Caractéristiques de l'évolution, symptômes et traitement des maladies rénales. Les premiers signes de maladie rénale auxquels vous devez prêter attention

Les maladies rénales touchent de plus en plus de personnes. En Russie, environ 4 pour cent de la population souffre déjà d’une maladie rénale. Selon les statistiques, elles sont plus souvent observées chez les femmes, mais chez les hommes, les maladies rénales sont généralement présentes sous des formes sévères et avancées.

Cela est dû à la réticence de la moitié la plus forte de l’humanité à visiter, une réticence inexplicable à surveiller sa santé. C’est à ce moment-là que des signes de maladie rénale commencent à apparaître.

2. Signes de maladie rénale – Pyélonéphrite

La pyélonéphrite est une maladie rénale inflammatoire très courante car les infections pénètrent souvent dans les reins par le sang.

La source de l'infection peut être une inflammation des poumons, des intestins, de l'utérus, ainsi qu'une dent cariée ou un furoncle.

L'inflammation rénale est souvent causée par des micro-organismes constamment présents dans le corps humain, qui sont activés lorsque le système immunitaire est affaibli.

L’infection pénètre souvent dans le rein à partir d’une vessie déjà enflammée. Les agents responsables de la pyélonéphrite sont souvent Escherichia coli, le staphylocoque, le streptocoque et le Proteus.

Chez l’homme, l’infection peut pénétrer par l’urètre et la prostate. Les femmes, en raison de leurs caractéristiques physiologiques, souffrent plus souvent de pyélonéphrite.

Les causes de l'hydronéphrose peuvent être un rétrécissement de l'uretère, un calcul qui l'a bloqué, des anomalies congénitales, des tumeurs rénales, des maladies des organes pelviens et autres, qui provoquent une situation de violation de l'écoulement de l'urine du rein.

5. Signes de maladie rénale – Insuffisance rénale

En cas d'insuffisance rénale, les reins cessent de remplir totalement ou partiellement leurs fonctions.

En conséquence, des changements se produisent dans le corps, à cause desquels les produits métaboliques (acide urique, urée, etc.) ne quittent pas le corps, causant des dommages.

L'insuffisance rénale peut résulter d'une pyélonéphrite, d'une glomérulonéphrite, de la goutte, du diabète sucré, d'une intoxication médicamenteuse et de l'action de substances toxiques.

6. Signes de maladie rénale – Glomérulonéphrite

La glomérulonéphrite est également une maladie inflammatoire qui affecte les tubules rénaux et les glomérules.

Les pancréatites aiguës et chroniques (ICD-10, K85) sont les pathologies du pancréas les plus courantes. Si une forme aiguë de la maladie est diagnostiquée, un traitement hospitalier est généralement prescrit. Cette maladie se déroule en trois phases. Environ 70 % des patients avec un diagnostic confirmé sont des alcooliques. Dans 30 % des cas, la pancréatite se développe comme une complication dans le contexte d'une maladie biliaire.

Pancréatite aiguë : causes et modifications des analyses de sang

La pancréatite est une maladie basée sur l'autolyse du pancréas, provoquée par une activation prématurée des enzymes pancréatiques. Les causes de la pancréatite chronique aiguë, ainsi que les méthodes de traitement de ces maladies, sont différentes.

La pancréatite aiguë peut se présenter sous trois formes : nécrose pancréatique œdémateuse, graisseuse et nécrose pancréatique hémorragique.

Les principales causes de pancréatite aiguë sont :

  • infections (inflammations);
  • nutrition non systématique;
  • blocage du canal pancréatique (ou du canal biliaire principal) ;
  • buvant de l'alcool;
  • alimentation déséquilibrée. Autrement dit, la cause de la pancréatite aiguë peut être la consommation de grandes quantités de graisses et d'aliments épicés en l'absence de protéines et de vitamines dans l'alimentation.

Blessures. Lors d'une blessure, les cellules pancréatiques sont endommagées et des enzymes lysosomales sont libérées, qui convertissent le trypsinogène en trypsine. Ce dernier est un activateur de la plupart des proenzymes ; par conséquent, la chymotrypsine, l'élastase, la collagénase et la phospholipase A2 sont activées.

Les changements biochimiques dans les tests de pancréatite sont les suivants :

  • libération d'enzymes protéolytiques dans le sang ;
  • l'effet de la trypsine sur les kininogènes tissulaires de haut poids moléculaire conduit à la formation de kinines, qui provoquent des douleurs et une perméabilité vasculaire accrue, et l'effet sur les protéines sanguines entraîne une augmentation du niveau de molécules moyennes (peptides) ;
  • l'effet de la phospholipase A2 sur les phospholipides des membranes cellulaires conduit à la formation de lysophosphatidylcholine et de lysophosphatidyléthanolamine, qui sont les poisons cytotoxiques les plus puissants ;
  • l'activation de l'élastase et de la collagénase entraîne la destruction du tissu conjonctif (nécrose pancréatique) ;
  • l'activation de la lipase entraîne la dégradation des lipides cellulaires, favorisant le développement de zones de nécrose adipeuse (stéatonécrose) dans les tissus de la glande et des fibres entourant la glande.

Une augmentation de la perméabilité capillaire sous l'influence des kinines dans la pancréatite entraîne des modifications du sang, une altération de la microcirculation, une stase, une ischémie, une hypoxie et une acidose.

L'activation des protéines de la coagulation sanguine par les enzymes protéolytiques peut conduire à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).

Méthodes modernes de traitement de la pancréatite aiguë

Aspect biochimique du traitement de la pancréatite aiguë :

  • lutte contre la toxémie enzymatique dans les premières heures de la maladie : administration d'inhibiteurs d'enzymes protéolytiques - gordox, contrical, trasylol, etc. ;
  • une méthode moderne de traitement de la pancréatite aiguë consiste à administrer des antispasmodiques pour éliminer les enzymes pancréatiques activées des canaux pancréatiques ;
  • administration de grandes quantités de liquide pour accélérer l'élimination des substances toxiques dans les urines ;
  • élimination des substances toxiques du sang (plasmaphérèse, hémosorption extracorporelle) ;
  • la douleur est soulagée par des analgésiques. Les opiacés peuvent aggraver l'état du patient et doivent être évités.

Cette méthode de traitement de la pancréatite aiguë, comme la chirurgie, est pratiquée en cas de complications. L'évolution de la maladie peut être surveillée à l'aide de déterminations en série de l'amylase et de la protéine C-réactive, ainsi qu'à l'aide de méthodes d'imagerie (échographie, tomodensitométrie).

Tous les types de maladies rénales chez les enfants et les adultes sont divisés en deux grands groupes : les lésions d'une partie d'un organe apparié et les lésions des deux parties d'un organe apparié. Ce document décrit des types de maladies rénales telles que le syndrome néphrotique, l'acidose tubulaire rénale, les coliques et l'ostéodystrophie. Vous en apprendrez également davantage sur d’autres maladies rénales et leur évolution.

