Où se trouve le système immunitaire dans le corps humain ? Le système immunitaire : qu'est-ce que c'est, ses organes et ses fonctions. Comment aider un corps fragile

Tout le monde a entendu et sait que le système immunitaire, l’immunité, sert à « faire en sorte qu’une personne tombe moins malade ».

Mais je suis sûr que la plupart des gens qui ne sont pas spécialistes dans ce domaine ont une faible idée de l'importance de l'immunité et du fonctionnement normal du système immunitaire, non seulement pour la santé humaine, mais aussi pour sa vie en tant que telle.

Qu’est-ce que l’immunité et le système immunitaire ?

L'immunité, au sens généralement accepté, est la capacité du corps à résister aux micro-organismes et substances étrangers, généralement pathogènes, lorsqu'ils pénètrent dans le corps et ses téguments - les muqueuses et la peau.

Ici, nous pouvons inclure en toute sécurité la capacité du corps à une récupération limitée, dans son ensemble, ainsi que dans les organes et systèmes individuels.

En général, il s'avère que L’immunité est la capacité de l’organisme à se maintenir dans un état biologique, et donc mental, optimal..

Et faites immédiatement attention à ceci : l'immunité, son état, affecte non seulement les indicateurs biologiques du corps humain, mais aussi son psychisme.

Car le psychisme est l'un des systèmes du corps, et même si l'on suppose que le système immunitaire n'agit pas directement sur le psychisme, alors il agit sur lui à travers l'état du corps dans son ensemble.

Et, par conséquent, nous devons imaginer et comprendre que l’état du système immunitaire et du système immunitaire qui le fournit affecte :

1. Non seulement sur l’état et le fonctionnement du corps humain et de tous ses systèmes ;

2. Mais, en influençant le système nerveux, cela affecte également la conscience d'une personne : ses sentiments, ses pensées et, en général, sa vision du monde, en tant que vision du monde qui l'entoure et de lui-même.

En fait, nous le savons depuis longtemps : un esprit sain dans un corps sain. Et tout le monde a observé à plusieurs reprises comment le comportement, l’attitude et les idées d’une personne changent en fonction de l’état de son corps.

Ainsi, c'est précisément cette condition qui est déterminée par le système immunitaire, créant une immunité chez une personne d'une qualité ou d'une autre.

Je le répète, il faut comprendre cette caractéristique de l'immunité pour influencer non seulement le corps, mais aussi le cerveau humain, comme l'une des plus importantes.

Qu'est-ce que le système immunitaire ?

Je ne pense pas qu’un non-spécialiste dans ce domaine, c’est-à-dire la plupart des gens, n’ait pas besoin d’en connaître tous les éléments et les connexions. De plus, à notre connaissance, tous les secrets du système immunitaire et les mécanismes de son fonctionnement sont encore inconnus des scientifiques.

Nous devons comprendre que le système immunitaire est un mécanisme très complexe permettant de protéger et de maintenir le corps humain et le psychisme dans des états viables et optimaux.

Et que le système immunitaire fonctionne au niveau micro du corps humain : l’étendue de ses actions, fonctions et éléments se situe non seulement au niveau cellulaire, mais aussi au niveau intracellulaire.

Système immunitaire : immunité innée et acquise

Étant fondamental dans la vie de l’organisme, le système immunitaire ne peut qu’être intégré à l’organisme dès sa conception. Autrement dit, il est congénital – hérité du génome humain.

Naturellement, l'immunité innée ne peut protéger le corps que contre les micro-organismes et substances étrangers que l'on trouve habituellement dans l'environnement humain et chez la personne elle-même.

MAIS, le monde vivant autour d’une personne est vivant afin de générer de nouveaux microbes, virus ou leurs variétés, en tant que produits du développement. Le système immunitaire dispose donc d’un deuxième niveau de défense : l’immunité acquise.

L’immunité acquise, bien entendu, est plus complexe que l’immunité innée, car il s’agit d’une bio-usine unique de l’organisme, une fonction qui :

1. Reconnaître un micro-organisme ou une substance étrangère.

2. Produire des anti-substances ou des anti-organismes – anticorps en quantités suffisantes.

3. Détruisez les microparticules étrangères.

4. Retirez les restes de la substance neutralisée et les corps nocifs détruits et les anticorps morts.

5. Donner un ordre, et éventuellement participer, au rétablissement du fonctionnement normal de l'organe, du système ou de l'organisme affecté dans son ensemble.

6. Rappelez-vous l'expérience de repousser une attaque de cet organisme ou de cette substance.

7. Passez en mode veille : surveillez l'apparition de substances étrangères et d'organismes nocifs pour l'organisme.

Note:

Bien que le mécanisme de fonctionnement des immunités innées et acquises ne semble pas si compliqué ;
- mais en tenant compte de son caractère systématique, et même au niveau micro ;
- en tenant compte de l'inclusion et de la dépendance du système immunitaire dans tous les autres systèmes et sous-systèmes de l'organisme ;
- considérant que le système immunitaire, a priori, ne fonctionne pleinement que dans des conditions extrêmes de l'organisme, -

Il est facile de comprendre que les perturbations du système immunitaire sont non seulement possibles, mais aussi inévitables. C’est ce que l’on observe dans le cas de maladies à issue fatale.

À moins, bien sûr, que la personne ne reçoive un traitement médicamenteux efficace ou une intervention chirurgicale efficace. Ou alors, la personne elle-même n’influence pas le système immunitaire de manière à l’aider, à le mobiliser pour accomplir sa tâche.

Le système immunitaire contient toutes les maladies connues.

Il y a environ 30 ans, dans certaines publications, les informations suivantes ont glissé et ont disparu : Des scientifiques immunologistes ont découvert que le corps humain contient presque toutes les maladies connues de l'homme, y compris le cancer.

Pourquoi a-t-elle glissé et disparu ?

À mon avis, car si tel est le cas, il est alors nécessaire de reconsidérer non seulement les idées traditionnelles sur le système immunitaire et l'immunité en tant que telles, mais aussi de repenser les idées sur les maladies et, surtout, sur leur traitement. Pourquoi?

1. Regardez ici : l’une des fonctions principales du système immunitaire est de reconnaître une substance étrangère ou un micro-organisme.

