des relations sexuelles naturelles.
Si vous n’en abusez pas, vous n’avez pas à vous soucier des influences négatives. De plus : avec l'éjaculation précoce chez l'homme, la masturbation préalable peut avoir un effet plutôt positif, permettant de prolonger l'acte.
Les effets néfastes peuvent ne pas se produire en cas de dépendance psychologique. Par exemple, un homme s’habitue tellement à avoir un orgasme en se masturbant en regardant de la pornographie que tout le reste cesse de l’exciter.
La masturbation peut-elle conduire à des maladies ?
Cela ne fonctionnera pas si vous respectez les règles d’hygiène et de modération. Vous ne pouvez pas utiliser des objets improvisés d’une pureté douteuse pour vous satisfaire. En général, il est préférable de ne pas expérimenter en plaçant divers objets tels que des bouteilles, des ampoules, des canettes de déodorant ou des bananes dans les cavités corporelles. Les médecins urgentistes ont déjà rassemblé une étonnante collection d'objets qu'il fallait récupérer du plus profond des amateurs de sensations exotiques.
Les magasins spécialisés pour adultes proposent une vaste gamme de produits pour la libération sexuelle. Il vaut bien mieux collectionner une collection de jouets sexuels de haute qualité que de risquer votre santé. Si vos complexes vous empêchent de vous rendre dans un sex-shop classique, vous pouvez commander le produit qui vous intéresse sur Internet. Il est préférable de choisir des produits de haute qualité dotés des certificats appropriés et de surveiller attentivement l'état hygiénique des articles.
Oui et non. peut souffrir si l’un des partenaires a une attitude extrêmement négative envers l’autosatisfaction et perçoit la masturbation du conjoint comme quelque chose comme une trahison.
Si l'attitude est différente - calme, voire positive, alors la relation n'en bénéficiera que.
L., 37 ans. Je sais depuis longtemps que mon mari se masturbe parfois. Et alors? Il est plus capricieux que moi, il a besoin de plus de sexe. En plus, j’ai beaucoup travaillé ces derniers temps, j’ai écrit une thèse, et parfois j’ai juste assez de force pour lui dire : « Bonne nuit, mon cher ». Que doit-il faire, souffrir ou avoir une maîtresse ? Je suis d’accord avec le fait qu’il puisse parfois « faire un voyage en solo ». Si je vois cela, je peux parfois remettre les choses à plus tard, parce que ce spectacle m'excite. Je sais que beaucoup d'hommes sont aussi très excités lorsqu'une femme se masturbe devant eux. C'est normal, je pense.
Faits intéressants sur la masturbation
- Les recherches montrent que ceux qui ont pratiqué le plaisir personnel à l'adolescence ont beaucoup moins de problèmes sexuels à l'âge adulte que ceux qui n'ont rien fait de ce genre.
- De nombreuses femmes notent que l'autosatisfaction et les relations sexuelles normales donnent des sensations complètement différentes. Certaines personnes pratiquent la masturbation afin de soulager la tension nerveuse après un stress, d'autres pour gagner une énergie et une inspiration particulières. Les jours critiques, la masturbation permet aux femmes de se débarrasser de maux et de douleurs spécifiques.
- Les femmes et les hommes s’accordent à dire que l’acte de plaisir personnel est plus efficace que les somnifères et aide à s’endormir.
- Certains sexologues estiment que la masturbation conjointe dans une entreprise homosexuelle peut contribuer à la formation de tendances homosexuelles. Il convient de noter que tout le monde n’est pas d’accord avec ce point de vue.