Syndrome néphrotique des maladies rénales et diagnostic biochimique

Le syndrome néphrotique (ICD-10, N04) est un complexe en développement de symptômes associés à une augmentation à long terme et prononcée de la perméabilité des glomérules rénaux aux protéines. Le principal symptôme est une protéinurie (plus de 5 g/jour) ou dans des échantillons d'urine uniques, le rapport protéine/créatine est supérieur à 2, un œdème généralisé, une lipidurie, une lipémie, une hypoalbuminémie, une hypovolémie. En cas d'hypovolémie sévère, une crise néphrotique avec douleurs abdominales et érythème cutané est possible. Chez les enfants, l'ascite est un signe de cette maladie rénale. L'hématurie est modérée, plus souvent chez l'adulte. Selon une hypothèse, le syndrome néphrotique (primaire) est une lésion diffuse des podocytes génétiquement déterminée (les podocytes sont les cellules de la muqueuse épithéliale des capillaires glomérulaires). Le syndrome néphrotique secondaire accompagne des types de maladies rénales telles que la glomérulonéphrite membraneuse, la glomérulonéphrite proliférative membraneuse, la glomérulonéphrite mésangiale, la maladie des Ig A, la glomérulosclérose focale et la glomérulonéphrite à progression rapide. Ces maladies provoquent des modifications dystrophiques des podocytes.

Une combinaison efficace de tests biochimiques dans le diagnostic de cette maladie rénale est présentée dans le tableau :

Test biochimique

Direction du changement

Protéine dans l'urine

de 5 à 50 g/jour

Albumine dans le sang

Déclin

Ig E dans le sang

Promotion

1d M dans le sang

Promotion

Clairance de l'inuline

Déclin

Cholestérol dans le sang

Promotion

Volume urinaire

Déclin

Promotion

Selon une autre hypothèse, les facteurs qui augmentent la perméabilité vasculaire glomérulaire sont produits par les lymphocytes T dans le sang : ce sont les lymphokines - interleukine-2 (IL-2), interleukine-4 (IL-4), facteur de nécrose tumorale (TNF).

Causes de la maladie rénale : acidose tubulaire rénale

L'acidose tubulaire rénale (ICD-10, N25.8) est caractérisée par une capacité altérée à sécréter des ions hydrogène dans les tubules distaux du néphron ou à réabsorber des ions bicarbonate dans les tubules proximaux du néphron, ce qui conduit à une acidose métabolique, qui s'accompagne par hypokaliémie, néphrocalcinose et rachitisme ou ostéomalacie.

En parlant des types de maladies rénales, il convient de noter que l'une des fonctions importantes de cet organe apparié est la régulation de l'état acido-basique (ABS) dans le corps humain : le pH sanguin est de 7,37 à 7,44, les réserves alcalines (BE) - ±2,3 mmol/l, pression partielle de dioxyde de carbone (pCO2) - 36-44 mm Hg. Art.

Trois mécanismes dans le rein maintiennent l’état acido-basique :

  • la conversion de l'hydrogénophosphate en dihydrogène phosphate lorsque l'urine primaire traverse les tubules du néphron. La formation de dihydrogénophosphate se produit en raison de l'échange d'ions sodium de l'urine primaire vers les ions hydrogène du plasma sanguin, suivi de l'élimination du dihydrogénophosphate de sodium dans l'urine ;
  • dans les cellules des tubules rénaux, des ions bicarbonate se forment et sont réabsorbés (complètement) dans le plasma sanguin, c'est-à-dire il n'y a pas d'ions bicarbonate dans l'urine d'une personne en bonne santé ;
  • sous l'action de l'enzyme glutaminase contenue dans les cellules des tubules distaux, de l'ammoniac (NH3) se forme à partir de la glutamine plasmatique, qui interagit avec les ions hydrogène sécrétés et est excrétée sous forme d'ammonium (sels d'ammonium) par les reins dans les urines .

Il existe quatre types d’acidose tubulaire rénale :

Tapez I- la capacité à créer un gradient de concentration de pH dans les tubules distaux du néphron est altérée, c'est-à-dire la capacité à sécréter des ions hydrogène est altérée.

Type II– les causes de ce type de maladie rénale sont associées à une diminution de la capacité des cellules du tubule néphronique à réabsorber les ions bicarbonate et à les restituer dans le plasma sanguin pour maintenir l'effet tampon du système tampon bicarbonate ; Il n'y a pas de sels de bicarbonate dans l'urine d'une personne en bonne santé (uniquement des chlorures et des phosphates).

type III- ce type d'acidose rénale calcique est décrit en détail dans le chapitre « Syndrome d'Albright-Buttler ».

Type IV peut être causée par un déficit en aldostérone ou une perte de sensibilité à l'aldostérone des cellules tubulaires distales, ce qui entraîne une hyperkaliémie, une diminution de la production d'ammoniac et une diminution de la sécrétion d'ions hydrogène.

Colique néphrétique, sans précision : causes et tests de détection d'une maladie rénale

La colique néphrétique (ICD-10, N23) est un syndrome observé dans un certain nombre d'affections rénales. Le nom de cette maladie rénale parle de lui-même : les patients ressentent des douleurs aiguës et lancinantes dans la région lombaire.

Les causes les plus fréquentes de cette maladie rénale sont : la lithiase urinaire (passage d'un calcul), l'hydronéphrose, la néphroptose, dans lesquelles l'urodynamique des voies urinaires supérieures est perturbée. La colique néphrétique peut être causée par une obstruction de l'uretère par un caillot sanguin ou un calcul, une maladie polykystique, des tumeurs des reins et des uretères. Une douleur aiguë est due à un spasme des voies urinaires accompagné d'une anémie, due à l'étirement de la capsule fibreuse du rein. Marcher, courir, soulever des objets lourds et conduire de manière cahoteuse provoquent une crise de douleur, mais elle peut aussi commencer au repos. L'attaque peut être accompagnée de frissons et de fièvre. Avec la lithiase urinaire et l'hydronéphrose, une crise de douleur peut survenir aussi bien le jour que la nuit, et avec la néphroptose - pendant la journée. Le passage d'un calcul s'accompagne souvent non seulement de crises de douleur, mais aussi de parésies intestinales, de nausées, de vomissements, d'hématurie et d'envie douloureuse d'uriner. La douleur irradie le long des uretères, jusqu'à l'aine.

Une combinaison efficace de tests biochimiques pour cette maladie rénale est présentée dans le tableau :

Test biochimique

Direction du changement

Protéine dans l'urine

Globules rouges dans l'urine

Leucocytes dans l'urine

Promotion

Promotion

Couleur des urines

Changement

Ostéodystrophie rénale et photos des symptômes de la maladie rénale

L'ostéodystrophie rénale du tissu osseux (ICD-10, N25.0) est causée par une perturbation du métabolisme du calcium et du phosphate, qui survient en cas d'insuffisance rénale chronique à long terme ou en l'absence de traitement adéquat de l'insuffisance rénale chronique. À mesure que le taux de filtration glomérulaire diminue dans le sérum sanguin, une hypocalcémie (diminution du taux d'ions calcium), une hyperphosphatémie (augmentation du taux de phosphate inorganique) se développent, ce qui conduit à l'activation des ostéoclastes (cellules du tissu osseux capables de détruire tissu osseux - un dépôt de calcium dans le corps) ; une calcification insuffisante conduit à l'activation des cellules du tissu osseux - les ostéoblastes, puis à l'activation de la phosphatase alcaline dans le tissu osseux et le sérum sanguin. À la suite de ces changements, l’ostéoporose commence dans certaines zones des os et une croissance intensive du tissu osseux dans d’autres zones des os sous forme d’épaississements osseux.