Il est clair que sans cela, il ne sera pas en mesure de produire les antisubstances ou anticorps nécessaires. MAIS, comment le système immunitaire fait-il cette reconnaissance ?

2. Admettre qu'elle fait cela par le biais d'opérations mentales, c'est admettre que l'intelligence est possible au niveau cellulaire - la cellule est le porteur de l'esprit..

Cela ne correspond pas à nos connaissances sur les porteurs possibles de l'intelligence - une cellule, n'importe quelle cellule, n'a tout simplement rien avec quoi penser.

3. L'opération la plus simple pour reconnaître un objet par un objet vivant capable de réflexion est la comparaison.

4. Que devrait contenir le système immunitaire pour le comparer aux substances étrangères ou aux micro-organismes émergents ?

5. Bien entendu, on peut imaginer que le système immunitaire humain puisse contenir des codes d’information pour toutes les substances et tous les micro-organismes.

Eh bien, au moins seulement ceux qu'une personne a déjà rencontrés. Vous pouvez imaginer, mais vous ne pouvez plus imaginer.

6. Comment et où le corps humain peut-il trier et stocker non seulement autant de formules chimiques complexes de micro-organismes qui lui sont hostiles, mais aussi des informations sur leurs systèmes - éléments et leurs connexions structurelles ? Mais nulle part et en aucun cas.

7. Que peut faire le système immunitaire pour connaître et reconnaître les « ennemis de vue » ?

8. La seule option : les avoir en soi, c'est stocker ces substances elles-mêmes et ces micro-organismes eux-mêmes dans leurs éléments.

9. Avoir et stocker, MAIS, dans une quantité et une qualité strictement définies, afin qu'ils ne nuisent pas à l'organisme.

10. Cela signifie que le système immunitaire ne contient pas seulement un référentiel de toutes les substances nocives et micro-organismes connus qui causent des maladies.

Mais il régule aussi constamment leur quantité et leur qualité afin qu’elles ne conduisent pas à ces maladies, se multipliant et s’intensifiant jusqu’à un niveau critique.

Cela signifie que les immunologistes avaient raison lorsqu’ils ont trouvé de multiples traces de maladies humaines connues dans un corps humain qui était conditionnellement sain face à ces maladies.

Et en supposant logiquement que le système immunitaire contient TOUTES les substances et tous les organismes qui peuvent provoquer des maladies chez l'homme.

Eh bien, bien sûr : qu'est-ce que la vaccination sinon l'introduction de NOUVEAUX organismes pathogènes dans l'organisme, en petites quantités et sous une forme affaiblie ?

Système immunitaire, immunité. Être en bonne santé, c'est tomber malade et se rétablir

Basé sur le fait que le corps humain est un système d’auto-préservation et de restauration, ce qui est évident.

Et, avec du mal à comprendre ce que fait cet organisme à travers le système immunitaire et l’immunité, il faut arriver aux conclusions suivantes :

1. Traiter une personne : il s’agit de renforcer ou restaurer son système immunitaire, afin qu'elle puisse détruire les organismes pathogènes à l'intérieur d'une personne qui ont perdu l'obéissance - se sont multipliés et renforcés.

Et pas comme nous le faisons aujourd'hui, dans la plupart des cas : par des médicaments ou par une intervention chirurgicale, nous détruisons ces microbes et virus eux-mêmes - les protomicrobes, et les conséquences de leur reproduction.

Après tout, le dicton : Nous traitons une chose et en paralysons une autre devrait correctement ressembler à ceci : Nous traitons une chose, mais nous paralysons tout.

Car, en détruisant les microbes pathogènes et les conséquences de leurs activités à l'aide de la « chimie », nous détruisons au minimum le système immunitaire lui-même, perturbant ainsi son travail.

Et l’élimination chirurgicale des conséquences de la prolifération de micro-organismes et de substances est généralement barbare.

La sauvagerie à la fois du peuple qui a laissé les tumeurs se développer en elle-même et de l'état de la médecine, qui ne trouve rien de mieux que de combattre les conséquences des maladies que d'éliminer leurs causes.

Ou est-ce que quelqu'un doit traiter les gens de cette façon ?

2. Cela signifie que vous devez considérer le système immunitaire et non comme un assistant dans la lutte contre la maladie., mais comme l’instrument principal du mécanisme naturel et naturel de la lutte d’une personne pour sa survie et le maintien du corps et de la psyché dans un état optimal – sain.

3. Cela signifie qu’une personne ne peut pas être en parfaite santé.– ne peut que contenir en soi des substances et des organismes pathogènes.

Et surtout, aucune maladie ne peut CONSTAMMENT survenir dans le corps et la lutte contre elle est la guérison.

Parce que sinon, si une personne ne tombe pas malade, son système immunitaire s'arrêtera et s'effondrera par inaction.

Autrement dit : une personne en parfaite santé est une personne morte - ce n'est pas une blague, mais la vérité. Cela signifie qu’être en bonne santé, ce n’est pas tomber malade, mais se rétablir.

Et tomber malade, c'est lorsque l'entrée dans le corps de l'extérieur ou la reproduction à l'intérieur du corps de substances et d'organismes pathogènes étrangers a dépassé la résistance du système immunitaire.

4. En d'autres termes, une maladie du corps - son éloignement d'un état optimal - survient dans trois cas :

1) Lorsque, de l'extérieur, lors d'une infection, des micro-organismes ou des substances nouveaux ou significativement modifiés pénètrent dans l'organisme, dont les échantillons ne sont pas disponibles dans le système immunitaire de cette personne.

Autrement dit, le système immunitaire ne peut pas comprendre contre quoi il doit protéger le corps et avec quoi – quel anticorps ou quelle antimatière.

Ensuite, soit la mort, soit la destruction de ces microbes, virus, substances, par les médicaments.

Soit une mutation du système immunitaire qui peut alors produire des anticorps ou des anti-substances contre ces ennemis lorsqu’il crée aléatoirement un anticorps ou une substance neutralisante.

Souvenez-vous des rares cas de personnes se remettant d’épidémies généralisées et mortelles, où certaines personnes étaient devenues immunisées contre cette nouvelle infection.

Comment aurait-il pu apparaître, sinon à la suite de changements aussi aléatoires dans le système immunitaire, alors qu’il pouvait trouver et produire un anticorps pour tenter de lutter contre un micro-organisme inconnu ?

2) Lorsqu’une grande quantité d’une substance ou de micro-organismes pénètre dans le corps humain de l’extérieur et que le système immunitaire du corps ne peut pas faire face à cette « invasion ».

Cela inclut également une situation dans laquelle le système immunitaire est attaqué simultanément par diverses substances et micro-organismes nocifs.

Eh bien, par exemple, la version russe classique : une personne tombe malade, à cause de la prolifération de microbes, de virus ou d'une intoxication par des substances. Son système immunitaire commence à combattre les sources de la maladie.

Et ici, selon la tradition et les recettes populaires, une quantité importante ou certaine de « vodka est versée dans le corps, pour se réchauffer et tuer les germes ».

En conséquence, le système immunitaire commence à combattre non seulement les microbes ou les substances toxiques, mais aussi la vodka, en tant que poison courant pour le corps.

3) Lorsque le système immunitaire est affaibli et cesse de faire face non seulement aux ennemis extérieurs, mais également aux microbes présents dans le corps.

Il s’agit de situations où la maladie est diagnostiquée comme « on ne sait pas d’où elle vient » et « pourquoi moi », dans les pensées sombres de la personne malade. Un exemple classique : la manifestation de l’herpès.

Quand et comment affaiblir et détruire le système immunitaire ?

Chaque personne doit savoir qu'en affaiblissant, et plus encore, en détruisant le système immunitaire, en réduisant ou en détruisant son immunité, il tombe automatiquement malade de l'une ou l'autre maladie.

Il tombe malade à un degré ou à un autre, et avec l'une ou l'autre conséquence, voire la mort.

Le système immunitaire est en danger lorsque :

1. Une personne elle-même pousse littéralement des substances étrangères et des micro-organismes dans son corps.

Non, bien sûr, cela devrait être fait, et même très nécessaire, mais seulement en quantité telle que le système immunitaire puisse non seulement les traiter, mais aussi s'en souvenir pour poursuivre la lutte contre eux.

Disons que vous avez besoin d'embrasser et qu'avec un baiser, vous recevez des millions de nouveaux microbes et virus, que le système immunitaire traitera, prendra note et détruira ceux qui sont inutiles.

Mais pourquoi embrasser une personne contagieuse (lire : inconnue) qui possède un grand nombre de germes et de virus que votre système immunitaire ne peut pas gérer ?

Ou, bien sûr, vous devez manger toutes sortes d’aliments différents, mais pourquoi en consommer en quantités incroyables ?

Ou pourquoi consommer une quantité incroyable de toutes sortes de liquides, et pas seulement de l'eau, mais aussi des composés qui, par essence, sont des poisons ?

Ou pourquoi remplir votre estomac alors que le lot de nourriture précédent est encore « dans votre gorge » - avant trois heures ? Provoquer des processus de pourriture dans le tractus gastro-intestinal, avec libération de toxines et simplement de poisons ?

Vous devez clairement comprendre que TOUT ce qui pénètre dans le corps par la bouche, le nez, la peau - toutes les substances et matières organiques - est soumis à l'analyse et à la réaction du système immunitaire.

Qui, comme tout dans le corps, possède non seulement sa propre ressource, mais aussi ses propres paramètres de fonctionnement.

Bien sûr, comme tout dans le corps, le système immunitaire dispose de réserves, mais elles ne sont pas immenses. Dès que la mesure n’est pas respectée, une défaillance du système immunitaire se produit. Et c’est, au minimum, un léger malaise.

Et plus le système immunitaire subit de tels viols sur lui-même, plus ses violations rapides entraîneront des maladies graves, voire mortelles, du corps.

2. On dit souvent que le système immunitaire, l'immunité, est affaibli et perturbé lors de charges maximales sur le corps humain, sur le corps et sur le psychisme.

C'est bien sûr vrai, mais il faut comprendre ici qu'il ne s'agit pas des conséquences de charges excessives, mais de leurs causes :

1) Un stress physique important sur le corps conduit à la formation d'un grand nombre de produits de décomposition, que, parfois, le système immunitaire n'a pas le temps de traiter, jusqu'à l'ordre au corps : Stop !

Autrement dit, en règle générale, si une personne ne peut pas supporter le stress physique exercé sur son corps, le problème ne réside pas seulement dans la faiblesse des muscles et le manque d'entraînement de ses systèmes. Et tout d’abord : la faiblesse du système immunitaire humain.

2) Le système nerveux est conçu de telle manière que l'ensemble, complètement et individuellement, fonctionne sur le principe de l'excitation et de la dépression, de l'inhibition.

Par conséquent, si le système nerveux d’une personne est opprimé, il donne alors l’ordre à tout le corps de ralentir, voire de commencer le processus d’autodestruction.

Par exemple, si une personne se trouve dans un état de « la vie n’est pas belle », le système immunitaire est affaibli et commence à mal fonctionner.

Et il n'y a pas de mysticisme ici : il ne faut pas oublier que le système nerveux, même sans la participation de la conscience humaine, est lui-même, a priori, le centre de commandement du corps.

Mais la surexcitation du système nerveux aura également un impact négatif sur l’organisme. Même, par exemple, des émotions positives.

Son activité excessive et l’activité physique qui y est associée commenceront à percer des trous dans le système immunitaire, qui ne pourra tout simplement pas suivre le rythme, en raison de l’encombrement et de la complexité de son système et de la responsabilité de ses fonctions. C'est pourquoi:

Comment entretenir le système immunitaire et augmenter l’immunité ?

1. Dormez jusqu’à ce que vous ayez suffisamment dormi, mais ne dormez pas trop longtemps – ne vous « roulez pas dans le lit ».

Il est hautement souhaitable que le système immunitaire fasse une sieste à midi et se repose périodiquement pendant la journée.

2. Alimentation équilibrée.

C’est une nutrition RATIONNELLE, pas une nutrition sensuelle. C'est-à-dire que l'homme moderne ne peut plus manger, guidé par ses sensations de faim, d'appétit, de plaisir ou de déplaisir en mangeant tel ou tel aliment.

Pourquoi? Mais parce que, premièrement, ces sentiments, dès les premiers jours de la vie d’une personne moderne, ont été « confus » – ils ne correspondent pas aux véritables besoins d’une personne en matière de réception et de consommation de nourriture.