Ici vous pouvez voir une photo d'une maladie rénale, d'une ostéodystrophie du tissu osseux :

Ainsi, l'ostéodystrophie rénale est provoquée par une violation du métabolisme interstitiel, caractérisée par la restructuration du tissu osseux avec remplacement des éléments osseux par du tissu ostéoïde et fibreux, parfois par une ostéosynthèse accrue. L'ostéodystrophie est caractérisée par une déformation du fémur et du tibia, de la colonne vertébrale, du crâne et des os du bassin, avec une hyperostose sévère, un épaississement et une courbure des os. Cette maladie est souvent appelée « ostose déformante ». Ce type de maladie rénale survient chez les adultes souffrant d'insuffisance rénale chronique.

Une combinaison efficace de tests biochimiques dans le diagnostic de l'ostéodystrophie rénale :

Test biochimique

Direction du changement

Urée dans le sang

Promotion

Créatinine dans le sang

Promotion

Calcium dans le sang

Déclin

Phosphates inorganiques dans le sang

Promotion

Phosphatase alcaline

Promotion

Calcium dans les urines

Promotion

Signes et diagnostic de l'hypernéphrome d'une maladie rénale

L'hypernéphrome ou tumeur rénale (ICD-10, C64) est le plus souvent malin - adénocarcinome. Ils affectent le parenchyme rénal, mais les modifications fonctionnelles du rein sont minimes : la protéinurie est absente ou insignifiante, les taux d'urée et de créatinine augmentent rarement (en l'absence d'autres maladies rénales), l'hématurie, la fièvre d'origine inconnue et l'hypertension sont plus fréquentes. Les signes de cette maladie rénale sont également des douleurs latérales et une polyglobulie (due à une sécrétion accrue d'érythropoïétine). Les niveaux d'albumine et d'ions sodium dans le sang diminuent et l'activité des enzymes lactate déshydrogénase et phosphatase alcaline augmente.

Une combinaison efficace de tests biochimiques dans le diagnostic de cette maladie rénale est présentée dans le tableau :

Test biochimique

Direction du changement

Calcium dans le sang

Promotion

Sodium dans le sang

Déclin

Sodium dans les urines

Promotion

Lactate déshydrogénase dans le sang

Promotion

Phosphatase alcaline dans le sang

Promotion

Test de thymol

Modifié

Temps de prothrombine

Promotion

Albumine dans le sang

Déclin

ag-globulines dans le sang

Tumeur rénale sécrétant de la rénine

La tumeur rénale sécrétant de la rénine (ICD-10, C64) survient lorsque le processus tumoral (prolifération) affecte les cellules juxtaglomérulaires entourant l'artériole afférente du glomérule rénal du néphron. Les cellules juxtaglomérulaires commencent à synthétiser de manière intensive l'enzyme protéolytique rénine, qui dans le sang sépare le décapeptide angiotensine I de la protéine sanguine angiotensinogène, qui est ensuite transformée sous l'influence de l'ACE en angiotensine II. L'angiotensine II, agissant sur le cortex surrénalien, stimule la sécrétion d'aldostérone, augmentant ainsi la réabsorption des ions sodium et chlorure de l'urine primaire, mais il y a une perte d'ions potassium dans l'urine ; La sécrétion de vasopressine augmente, ce qui améliore la réabsorption de l'eau de l'urine primaire et réduit la diurèse.

L'angiotensine II agit sur les vaisseaux du système circulatoire, provoquant leur rétrécissement. En conséquence, une hypertension secondaire (rénovasculaire) se développe.

Une combinaison efficace de tests biologiques pour diagnostiquer cette maladie rénale est la suivante :

Symptômes de l’amylose rénale

Amylose rénale (ICD-10, E85) - cette maladie résulte de l'accumulation de protéines fibrillaires insolubles (amyloïde) dans les tissus en quantités qui perturbent le fonctionnement normal.

Biochimiquement, il existe trois principaux types d’amyloïde :

  • avec l'amylose primaire, l'amyloïde s'accumule, contenant des chaînes légères polymérisées d'immunoglobulines dans les fibrilles, c'est pourquoi ce type d'amylose est appelé AL-amylose ;
  • avec l'amylose secondaire, l'amyloïde s'accumule, contenant des protéines polymérisées non immunoglobulines dans les fibrilles; ce type d'amylose est appelé amylose AA, acquise à la suite de processus inflammatoires chroniques à long terme;
  • Le troisième type d'amylose survient à la suite d'un défaut au niveau du gène, on l'appelle héréditaire familiale, les fibrilles amyloïdes contiennent une protéine polymérisée transthyrétine (la transthyrétine est une protéine qui transporte la thyroxine et le rétinol dans le sang), ce type d'amylose est appelée amylose ATTR.

L’amylose rénale se présente généralement sous la forme d’amylose AA et AL. Au début de la maladie, on note seulement une protéinurie légère, mais au fur et à mesure que le processus progresse, une protéinurie massive, une hypoprotéinémie, une hyperlipidémie, une hypercholestérolémie, une augmentation de la teneur en lipoprotéines de basse densité (LDL ou β-LP) dans le plasma sanguin, une augmentation de la teneur en triacylglycérols, un œdème et une acidose tubulaire apparaissent. Dans l'amylose rénale, les glomérules du néphron sont principalement touchés, puis des dépôts amyloïdes se produisent dans les zones interstitielles, péritubulaires et vasculaires des reins. Dans le contexte de l'amylose rénale, une thrombose des veines rénales peut survenir.

Une combinaison efficace de tests biologiques dans le diagnostic de l’amylose rénale :

Test biochimique

Direction du changement

Protéine dans le sang

Déclin

LDL dans le sang

Promotion

Cholestérol dans le sang

Promotion

Protéines dans l'urine

Promotion

Déclin

Clairance de l'inuline

Déclin

Moulages de graisse dans les sédiments urinaires

Maladie kystique des reins

La maladie rénale kystique (ICD-10, E84) est une malformation dysplasique comportant un ou plusieurs kystes.

Cette maladie est divisée en six groupes :

  • maladie polykystique (congénitale);
  • dysplasie rénale, familiale, associée à une obstruction des voies urinaires inférieures ;
  • kystes corticaux rénaux;
  • kystes de la moelle rénale ;
  • kystes rénaux dans les maladies héréditaires (syndrome de Meckel, maladie de Landau, etc.) ;
  • kystes dans les processus inflammatoires et tumoraux.

La maladie polykystique des reins se caractérise par une cause héréditaire (au niveau génétique), avec des lésions bilatérales. Les symptômes de cette maladie rénale comprennent une augmentation de la taille de l’organe et une diminution de la quantité de tissu rénal fonctionnel. Les kystes sont des parties dilatées des tubules rénaux et des glomérules, mais ils restent connectés au reste du néphron. Dans l'urine des patients, une faible protéinurie et divers degrés d'hématurie sont généralement observés, même en l'absence d'infection bactérienne. Les calices, les entonnoirs et le bassin des reins sont comprimés et étirés par les kystes. La maladie polykystique conduit à une azotémie, contrairement aux kystes isolés qui ne provoquent pas d'urémie. Dans de nombreux cas, la maladie évolue lentement (jusqu'à 30 ans).