Parce que même lorsqu'elle allaite un enfant, la mère le fait de manière incorrecte - souvent ou rarement, et commence déjà à le nourrir, par le biais du lait, avec des nutriments non naturels pour l'homme, qu'elle consomme elle-même.

Et deuxièmement, l'esprit a été donné à l'homme pour qu'il puisse réguler ses activités vitales, y compris la prise de nourriture, et ne pas se laisser guider uniquement par ses sentiments, comme un animal.

En d’autres termes, une personne ne doit pas manger ce qu’elle veut, quand et combien elle veut, mais autant et quand son esprit lui dit.

Bien sûr, si dans cet esprit les gens ont des connaissances de base sur un apport alimentaire raisonnable. Sinon, le système immunitaire et l’immunité se comporteront comme des systèmes incontrôlables par qui que ce soit ou quoi que ce soit, c’est-à-dire qu’ils fonctionneront mal et s’autodétruiront.

3. Le corps, a priori, doit avoir une activité physique - c'est sa propriété essentielle - « pour bouger ».

Mais, en cas de stress physique et mental extrême, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire et l’immunité échoueront inévitablement.

Comment reconnaître les problèmes du système immunitaire - problèmes d'immunité ?

1. Fatigue rapide et intense, même avec peu de stress physique et mental sur le corps.

2. Une sensation de fatigue constante - somnolence, moins souvent - insomnie - en cas de surexcitation, lorsque le système immunitaire ne parvient pas à « reprendre ses esprits ».

3. Maux de tête et autres douleurs, dans diverses parties du corps et du squelette, avec des symptômes inexprimés - une personne ne peut pas comprendre pourquoi et ce qui fait mal. On a souvent le sentiment que « tout fait mal ».

L’apparition de dysfonctionnements et de défaillances du système immunitaire se manifeste de la manière suivante :

1. Rhumes « déraisonnables », ainsi que fonctionnement insatisfaisant du tractus gastro-intestinal.

2. Diverses allergies.

3. Température corporelle instable, avec des augmentations périodiques jusqu'à des conditions limites et des frissons.

L'augmentation de la température est l'un des mécanismes du système immunitaire en cas de dommages extrêmes à l'organisme causés par des micro-organismes et des substances étrangères.

Et les frissons - lorsque vous ressentez des frissons - sont des tentatives du système immunitaire de se secouer et de se mobiliser pour le combat.

Conclusion principale : Prendre soin de sa santé, c'est préserver et renforcer son système immunitaire et préserver son immunité. Tout le monde ne devrait-il pas le savoir et le comprendre ?

La santé humaine est influencée par divers facteurs, mais l’un des principaux est le système immunitaire. Il se compose de nombreux organes qui remplissent les fonctions de protection de tous les autres composants contre les facteurs défavorables externes et internes et résistent aux maladies. Il est important d’entretenir son système immunitaire afin de réduire les influences extérieures néfastes.

Qu'est-ce que le système immunitaire

Les dictionnaires et manuels médicaux disent que le système immunitaire est la totalité de ses organes, tissus et cellules constitutifs. Ensemble, ils forment une défense complète de l'organisme contre les maladies et détruisent également les éléments étrangers déjà pénétrés dans l'organisme. Ses propriétés sont d'empêcher la pénétration des infections sous forme de bactéries, virus, champignons.

Organes centraux et périphériques du système immunitaire

Devenu un assistant dans la lutte pour la survie des organismes multicellulaires, le système immunitaire humain et ses organes sont devenus un élément important du corps tout entier. Ils relient les organes et les tissus, protègent l’organisme des cellules et substances étrangères au niveau génétique et provenant de l’extérieur. En termes de paramètres de fonctionnement, le système immunitaire est similaire au système nerveux. La structure est également similaire : le système immunitaire comprend des composants centraux et périphériques qui répondent à différents signaux, notamment un grand nombre de récepteurs dotés d'une mémoire spécifique.

Organes centraux du système immunitaire

1. La moelle osseuse rouge est l'organe central qui soutient l'immunité. Il s'agit d'un tissu mou et spongieux situé à l'intérieur des os, de type tubulaire et plat. Sa tâche principale est la production de leucocytes, de globules rouges et de plaquettes qui forment le sang. Il est à noter que chez les enfants, cette substance est plus présente - tous les os contiennent de la moelle rouge, tandis que chez les adultes - seuls les os du crâne, du sternum, des côtes et du petit bassin.
2. Le thymus ou thymus est situé derrière le sternum. Il produit des hormones qui augmentent le nombre de récepteurs T et l'expression des lymphocytes B. La taille et l'activité de la glande dépendent de l'âge - chez les adultes, elle est plus petite en taille et en importance.
3. La rate est le troisième organe et ressemble à un gros ganglion lymphatique. En plus de stocker le sang, de le filtrer, de préserver les cellules, il est considéré comme un réceptacle des lymphocytes. Ici, les vieilles cellules sanguines défectueuses sont détruites, des anticorps et des immunoglobulines se forment, les macrophages sont activés et l'immunité humorale est maintenue.

Organes périphériques du système immunitaire humain

Les ganglions lymphatiques, les amygdales et l'appendice appartiennent aux organes périphériques du système immunitaire d'une personne en bonne santé :

• Un ganglion lymphatique est une formation ovale constituée de tissus mous dont la taille ne dépasse pas un centimètre. Il contient un grand nombre de lymphocytes. Si les ganglions lymphatiques sont palpables et visibles à l'œil nu, cela indique un processus inflammatoire.
• Les amygdales sont également de petits amas de tissu lymphoïde de forme ovale que l'on trouve dans le pharynx de la bouche. Leur fonction est de protéger les voies respiratoires supérieures, de fournir à l'organisme les cellules nécessaires et de former une microflore dans la bouche et le palais. Les plaques de Peyer, situées dans l'intestin, constituent un type de tissu lymphoïde. Les lymphocytes y mûrissent et une réponse immunitaire se forme.
• L’appendice a longtemps été considéré comme un appendice congénital vestigial, inutile pour l’homme, mais cela s’est avéré ne pas être le cas. Il s’agit d’un composant immunologique important, comprenant une grande quantité de tissu lymphoïde. L'organe participe à la production de lymphocytes et au stockage de la microflore bénéfique.
• Un autre composant de type périphérique est la lymphe, ou un liquide lymphatique incolore contenant de nombreux globules blancs.

Cellules du système immunitaire

Les composants importants pour assurer l'immunité sont les leucocytes et les lymphocytes :

Comment fonctionnent les organes immunitaires ?

Le système immunitaire humain complexe et ses organes fonctionnent au niveau génétique. Chaque cellule possède son propre statut génétique, que les organes analysent dès leur entrée dans l’organisme. En cas d'inadéquation de statut, un mécanisme de protection est activé pour la production d'antigènes, qui sont des anticorps spécifiques à chaque type de pénétration. Les anticorps se lient à la pathologie, l'éliminant, les cellules se précipitent vers le produit, le détruisent et vous pouvez voir une inflammation de la zone, puis du pus se forme à partir des cellules mortes, qui sort avec la circulation sanguine.

L'allergie est l'une des réactions de l'immunité innée, dans laquelle un corps sain détruit les allergènes. Les allergènes externes sont des produits alimentaires, chimiques et médicaux. Interne - propres tissus aux propriétés modifiées. Il peut s'agir de tissus morts, de tissus exposés aux abeilles ou de pollen. Une réaction allergique se développe de manière séquentielle - lors de la première exposition du corps à un allergène, les anticorps s'accumulent sans perte et lors des expositions ultérieures, ils réagissent avec des symptômes d'éruption cutanée et de tumeur.

Comment renforcer l'immunité humaine

Pour stimuler le fonctionnement du système immunitaire humain et de ses organes, vous devez bien manger et mener une vie saine avec une activité physique. Vous devez inclure des légumes, des fruits, des thés dans votre alimentation, faire du durcissement et marcher régulièrement au grand air. Les immunomodulateurs non spécifiques - médicaments qui peuvent être achetés sur ordonnance d'un médecin en cas d'épidémie - amélioreront en outre le fonctionnement de l'immunité humorale.

Vidéo : le système immunitaire du corps humain

Attention! Les informations présentées dans l'article sont uniquement à titre informatif. Les éléments contenus dans l'article n'encouragent pas l'auto-traitement. Seul un médecin qualifié peut poser un diagnostic et donner des recommandations de traitement en fonction des caractéristiques individuelles d'un patient particulier.

Immunologie- une science qui étudie les mécanismes des réactions de défense de l’organisme visant à préserver son intégrité structurelle et fonctionnelle et son individualité biologique.

Immunité- la capacité innée ou acquise de l'organisme à protéger sa propre intégrité structurelle et fonctionnelle et son individualité biologique ; l'immunité, la résistance de l'organisme aux agents infectieux et aux substances étrangères provenant de l'extérieur ou formées dans l'organisme.

■ L'immunité protège contre les maladies infectieuses, détruit les cellules cancéreuses et provoque le rejet des tissus greffés.

■ Le phénomène de l'immunité a été découvert au XVIIIe siècle. Médecin anglais E. Jenner, qui a observé des patients atteints de variole.

Le système immunitaire- un ensemble d'organes, de tissus, de cellules et de substances qui assurent l'immunité de l'organisme.

❖ Composition du système immunitaire :
■ la moelle osseuse rouge (lieu de formation des granulocytes, des monocytes et de certains autres types de lymphocytes) ;
■ thymus (thymus), rate, ganglions lymphatiques, ganglions lymphatiques isolés des muqueuses (sites de formation des lymphocytes) ;
■ amygdales (amas de tissu lymphatique dans la membrane muqueuse de la région du pharynx) ;
■ peau et muqueuses ;
■ cellules spécialisées du système immunitaire (neutrophiles, macrophages, lymphocytes…) ;
■ anticorps ;
■ l'interféron (une protéine qui a un effet antiviral ; se forme dans les cellules du corps qui ont été exposées à une infection virale), etc.

❖ Types d'immunité selon le mécanisme de mise en œuvre :

■ immunité cellulaire non spécifique(mis en œuvre à travers phagocytose assurée principalement par neutrophiles , monocytes et l'un des types de lymphocytes T - T-tueurs ); voir ci-dessous;

■ immunité humorale spécifique(mis en œuvre à travers formation d'anticorps ).

❖ Les types d'immunité humorale spécifique selon son origine sont représentés sur la figure.

L'immunité innée est une immunité transmise par héritage sur plusieurs générations (les gens ont des anticorps dans le sang dès la naissance). Elle se caractérise par une stabilité, une uniformité pour chaque espèce et ne diffère que par le degré d'expression individuelle (exemple : immunité humaine à la maladie de Carré canine et à la maladie de Carré bovin).

L'immunité acquise est une immunité individuelle développée au cours de la vie naturelle ( naturel immunité) ou provoquée artificiellement ( artificiel immunité).

❖ Formes d'immunité naturelle : placentaire passif, maternel passif, post-infectieux actif.

■ Quand immunité placentaire passive Les anticorps sont transmis de la mère au fœtus par le placenta.

■ Quand immunité maternelle passive Les anticorps sont transférés de la mère au bébé pendant l'allaitement.

■ Après la naissance d'un enfant et l'arrêt de l'allaitement, l'immunité placentaire et maternelle passive acquise s'estompe après 1 à 1,5 mois.

■ Quand immunité post-infectieuse active Les anticorps apparaissent chez une personne à la suite d'une maladie antérieure (rougeole, variole, etc.). Ce type d'immunité est réalisé anticorps , produite par les lymphocytes B (voir ci-dessous) et persiste pendant de nombreuses années (souvent tout au long de la vie).

❖ Formes d'immunité artificielle: passif (post-sérum), actif (post-vaccination).

■ Immunité artificielle passive créé quelques heures après l'administration sérums avec ceux qu'il contient anticorps contre l'agent causal de toute maladie ; ne dure généralement pas plus d'un mois; utilisé principalement à des fins médicinales.

■Immunité artificielle active (post-vaccination) créé en introduisant dans le corps vaccins contenant des agents pathogènes affaiblis ou tués ; produit environ quelques heures après l’administration du vaccin ; persiste longtemps.

Anticorps- des protéines produites dans le corps de l'homme et des animaux à sang chaud qui participent au développement de l'immunité. Les humains produisent DANS—lymphocytes . Les anticorps interagissent avec antigènes , les assiégeant et les neutralisant.