Une combinaison efficace de tests biochimiques dans le diagnostic de la maladie kystique des reins (maladie polykystique) :

Athéroembolie des artères rénales

L'athéroembolie des artères rénales (ICD-10, 174) se manifeste soit par une détérioration rapide de la fonction rénale, soit par une insuffisance rénale à progression plus lente, qui dépend de la quantité de matériel athéromateux obstruant les artères rénales.

Les sources d'embolies rénales sont le plus souvent des plaques athéroscléreuses détruites de l'aorte, formées à la suite de l'athérosclérose.

Contrairement à la thromboembolie des principales artères rénales, les lésions rénales athéroemboliques commencent progressivement. Chez la plupart des patients présentant une athéroembolie rénale spontanée, l'examen initial révèle une azotémie, puis une insuffisance rénale lentement progressive. Il n'y a pas de modifications biochimiques spécifiques dans le sang, l'urine ou les sédiments urinaires ; l'éosinophilie n'est détectée que par l'analyse du sang périphérique.

Infarctus du rein : symptômes et diagnostic

L'infarctus rénal (ICD-10, 115.0) est une nécrose ischémique locale causée par une obstruction de l'artère ou des veines rénales. L'occlusion peut être causée par une thrombose spontanée en cas d'athérosclérose sévère, d'artérite, de drépanocytose, de fibrodysplasie, de rupture d'anévrisme de l'artère rénale et de tumeurs rénales. De petites occlusions de l'artère rénale peuvent être asymptomatiques. Dans d'autres cas, des symptômes de cette maladie rénale peuvent apparaître, tels qu'une douleur constante sur le côté dans la zone du rein affecté, de la fièvre, des nausées, des vomissements, une leucocytose dans le sang, une protéinurie, une microhématurie dans les urines ; aux premiers stades de la maladie, les taux sériques augmentent les enzymes : lactate déshydrogénase, aspartate aminotransférase, phosphatase alcaline. Lorsque les deux artères rénales (ou une dans un seul rein) sont obstruées, une anurie totale et une insuffisance rénale aiguë surviennent.

Une combinaison efficace de tests biochimiques pour diagnostiquer cette maladie rénale est présentée dans le tableau :

Test biochimique

Direction du changement

Leucocytes dans l'urine

Globules rouges dans l'urine

Leucocytes dans le sang

Promotion

Protéine dans l'urine

Promotion

Lactate déshydrogénase sanguine

Promotion

Aspartate aminotransférase sanguine

Promotion

Phosphatase alcaline sanguine

Promotion

Maladie rénale, syndrome de Barter

Le syndrome de Barter (néphrite de perte de sel) est une maladie caractérisée par une combinaison de troubles hydroélectrolytiques et hormonaux et accompagnée de l'excrétion d'ions potassium, sodium et chlorure par les reins dans l'urine. L'hypokaliémie, l'hypocalcémie, l'hypochlorémie surviennent dans le corps et chacun de ces facteurs stimule l'hyperplasie des cellules juxtaglomérulaires des reins, stimule la sécrétion de rénine, ce qui augmente le taux d'aldostérone dans le sang. L'hyponatrémie entraîne un volume plasmatique chroniquement faible, ce qui entraîne une pression artérielle normale malgré des taux élevés de rénine et d'angiotensine. Une alcalose métabolique, une hyperuricémie, une hypomagnésémie se développent souvent ; l'agrégation plaquettaire diminue. L'excrétion urinaire des prostaglandines et de la kallikréine augmente.

Une combinaison efficace de tests biochimiques dans le diagnostic de la néphrite gastrique (syndrome de Barter) :

Test biochimique

Direction du changement

Sodium dans le sang

Déclin

Chlores dans le sang

Déclin

Urée dans le sang

Promotion

Créatinine dans le sang

Promotion

Potassium dans le sang

Déclin

Quelles sont les autres maladies rénales : syndrome d'Albright-Buttler

Le syndrome d'Albright-Buttler est une maladie héréditaire associée à une pathologie génétique : l'absence de l'enzyme glutaminase dans les cellules des tubules distaux des néphrons des reins. Le nom de cette maladie rénale est donné par le nom des médecins qui l'ont décrite pour la première fois. Normalement, l'enzyme glutaminase décompose la glutamine sanguine en ammoniac et acide glutamique dans les tubules distaux des reins. Au dernier stade de la formation de l'urine, l'ammoniac est sécrété dans l'urine et, avec le canal sécréteur (H+), forme l'ion ammonium (NHJ), qui est un cation et interagit à la place des ions potassium et sodium avec des anions (chlorures, phosphates). ), formant des sels d'ammonium : chlorures d'ammonium et phosphates d'ammonium, qui sont excrétés dans les urines. Ainsi, grâce aux ions ammonium, l'homéostasie des ions sodium et potassium est maintenue dans le corps humain, les ions hydrogène (H+) sont éliminés et un état acido-basique normal est maintenu. L'absence congénitale de l'enzyme glutaminase dans les cellules des tubules distaux des reins entraîne une acidose métabolique non compensée.

Une combinaison efficace de tests biochimiques dans le diagnostic du syndrome d'Albright-Buttler :

Ces photos montrent les maladies rénales décrites ci-dessus :

Les reins sont l'un des organes les plus importants du système excréteur humain. La liste des maladies rénales est assez large et les premiers symptômes de la maladie sont presque impossibles à ignorer. Vous devez immédiatement consulter un médecin si une personne découvre un ou plusieurs problèmes :

  • gonflement des jambes et du visage ;
  • hypertension artérielle;
  • sang dans les urines;
  • sensations douloureuses en urinant.

Les reins sont un organe apparié et leur tâche principale est de libérer le corps de l'excès de liquide et des substances toxiques, de nettoyer et de filtrer le sang. Les maladies rénales peuvent être causées par un certain nombre de facteurs :

  • les infections sexuellement transmissibles;
  • hypothermie, rhumes fréquents;
  • prédisposition génétique;
  • cystite fréquente;
  • trouble métabolique.

Examinons plusieurs des maladies rénales les plus courantes, leurs principaux symptômes et méthodes de traitement.

La pyélonéphrite est une inflammation des reins provoquée par une infection. Elle se caractérise par l'apparition de douleurs intenses dans la région lombaire, d'urines troubles et d'une augmentation de la température. Le plus souvent, il s'agit d'un caractère secondaire, c'est-à-dire l'infection pénètre dans le rein avec le sang provenant d'autres organes infectés : vessie, intestins, urètre (chez l'homme), utérus (chez la femme).

Il existe deux types de pyélonéphrite : aiguë et chronique. Le premier se caractérise par des symptômes très vifs et douloureux : douleurs intenses dans la région lombaire, fièvre, frissons et faiblesse générale. Les maladies chroniques surviennent de manière cyclique, avec une alternance de phases de rémission et de détérioration. Pendant les périodes d'exacerbation, par exemple après un refroidissement important du corps, les symptômes correspondent à l'évolution aiguë de la maladie.

Étant donné que le tableau de la maladie s'exprime par des manifestations très douloureuses et une température élevée, pour prescrire un traitement, il est recommandé d'appeler un médecin à domicile, de rester à l'hôpital et de suivre strictement les recommandations d'un spécialiste.