Antigènes- les substances d'origine organique étrangères à l'organisme (protéines étrangères, acides nucléiques, certains polysaccharides), qui, lorsqu'elles pénètrent dans l'organisme, provoquent une réaction immunitaire associée à la formation de anticorps . Il peut agir comme un antigène gratuit , donc situé à la surface des virus et des micro-organismes substance.

Vaccin- une préparation obtenue à partir de micro-organismes provoquant des maladies infectieuses, de leurs produits métaboliques ou contenant ces micro-organismes affaibli ou tué ; utilisé pour l'immunisation active des personnes et des animaux à des fins préventives et thérapeutiques.

Immunoglobulines- des protéines complexes (glycoprotéines) qui ont la capacité de se lier spécifiquement à des substances organiques étrangères - antigènes . Ce sont des anticorps ; trouvé dans le sang, la lymphe, le colostrum, la salive et à la surface des cellules (anticorps liés aux membranes).

Greffer- introduction dans le corps vaccins avec des agents pathogènes de maladies infectieuses affaiblis ou tués. La vaccination peut provoquer la maladie sous une forme affaiblie. Après la vaccination, une personne ne tombe pas malade ou la maladie est bénigne.

Sérum- un médicament obtenu à partir du plasma sanguin de personnes ou d'animaux ayant souffert d'une certaine maladie et contenant les éléments nécessaires anticorps . Exemples: antidiphtérie sérum (avec la diphtérie, la membrane muqueuse de la gorge est affectée ; dans ce cas, des poisons se forment qui empoisonnent le corps) ; avant l'utilisation de ce sérum, 60 à 70 % des enfants atteints de diphtérie sont décédés ; sérum antitétanique utilisé pour prévenir les maladies lorsque de la terre pénètre dans la plaie (l'agent causal du tétanos peut persister longtemps dans le sol).

❖ Le mécanisme de l'immunité humorale spécifique. La formation d'anticorps et la préservation de l'immunité acquise se font avec la participation de plusieurs types de cellules et de substances :

■ Cellules T auxiliaires(un des types de lymphocytes) reconnaît les étrangers antigène et transmettre des informations à ce sujet aux lymphocytes B ;

■ Lymphocytes B produire des produits appropriés anticorps ;

■ anticorps interagir avec antigènes (libres ou localisés à la surface des pathogènes), les précipitant et les neutralisant ;

■ cellules spéciales (un des types immunotocytes ) réguler l'action des anticorps ;

■ un autre type d'immunotocytes stocke des données sur la structure des antigènes détruits pour la production la plus rapide d'anticorps lors de la réinfection.

Phagocytose

Phagocytose- capture et absorption actives par des cellules spéciales ( phagocytes ) les objets vivants ou non vivants étrangers à un organisme donné (microorganismes, cellules détruites, particules étrangères). La phagocytose est une réaction protectrice de l'organisme qui contribue à maintenir la constance de son environnement interne.

■ La phagocytose a été étudiée pour la première fois en détail par I.I. Mechnikov (1845-1916), pour lequel il reçut le prix Nobel en 1908.

Dans le corps humain, la phagocytose est réalisée par des cellules sanguines incolores spéciales - leucocytes (voir " "), principalement en deux variétés - neutrophiles (microphages) Et monocytes (macrophages ). En absorbant des corps étrangers, les leucocytes provoquent des réaction inflammatoire corps : dilatation des capillaires, augmentation du flux sanguin, rougeur, gonflement et douleur. Les tissus enflammés libèrent dans le sang une substance qui est transportée par le sang vers la moelle osseuse et stimule la formation et le développement accrus de leucocytes. De nouveaux leucocytes sont envoyés avec le sang vers le site de l'inflammation, sortant des capillaires par de petits trous. Après avoir absorbé des corps étrangers, les globules blancs meurent et se transforment en pus.

Une augmentation du nombre de leucocytes dans le sang au-dessus de la normale indique la présence d'un processus inflammatoire dans le corps.

Allergie

Allergie- une forme de réponse immunitaire se manifestant par une sensibilité accrue de l'organisme à certaines substances - allergènes . Se manifeste sous la forme d'un nez qui coule, d'éternuements, de larmoiement, d'irritation et de gonflement de la peau ; entraîne une diminution des performances et une détérioration générale du bien-être.

Lorsqu'un allergène pénètre dans l'organisme, il produit anticorps , qui sont attachés aux membranes cellulaires des parois des vaisseaux sanguins, de divers tissus et organes. Lorsqu'un allergène pénètre à nouveau dans l'organisme, il se combine avec des anticorps à la surface des cellules, qui sont alors endommagées ou irritées ; des substances peuvent en être libérées qui provoquent des rougeurs et des démangeaisons de la peau, un gonflement et une inflammation des tissus, des spasmes ou un relâchement des muscles lisses, une perturbation de la circulation sanguine, etc.

Pour prévenir ou réduire les allergies, les personnes sujettes aux allergies doivent éviter tout contact avec les allergènes.

La résistance du corps aux effets de facteurs pathogènes physiques, chimiques et biologiques pouvant provoquer des maladies est appelée - résistance corps. Il existe des résistances non spécifiques et spécifiques.

Résistance non spécifique est assuré par les fonctions de barrière, la phagocytose et la teneur dans l'organisme de substances complémentaires bactéricides spéciales biologiquement actives : lysozyme, properdine, interféron.

Résistance spécifique l'organisme est déterminé par l'espèce et les caractéristiques individuelles de l'organisme lorsqu'il est exposé à une immunisation à la fois active (administration de vaccins ou d'anatoxines) et passive (administration de sérums immuns) contre les agents pathogènes de maladies infectieuses.

Les organes du système immunitaire sont divisés en organes centraux et périphériques. À autorités centrales comprennent le thymus (thymus), la moelle osseuse et les plaques de Peyer, dans lesquelles mûrissent les lymphocytes. Les lymphocytes pénètrent dans le sang et la lymphe et colonisent organes périphériques : rate, ganglions lymphatiques, amygdales et accumulations de tissu lymphoïde dans les parois des organes internes creux des systèmes digestif, respiratoire et génito-urinaire.

Il existe deux principales formes de défense immunitaire : immunité humorale et cellulaire.

Immunité humorale.

Il s'agit d'une protection contre la plupart des infections bactériennes et d'une neutralisation de leurs toxines. Il est réalisé Lymphocytes B , qui se forment dans la moelle osseuse. Ce sont les prédécesseurs plasmocytes- des cellules qui sécrètent soit des anticorps, soit des immunoglobulines. Les anticorps ou immunoglobulines ont la capacité de se lier spécifiquement aux antigènes et de les neutraliser.

Antigènes- Il s'agit de substances étrangères dont l'introduction dans l'organisme provoque une réponse immunitaire. Les antigènes peuvent être des virus, des bactéries, des cellules tumorales, des tissus et organes transplantés sans rapport, des composés de haut poids moléculaire (protéines, polysaccharides, nucléotides, etc.) qui ont pénétré dans un autre organisme.

Immunité cellulaire.

Il s'agit d'une protection contre la plupart des infections virales, le rejet des organes et tissus étrangers transplantés. L'immunité cellulaire est réalisée

Lymphocytes T formé dans le thymus (thymus), les macrophages et autres phagocytes.

En réponse à un stimulus antigénique, les lymphocytes T se transforment en grandes cellules en division - les immunoblastes, qui, au stade final de la différenciation, se transforment en cellules tueuses (à tuer), qui ont une activité cytotoxique envers les cellules cibles.

Cellules T tueuses détruire les cellules tumorales, les cellules de greffes génétiquement étrangères et les propres cellules mutées du corps. En plus des cellules tueuses, la population de lymphocytes T contient également d’autres cellules impliquées dans la régulation de la réponse immunitaire.

Cellules T auxiliaires (pour aider - aider), en interaction avec les lymphocytes B, stimule leur transformation en plasmocytes qui synthétisent des anticorps.

T-suppresseurs (suppression) bloquent les cellules T auxiliaires, inhibent la formation de lymphocytes B, ce qui réduit la force de la réponse immunitaire.

T-ampères - favoriser une réponse immunitaire cellulaire.

Cellules T différenciatrices - modifier la différenciation des cellules souches hématopoïétiques dans les directions myéloïde ou lymphoïde.

Cellules T à mémoire immunologique - Les lymphocytes T stimulés par un antigène, capables de stocker et de transmettre des informations sur un antigène donné à d'autres cellules.

Les leucocytes, traversant la paroi des capillaires, pénètrent dans les tissus corporels soumis au processus inflammatoire, où ils capturent et dévorent les micro-organismes, les cellules mortes et les particules étrangères. Le scientifique russe I.I Mechnikov, qui a découvert ce phénomène, a appelé ce processus phagocytose (du grec phago - dévorer et kytos - cellule), et les cellules qui dévorent les bactéries et les particules étrangères sont appelées phagocytes. Les cellules phagocytaires sont réparties dans tout le corps.

IMMUNITÉ(du latin immunitas - libération) est l'immunité innée ou acquise du corps contre les substances étrangères ou les agents infectieux qui y ont pénétré.

Distinguer congénital et acquis immunité (naturelle et artificielle).

L'immunité innée représente l’immunité d’une personne contre les micro-organismes qui causent des maladies. Il s’agit d’un trait d’espèce hérité. L’immunité innée spécifique à l’espèce est la forme d’immunité la plus durable (maladie canine et autres maladies animales).

Acquis Naturellement ou artificiellement, l'immunité est développée par l'organisme lui-même au cours de la vie et peut être actif ou passif:

1. Immunité active naturelle acquise se développe après une maladie infectieuse (post-infectieuse). Dans ce cas, le corps lui-même produit activement des anticorps. Cette immunité n'est pas héréditaire, mais est très stable et peut durer de nombreuses années (rougeole, varicelle)

2. Immunité passive naturelle acquise est causée par le transfert d'anticorps de la mère à l'enfant par le placenta ou le lait maternel ; la durée de cette immunité n'excède pas 6 mois.

3. Immunité active artificielle acquise , se développe dans l’organisme après la vaccination. Vaccins- préparations contenant des micro-organismes vivants tués ou affaiblis, des virus ou des produits neutralisés de leur activité vitale - anatoxines. À la suite de l'action des antigènes sur le corps, des anticorps s'y forment. Au cours du processus d'immunisation active, le corps devient immunisé contre l'administration répétée de l'antigène correspondant.

4. Immunité passive artificielle acquise est créé en introduisant dans l'organisme des sérums immunitaires obtenus à partir du sang d'une personne ayant souffert d'une maladie donnée, ou du sang d'un animal vacciné avec un certain vaccin et contenant des anticorps capables de neutraliser les agents pathogènes correspondants. Cette forme d’immunité apparaît rapidement, quelques heures après l’administration de l’immunsérum. Le sérum est administré aux personnes ayant été en contact avec le patient, mais n'ayant pas elles-mêmes été vaccinées contre cette maladie (rougeole, rubéole, paratite, etc.). Après avoir été mordu par un chien inconnu, un sérum antirabique est administré pendant 1 à 3 jours.

Le corps est constamment sous protection vigilante, qui le protège des particules étrangères. Le système de défense est l’immunité. Il peut s'agir d'un ensemble d'organes et de tissus dont les cellules neutralisent et éliminent les agents nocifs. Grâce à ce système de défense, les humains peuvent combattre les maladies. Où se trouve le système immunitaire humain ?

Il n'y a pas de réponse claire à cette question. L'immunité est un concept abstrait ; elle n'est pas concentrée en un seul endroit, mais est dispersée dans tout le corps. Son échec entraîne de nombreuses conséquences néfastes. Une personne devient vulnérable aux agents étrangers. Il ne peut pas combattre les infections et maintenir sa santé. Un certain nombre de conditions pathologiques surviennent. Selon le mécanisme de fonctionnement, l'immunité peut être :

• Cellulaire;
• Humoral.

Chacun d'eux remplit sa fonction protectrice grâce à des cellules spéciales. Le premier type concerne les lymphocytes T ou lymphocytes T, qui sont divisés en lymphocytes T tueurs, lymphocytes T auxiliaires, macrophages et neutrophiles. L'humour est réalisé grâce aux lymphocytes B et aux anticorps qu'ils produisent.

Une autre classification de l'immunité la divise en :

• Non spécifique, sinon congénital ;
• Spécifique, qui se produit tout au long de la vie.