Maladie de lithiase urinaire

Un autre nom est calculs rénaux, ou néphrolithiase. Sa principale manifestation est la formation de sable et de calculs dans les reins et la vessie. La raison de ce processus est un trouble métabolique dans le corps.

Facteurs externes qui influencent l’apparence des pierres :

  • abus d'aliments gras, épicés et salés;
  • quantité insuffisante de liquide dans le corps;
  • mode de vie sédentaire, inactivité physique;
  • climat chaud;
  • maladies infectieuses du système génito-urinaire;
  • hérédité;
  • alcool, tabac;
  • maladies du système squelettique (ostéoporose).

Les premiers stades de la maladie passent presque inaperçus. La néphrolithiase ne progresse vers le stade aigu que lorsque les calculs commencent à se déplacer le long de l'uretère. Ce processus ne peut pas être ignoré. Symptômes d'exacerbation :

  • douleur sourde et croissante dans la région lombaire;
  • sang et douleur en urinant;
  • température élevée, état fébrile.

La première chose à faire est de consulter un médecin. Déclencher une maladie en essayant de l'influencer par vos propres méthodes, c'est céder la place à un processus inflammatoire dangereux dans les reins, qui, dans le pire des cas, peut entraîner la perte de l'organe.

Formation de kyste dans un organe

Un kyste est une formation bénigne remplie de liquide sur le corps du rein. Les néoplasmes multiples sont polykystiques. Pendant longtemps, les kystes peuvent ne pas montrer leur présence. La seule façon de les détecter est de procéder à une échographie.

Si le kyste ne dépasse pas 5 cm de diamètre et n'entrave pas la circulation sanguine et le processus de miction, on ne le touche pas du tout, on l'observe seulement régulièrement. Si des symptômes désagréables tels que des saignements et des douleurs apparaissent, indiquant une augmentation de la taille du kyste ou sa rupture, une intervention chirurgicale urgente est recommandée.

Insuffisance rénale

L'une des maladies rénales les plus graves. Elle se traduit par la perte totale ou partielle de la capacité des reins à éliminer l’urine du corps et, avec elle, tous les produits métaboliques nocifs. Un symptôme important est un petit volume d'urine lors de la miction ou son absence totale. Les causes peuvent être des maladies chroniques, des infections, des lésions internes du système hématopoïétique, un blocage de l'uretère, etc.

Dans la plupart des cas, avec une approche rapide et compétente, la maladie peut être complètement guérie. En plus d'un traitement médicamenteux, un régime strict avec de faibles niveaux de protéines et de sel est indiqué.

Les formes plus graves d’insuffisance rénale peuvent entraîner une perte rénale, voire la mort. Dans ce cas, seule une greffe d’organe ou une hémodialyse permanente peut aider.

Qu’est-ce que la glomérulonéphrite ?

La glomérulonéphrite rénale est une lésion de l'ensemble du système rénal, dans laquelle les glomérules rénaux (glomérules) sont principalement touchés. Les précurseurs peuvent être des maladies infectieuses aiguës : amygdalite, infection streptococcique, scarlatine, hépatite virale, rougeole, paludisme, etc.

Environ le troisième jour après l'infection, de graves maux de tête et un gonflement apparaissent, la tension artérielle augmente fortement et l'écoulement de l'urine diminue. De plus, des traces de sang peuvent être observées dans les urines excrétées. Inquiet des douleurs douloureuses dans la région lombaire.

De tels symptômes devraient servir de signal pour consulter immédiatement un médecin. Le patient se voit prescrire un alitement strict, un traitement médicamenteux à long terme et un régime rénal strict. Un retard menace une insuffisance rénale aiguë avec toutes les conséquences qui en découlent.

Symptômes de la néphroptose

Le prolapsus rénal (néphroptose), contrairement à la plupart des autres maladies rénales, n'est pas causé par une infection. Il est lui-même un facteur provoquant leur apparition. Les causes du prolapsus peuvent être des facteurs purement physiologiques :

  • prise ou perte de poids soudaine ;
  • blessure aux organes de l'extérieur;
  • grossesse et accouchement;
  • activité physique intense.

Au premier des trois stades de la néphroptose, aucun symptôme significatif n’est généralement observé. Le patient commence à ressentir une douleur lancinante et lancinante dans la région des reins. La douleur disparaît le plus souvent en étant allongé sur le dos. Au deuxième stade de la maladie, lorsque le rein descend deux vertèbres plus bas, la douleur s'intensifie. Au troisième stade, le rein descend trois vertèbres, sa partie inférieure est déjà au niveau du bassin. La douleur ne disparaît pratiquement pas, le patient développe un malaise sévère, des maux de tête, des nausées et des vomissements.

Si la maladie est reconnue au stade initial, le problème peut être résolu par des méthodes douces : port d'un pansement et physiothérapie. Si l'effet de la thérapie par l'exercice n'est pas observé et que la maladie progresse, une intervention chirurgicale est réalisée. Le rein est remis à sa place et sécurisé pour éviter les rechutes.

Tableau clinique de l'hydronéphrose

Avec l'hydronéphrose, le processus d'écoulement de l'urine est perturbé, ce qui entraîne un étirement des calices et du bassin du système rénal. Les jeunes femmes, de 20 à 40 ans, sont plus sensibles à la maladie.

La cause d'une altération de l'excrétion de l'urine par les reins peut être un blocage des canaux : calculs, polypes, prolapsus rénal. Elle se manifeste par des douleurs dans le bas du dos, une forte fièvre, des vomissements et des nausées. En cas de complications, une rupture du bassin et un écoulement d'urine dans la zone péritonéale sont possibles.

La maladie est diagnostiquée à l'aide de méthodes d'échographie et de rayons X. L'objectif principal du traitement conservateur est d'éliminer la cause : un calcul ou une tumeur qui a bloqué l'uretère. L'opération chirurgicale comprend l'ablation de la partie rétrécie du canal et la chirurgie plastique du système pyélocalicien étiré.

La prévention de tout type de maladie rénale implique avant tout une attention particulière aux signaux que nous envoie le corps. Vous devez éviter l'hypothermie, mener une vie saine et guérir rapidement toutes les infections de la région génitale et de la vessie. Et si la maladie s'est déjà déclarée, il est alors impératif de contacter immédiatement un urologue.

Reins humains est un organe qui fournit processus de sélection. Par conséquent, s'il y a le moindre changement dans le processus de leur fonctionnement, on peut parler d'une maladie en développement.

Toute maladie rénale chez les enfants et les adultes au cours du développement se manifeste par des symptômes prononcés. Les symptômes les plus courants de la maladie rénale sont changement dans la quantité d'urine excrétée, ainsi qu'elle couleurs, composition. Une personne ressent constamment une douleur dans la région lombaire. Toutes ces affections se manifestent sous l'influence d'agents pathogènes ainsi que de substances toxiques. Parfois, la raison est aussi réactions allergiques . Le traitement des maladies des reins et des voies urinaires n'est effectué qu'après que le médecin ait clairement déterminé la cause de la maladie. Le pronostic est déterminé en fonction de la gravité des symptômes et de l'évolution de la maladie. Souvent, à condition qu'une personne reçoive une aide adéquate à temps et suive également un régime pour les maladies rénales, la maladie est complètement guérie. Mais dans certains cas, cela peut se développer insuffisance rénale . Par conséquent, au moindre soupçon de développement d'une pathologie, le patient doit absolument consulter un médecin.

Causes des maladies rénales

Quand on parle de maladies rénales, on entend un groupe assez large de pathologies dont le développement endommage progressivement le tissu rénal. Les causes de ces maladies peuvent avoir diverses influences. Un certain nombre de maladies se développent à la suite de l'impact d'une infection sur le corps humain, et cela peut être soit bactérien , donc viral défaite. Un débit urinaire altéré affecte négativement la fonction rénale. Des formations telles que des tumeurs et des kystes peuvent provoquer une altération de la fonction rénale. De plus, les causes de la maladie rénale peuvent être des troubles métaboliques, des lésions auto-immunes de l'organisme, des anomalies congénitales du développement et une diminution de l'activité fonctionnelle du parenchyme. Le fonctionnement normal des reins est également affecté par les calculs qui s'y forment parfois.

Symptômes de la maladie rénale

Tous les symptômes de la maladie rénale sont divisés en sont communs Et caractéristique . Les symptômes généraux sont difficiles à attribuer spécifiquement aux pathologies rénales. Si une personne pense que ses reins lui font mal, ce signe et d'autres doivent faire l'objet d'une attention particulière. Si vos reins vous font mal, les symptômes peuvent indiquer d’autres maladies. Des informations sur la nature de tous les signes inquiétants, ainsi qu'une description détaillée de la douleur aux reins, doivent être soumises au médecin.

En règle générale, la maladie rénale se manifeste par des symptômes courants. Lorsque la maladie se développe pour la première fois, le patient ressent un léger frisson et un certain inconfort général, ce qui le fait se sentir dépassé. Mais le problème est souvent que de tels signes sont caractéristiques de l'apparition d'un rhume et que de fortes douleurs rénales n'apparaissent pas immédiatement. Parfois, à ce stade de la maladie, il suffit de prendre les mesures les plus simples pour empêcher une nouvelle progression de la maladie : se réchauffer les pieds, prendre une boisson chaude.

Mais si une personne ignore les premiers signes de la maladie, les symptômes continuent de s’aggraver. Le patient commence à avoir de la fièvre et sa température augmente. Peu à peu, le bas du dos et le dos commencent à faire mal. Selon le rein touché - droit ou gauche - vous pouvez ressentir des douleurs dans une certaine zone du bas du dos. Plus rarement, les douleurs lombaires surviennent des deux côtés. De plus, les symptômes courants incluent une augmentation de la pression artérielle.

Lorsqu'il réfléchit à ce qu'il doit faire dans une telle situation, le patient doit se rendre compte qu'à ce stade du développement de la maladie, le traitement doit être prescrit par un médecin.

Les symptômes typiques comprennent gonflement , apparaissant à la fois sur le visage, dans le contour des yeux et sur tout le corps. Ce dernier phénomène est plus fréquent chez les personnes obèses. En outre, un œdème apparaît souvent chez les femmes souffrant de problèmes rénaux. Dans ce cas, il est important qu'une femme sache clairement pourquoi le gonflement se produit et que faire s'il ne disparaît pas pendant une longue période.

Les maladies rénales entraînent également des problèmes de miction. Avec le développement d'une certaine maladie, vous pouvez ressentir des douleurs ou des brûlures pendant la miction (mictions très fréquentes), oligurie (miction très peu fréquente). Parfois, il est totalement absent.

Un autre symptôme caractéristique est que le temps est nuageux et que la teinte change considérablement. Il contient souvent des particules de sang.

Si vous présentez l'un des symptômes de maladie rénale décrits ci-dessus, vous devez immédiatement contacter un spécialiste qui vous aidera à établir la cause de la maladie et à établir le diagnostic. L'automédication, notamment avec l'utilisation de médicaments, peut entraîner une grave détérioration de l'état.

Maladies rénales héréditaires et chroniques

Il arrive que les symptômes d'une maladie rénale chez les enfants apparaissent presque après la naissance. Dans ce cas, il faut soupçonner la présence héréditaire maladies. Dans ce cas, tout au long de la vie d’une personne, il est important d’éviter les rechutes de la maladie, ce qui est facilité par une approche correcte de la prévention. Un mode de vie actif et une consommation suffisante de vitamines sont importants. Mais avec le développement d'une forme grave de l'une des maladies, une prescription périodique de médicaments devient nécessaire.

Les maladies rénales chroniques chez les enfants et les adultes apparaissent comme le résultat d'une approche incorrecte du traitement de la forme aiguë de la maladie. Si une personne ne demande pas d’aide après avoir ressenti des symptômes de maladie rénale, elle développera au fil du temps une forme chronique de la maladie. Pour garantir que toute maladie rénale, ou infection urinaire ne sont pas devenus chroniques; tout d'abord, un traitement adéquat et correct est nécessaire immédiatement après l'apparition des premiers signes de maladie rénale.

Examinons de plus près les maladies des reins et des voies urinaires les plus courantes.

Glomérulonéphrite

Il s’agit d’une maladie de nature inflammatoire et auto-immune. Lorsque les glomérules et les tubules rénaux sont endommagés. La maladie peut se développer indépendamment ou accompagner d'autres affections. La cause la plus fréquente de cette maladie rénale est infection streptococcique , dans des cas plus rares, il se développe en arrière-plan, paludisme . En outre, la cause de la maladie est parfois l'hypothermie et l'influence de substances toxiques.

Souligner épicé , subaigu Et chronique glomérulonéphrite. Dans la forme aiguë, le patient est gêné par des douleurs dans les reins, un gonflement du contour des yeux sur le visage, ainsi qu'un gonflement des membres, des convulsions. hypertension artérielle , des changements dans l'état de l'urine sont observés, la température augmente, les douleurs dans le bas du dos, dans la partie droite ou gauche, augmentent. En règle générale, cette maladie se manifeste chez une personne plusieurs semaines après avoir souffert d'une maladie infectieuse.

Dans la forme chronique, qui se développe dans la plupart des cas à la suite d'une glomérulonéphrite aiguë, les symptômes sont similaires à ceux de la forme aiguë de la maladie. Les médecins soulignent hypertendu , néphrotique , mixte Et latent formes de la maladie.

Le traitement de cette maladie prend beaucoup de temps, parfois le traitement dure plusieurs années. Le patient se voit prescrire un régime, des médicaments antihypertenseurs et diurétiques, ainsi qu'un traitement à long terme par corticostéroïdes. Si nécessaire, d'autres méthodes de traitement sont pratiquées.

Pyélonéphrite

Il s'agit d'une maladie rénale inflammatoire dans laquelle le processus pathologique implique également le calice, le bassinet et le parenchyme rénal. En raison de sa structure anatomique, elle touche le plus souvent les femmes. Le processus inflammatoire peut être provoqué soit par des micro-organismes constamment présents dans le corps humain, soit par une microflore entrant de l'extérieur. Les agents responsables de la maladie sont souvent Protée , staphylocoque , streptocoque , . Parfois, la maladie se manifeste par l'action de plusieurs agents pathogènes différents à la fois. Mais la pyélonéphrite survient si une personne présente une perturbation de l'écoulement de l'urine du rein, ainsi que des perturbations du flux sanguin et de la circulation lymphatique, et dans ce contexte, l'agent pathogène pénètre dans le corps.