Et aussi le système de protection peut être :

• Naturel, développé après une maladie ;
• Artificiel ou passif, résultant d'interventions médicales - vaccination.

Où est

L'immunité est un concept vaste qui combine de nombreux systèmes et tissus impliqués dans la production de substances spéciales. Tous les organes de protection sont divisés en deux grands groupes :

• Central – thymus et moelle osseuse, responsables de la production de cellules lymphatiques ;
• Périphérique - rate, ganglions lymphatiques, amygdales et groupes de formations lymphoïdes. Leur tâche est la différenciation.

Il est impossible de dire où se situe l’immunité dans le corps humain. Il s'agit d'un concept général qui reflète le travail de nombreux tissus et systèmes. Le thymus, ou autrement le thymus, est le siège de la formation de l'immunité cellulaire, c'est-à-dire des lymphocytes T. Cet organe est situé derrière le sternum et présente des caractéristiques liées à l'âge. Chez les enfants et les jeunes, il se développe activement et l'involution se produit au fil des années. Cela se traduit par une diminution de l’activité protectrice chez les personnes âgées.

Un autre organe central du système immunitaire est la moelle osseuse. Il est représenté par un tissu mou et spongieux situé dans les os tubulaires et plats. Sa tâche est la formation de cellules sanguines - leucocytes et érythrocytes, ainsi que plaquettes. La moelle osseuse produit des lymphocytes B, qui sont l'arme de la réponse humorale.

L'un des organes de l'immunité périphérique est la rate. Son rôle se réduit à la production de lymphe, à l’élimination des globules rouges anciens et défectueux, ainsi qu’au stockage des cellules sanguines. La rate est souvent appelée le dépôt de sang et le cimetière des globules rouges. Il est situé dans la région abdominale, sous l'hypocondre gauche.

Les ganglions lymphatiques sont appelés filtres biologiques. Ce sont de petites formations sphériques, mesurant normalement jusqu’à 1 cm. Les ganglions lymphatiques suivent le trajet des artères. Il existe des ganglions sous-maxillaires, post-auriculaires, supra- et sous-claviers, axillaires, poplités et inguinaux. Ils sont reliés par des conduits et forment ensemble le système lymphatique. Les processus inflammatoires s'accompagnent souvent d'une augmentation de ces ganglions. Ils peuvent atteindre la taille d’un œuf de poule.

• tissu lymphoïde situé des deux côtés du pharynx - ce sont les amygdales. Une autre île similaire est localisée dans les parois intestinales et s'appelle les plaques de Peyer. Le lieu exact de leur concentration est l'appendice, qui est également considéré comme un organe immunitaire. Les conduits reliant les formations lymphoïdes contiennent de la lymphe, un liquide incolore qui comprend un grand nombre de cellules de défense.

Où se situe l’immunité ? Elle imprègne tout le corps humain. Même là où il n’y a pas de tissus protecteurs, il existe des ganglions et des canaux lymphatiques. La Défense ne quitte jamais son poste. Une personne est sous le contrôle d'un système de sécurité 24 heures sur 24.

Comment est-il produit ?

Le rôle de tous les organes immunitaires se résume à une seule chose : les cellules protectrices. Certains les forment, d’autres se différencient, d’autres s’accumulent, d’autres encore font office de réservoir. Les produits de cellules immunitaires les plus importants comprennent :

Grâce aux organes immunitaires, la production de ces cellules est possible. Ils participent directement au champ de bataille. Des « soldats » du système de défense qui luttent contre les étrangers qui ont pénétré par effraction dans le corps.

Les fonctions

La tâche principale de l’immunité est de se défendre contre les substances indésirables. Parmi les principaux figurent :

• Prévenir l'introduction d'agents étrangers grâce à la présence de barrières biologiques ;
• Destruction des cellules défectueuses et anciennes de l’organisme dont le cycle de vie est arrivé à son terme ;
• Neutralisation d'un microbe nuisible lors de son entrée ;
• Élimination, c'est-à-dire élimination des antigènes.

De quoi dépend l’immunité humaine ?

Les mécanismes de défense se forment sous l'influence de nombreux facteurs qui déterminent la force de la réponse contre les antigènes. Un rôle important est joué par :

• L'hérédité est la prédisposition génétique d'une personne, héritée de ses parents. L'immunité dépendra directement de ce facteur ;
• L’environnement peut également influencer dans une large mesure les mécanismes de défense. Deux jumeaux ayant un matériel génétique similaire mais vivant dans des environnements différents auront un statut immunitaire différent ;
• La qualité et la quantité des aliments consommés et, plus précisément, leur composition en vitamines et minéraux ;
• Mode de vie – sa routine quotidienne, ses horaires de travail et de repos, la présence de mauvaises habitudes ;
• Activité physique ou absence d’activité physique. L'inactivité physique conduit au fait que le patient sera dans un état de tonus musculaire et d'échanges gazeux réduits et, par conséquent, sensible aux troubles immunitaires ;
• Maladies acquises et congénitales.

Ces facteurs seront la réponse à la question « de quoi dépend l’immunité humaine ?

Causes de l'immunité humaine affaiblie

Les maladies et affections suivantes peuvent déclencher le processus de réduction de l’arsenal protecteur de l’organisme :

Les causes de l'environnement extérieur sont :

• Un mode de vie incorrect, avec un stress psycho-émotionnel ou physique accru, une alimentation déséquilibrée et des troubles du sommeil ;
• Conditions environnementales négatives ;
• Dépendance à l'alcool, au tabagisme ;
• Manque de vitamines et de minéraux.

L'état de diminution de la fonction protectrice du corps nécessite une correction obligatoire. Vous devez augmenter votre immunité sous la surveillance d'un médecin. En étudiant les antécédents médicaux du patient, en procédant à un examen et en utilisant des méthodes de diagnostic, le médecin peut prescrire le traitement nécessaire sans obliger la personne à prendre des médicaments. Augmenter votre statut immunitaire n’est pas une tâche facile, mais c’est réalisable. Vous ne pouvez pas renforcer votre immunité par vous-même sans l’avis d’un médecin. L'essentiel est de renforcer judicieusement votre corps et de s'y préparer. Alors gravir les échelons de la santé sera beaucoup plus agréable et intéressant.