Les médecins définissent trois formes de pyélonéphrite - épicé , chronique , récurrent . La forme aiguë de la maladie se développe à la suite d'une diminution de la pression artérielle, de l'hypothermie, ainsi qu'après l'utilisation de certaines méthodes de recherche instrumentales. La forme chronique résulte souvent d’une inflammation aiguë du rein et d’un manque de traitement approprié.

Le diagnostic est établi sur la base d'une échographie des reins, de radiographies et d'autres méthodes de diagnostic. Au cours du traitement, un large spectre d'action est initialement utilisé, puis, après avoir étudié les résultats d'une étude sur la sensibilité aux médicaments antibactériens, un traitement est effectué avec des antibiotiques ciblés. Des méthodes générales de traitement réparateur sont également pratiquées.

Néphroptose

Maladie de lithiase urinaire

La formation de calculs dans la vessie est due à des troubles métaboliques dans le corps, ainsi qu'à une altération des fonctions des glandes endocrines. L'un des facteurs influençant le processus de formation de calculs est la stagnation de l'urine dans les voies urinaires. De plus, le facteur héréditaire joue dans ce cas un rôle important. Les calculs ont une composition hétérogène - il peut s'agir de phosphates, d'urates, d'oxalates.

Les patients souffrant de calculs rénaux souffrent souvent de coliques néphrétiques, qui provoquent de fortes douleurs. Dans ce cas, vous ne pouvez pas vous soigner vous-même. Les grands principes du traitement sont l'élimination des calculs, ainsi que le traitement de l'inflammation associée aux calculs rénaux.

Caractéristiques du traitement d'autres maladies rénales

Il existe également un certain nombre d'autres maladies rénales qui nécessitent une approche thérapeutique adéquate. Mais dans tous les cas, le traitement rénal doit être effectué en temps opportun, car il existe un risque de complications telles que le cancer du rein, etc. Par conséquent, il est absolument impossible de pratiquer exclusivement un traitement rénal avec des remèdes populaires ou des herbes à la maison.

Pour toute maladie, consulter un médecin est important. Par exemple, si une personne reçoit un seul diagnostic, il suffit dans ce cas de mener une étude annuelle. Le traitement d'un kyste rénal est nécessaire en cas de complications ou de maladie polykystique. Dans ce cas, la chirurgie laparoscopique est majoritairement prescrite à la personne.

Le sable dans les reins, signe de lithiase urinaire, est dû à des troubles métaboliques. Dans ce cas, parallèlement à la prise de médicaments, un traitement avec des méthodes traditionnelles est pratiqué. Cependant, comme le traitement des calculs rénaux, il doit être réalisé sous la surveillance d’un médecin.

Le traitement médicamenteux des maladies rénales est pratiqué pour la plupart des affections. Cependant, si une personne reçoit un diagnostic d'hydronéphrose, d'inflammation, de prolapsus rénal ou d'autres affections, les antibiotiques et les médicaments appartenant à d'autres groupes sont sélectionnés exclusivement individuellement. Il est également important de prendre en compte le fait que le traitement de ces maladies pendant la grossesse doit être aussi doux que possible. Il est conseillé aux femmes sujettes aux maladies rénales de suivre un régime pendant la grossesse, en consommant le moins d'aliments épicés et de sel possible.

Infection urinaire

Infection urinaire est de nature bactérienne. Au cours de son développement, une infection du système urinaire se produit. Dans la plupart des cas, la maladie survient suite à l'ingestion de coli . Une fois dans les urines, les bactéries se multiplient et provoquent une infection des voies urinaires.

L'infection des voies urinaires chez les enfants et les adultes se manifeste par un certain nombre de symptômes caractéristiques. Tout d'abord, il s'agit d'une urine trouble et de l'apparition d'une odeur désagréable. Il peut y avoir du sang dans les urines. Une personne ressent un besoin très fréquent d'uriner et, ce faisant, ressent une douleur et un inconfort sévère. Les symptômes de la maladie peuvent également inclure un malaise général, des douleurs abdominales et pelviennes. Lorsque les voies urinaires supérieures sont infectées, une personne peut souffrir de nausées, de vomissements et de diarrhée. Dans ce cas, il est important de traiter non pas les symptômes, mais la maladie elle-même.

Les femmes sont plus susceptibles de souffrir d’infections des voies urinaires car leur urètre est plus court que celui du sexe fort. De plus, il est plus proche de l’anus, ce qui augmente le risque d’infection.

L’infection touche plus souvent les femmes sexuellement actives, ainsi que les femmes ménopausées. De plus, l'infection touche les personnes atteintes d'une maladie rénale et de certaines maladies chroniques qui affaiblissent les défenses de l'organisme.

Les types d’infections des voies urinaires sont (infection de la vessie) (infection urétrale).

Pour diagnostiquer les infections des voies urinaires, il est nécessaire d'effectuer un test d'urine, une cytoscopie et d'autres méthodes de recherche.

Le choix de la méthode de traitement dépend directement du type d'infection - voies urinaires supérieures ou inférieures - diagnostiquée chez le patient.

Si le patient présente une infection des voies urinaires inférieures, le traitement peut être effectué à domicile. Dans les cas graves d'infection des voies supérieures, le patient est hospitalisé. Pendant le processus de traitement, des antibiotiques, des analgésiques et d’autres médicaments et méthodes sont utilisés selon les recommandations d’un médecin. Les rechutes de la maladie sont souvent observées comme complications de la maladie.

Les reins sont un organe humain interne apparié qui a pour fonction de pomper l’urine dans le corps. Cet article parlera des caractéristiques des symptômes et du traitement des maladies rénales, ainsi que des causes de ces affections.

Les maladies rénales chez les hommes et les femmes s'accompagnent généralement des symptômes caractéristiques suivants :

  1. Augmentation de la quantité totale d'urine excrétée.
  2. Sensations douloureuses.
  3. L'apparition de sang dans les urines.
  4. Œdème.
  5. Augmentation de la température.
  6. La tension artérielle augmente.
  7. Détérioration systémique générale du bien-être du patient.

Examinons chacun de ces symptômes plus en détail.

Polyurie

Une augmentation de la quantité d'urine excrétée ou une polyurie indique généralement une altération de la fonction rénale et de graves lésions de leurs tissus. De plus, un tel symptôme peut indiquer à la fois des maladies aiguës et chroniques de cet organe apparié.

Important! Lorsque la polyurie se développe chez une personne la nuit, cette condition peut indiquer le développement d'une insuffisance rénale. Dans le même temps, pour confirmer le diagnostic, le patient doit diagnostiquer la créatinine ainsi que la présence d'urée dans le plasma sanguin.

Douleur

L'apparition de douleurs dans les reins, le bas-ventre, ainsi que des douleurs lors de la miction indiquent dans la plupart des cas la progression d'un processus infectieux aigu dans le système urinaire. Ces maladies peuvent être une cystite ou une urétrite. Moins souvent, un tel signe indique une tuberculose rénale ou une hypothermie, qui a entraîné des complications dans ces organes.

La nature de la douleur elle-même peut être différente : coup de couteau, brûlure, douleur, pincement. Cela dépend de la maladie spécifique qui a frappé la personne.

Important! Une douleur au niveau des reins est un signe grave et si elle survient, il est recommandé de consulter un médecin le plus rapidement possible. Il ne faut surtout pas retarder votre visite chez un spécialiste si vous détectez du sang dans vos urines.

Changement de couleur de l'urine

Un changement de couleur de l'urine est généralement observé avec la pyélonéphrite, accompagné d'une inflammation aiguë. En outre, un tel signe peut indiquer une exacerbation d'une insuffisance rénale chronique ou d'un infarctus rénal.

En général, un changement de couleur de l'urine est un signe clair d'un dysfonctionnement général de l'organe, qui peut indiquer le développement de diverses maladies. C'est pourquoi, lorsqu'elle apparaît, une personne doit subir un test d'urine général afin d'identifier la cause profonde de la maladie et de sélectionner le traitement approprié.

Hématurie

L'hématurie ou l'apparition de sang dans les urines survient généralement avec une lithiase urinaire ou une glomérulonéphrite chronique. Dans le même temps, même une petite quantité de sang dans les urines indique un possible saignement rénal, qui nécessite un traitement médicamenteux immédiat.

Douleur dans le bas du dos

Les douleurs dans la région lombaire peuvent être le signe de diverses pathologies rénales. La nature de la douleur dans cette condition sera sourde, s'intensifiant avec le mouvement et l'activité physique.

Si la douleur dans le bas du dos survient en position verticale du corps et diminue en position couchée, cela peut être un symptôme clair de prolapsus rénal.

Augmentation de la température

Une augmentation de la température corporelle en elle-même ne peut pas être un signe direct d'une maladie rénale, mais elle peut indiquer un processus inflammatoire à l'origine de la maladie du système rénal.

Important! Dans certaines maladies rénales aiguës, qui s'accompagnent d'une intoxication grave du corps et d'une infection, une personne peut souffrir d'une température et d'une fièvre très élevées, difficiles à éliminer avec les médicaments antipyrétiques conventionnels.

Augmentation de la tension artérielle

Tout le monde ne sait pas que l’hypertension artérielle peut parfois être causée par une maladie rénale. C'est pourquoi, lorsqu'un tel signe apparaît, il est nécessaire de procéder à un diagnostic approfondi du fonctionnement de ces organes.

Œdème

L’enflure est le signe le plus courant d’un problème rénal. Dans cette condition, une personne peut présenter un gonflement des membres inférieurs et des bras, qui sera plus visible le matin.

Il existe également des poches sous les yeux, qui peuvent également apparaître en raison d'un gonflement.

Ce phénomène indique une insuffisance rénale (lorsque les organes ne sont pas capables de traiter correctement une quantité suffisante de liquide dans le corps).

Dysfonctionnement urinaire

Une miction altérée peut se manifester par une envie fréquente d'uriner, une diminution de la quantité d'urine et une interruption du processus de miction.

Important! Ce symptôme n’indique pas toujours une maladie rénale. Cela peut également indiquer des pathologies du système génito-urinaire humain, vous devez donc être extrêmement prudent lors du diagnostic.

Détérioration clinique générale

En cas de maladie rénale grave, la santé globale d’une personne peut se détériorer considérablement. Ceci est justifié par une intoxication grave du corps, à cause de laquelle le patient peut ressentir les symptômes suivants :

  1. Pâleur.
  2. Trouble du sommeil.
  3. C'est l'heure de l'appétit.
  4. Maux de tête et douleurs musculaires.
  5. Irritabilité.

Maladies rénales

On distingue les maladies rénales suivantes, qui sont observées le plus souvent et s'accompagnent de symptômes caractéristiques :

  1. Glomérulonéphrite.
  2. Pyélonéphrite.
  3. Pathologies oncologiques.
  4. Maladie de lithiase urinaire.
  5. Néphroptose.
  6. Insuffisance rénale.

Examinons plus en détail ces maladies, leurs symptômes et leur traitement.

Glomérulonéphrite

La glomérulonéphrite est une maladie inflammatoire caractérisée par de graves lésions des canaux rénaux. Cette pathologie peut se développer soit dans le contexte d'autres maladies, soit être indépendante. Elle est généralement causée par une infection streptococcique.

Les symptômes de cette maladie comprennent des douleurs dans le bas du dos, un changement de couleur de l'urine, une augmentation de la température corporelle et une pâleur.

Aussi, selon la forme de cette maladie, elle peut s'accompagner de coups de bélier.

Le traitement de cette maladie est généralement à long terme. Cela implique la prise de diurétiques et de corticoïdes. L'alimentation est également une condition préalable à la thérapie.

Pyélonéphrite

La pyélonéphrite est une maladie aiguë ou chronique qui endommage la majeure partie du rein en tant qu'organe interne (parenchyme, bassin et autres parties de l'organe). Le plus souvent, cette pathologie est détectée chez les femmes, car en raison des particularités de leur structure anatomique, elles y sont les plus sensibles.

La cause de cette maladie peut être E. coli, le streptocoque ou d'autres agents pathogènes. Elle est également souvent causée par une hypothermie, une diminution de l’immunité ou une infection.

Afin d'identifier la pyélonéphrite, le patient doit subir une échographie des reins, des radiographies et un test sanguin et urinaire général.

Le traitement de la pyélonéphrite passe par la prescription d'antibiotiques et d'anti-inflammatoires. Un traitement complémentaire est symptomatique (des antipyrétiques sont utilisés pour les températures élevées, des analgésiques pour la douleur, etc.).

Pathologies oncologiques

Maladie rénale oncologique (tumeur) et kyste. Ces maladies graves peuvent s'accompagner de douleurs douloureuses dans le bas du dos, d'un gonflement, de fièvre et de sang dans les urines. Dans le même temps, ces pathologies peuvent parfois ne pas se manifester du tout pendant une longue période, elles sont donc détectées dans un état plutôt avancé.

Le diagnostic de ces maladies implique une échographie, des analyses générales de sang et d'urine et une tomodensitométrie.

Le traitement dépend de la maladie spécifique identifiée et de sa gravité. Dans tous les cas, le traitement doit avoir lieu exclusivement en milieu hospitalier sous la surveillance d'un médecin.

Maladie de lithiase urinaire

La lithiase urinaire se manifeste généralement sous la forme de coliques néphrétiques aiguës, qui empêchent une personne de dormir, de s'allonger et même de bouger. Dans cet état, le patient ne pourra pas se reposer, car il sera constamment tourmenté par une douleur intense, une forte fièvre et une sensation de brûlure pendant la miction.

En outre, la lithiase urinaire, lors du passage des calculs, peut se manifester sous forme de sang dans les urines.

Le traitement de cette pathologie est généralement à long terme. Cela dépend en grande partie du nombre et de la taille des pierres formées. La thérapie dans ce cas peut être médicinale et. La dernière option de traitement est utilisée pour la formation de gros calculs et la négligence générale de l’état de la personne. Si les calculs n'ont pas atteint des tailles critiques, un broyage non chirurgical est possible - en utilisant ou.

Néphroptose

La néphroptose est une pathologie qui s'accompagne d'une mobilité accrue du rein et de sa descente ultérieure. En raison des caractéristiques anatomiques, les femmes sont le plus souvent sensibles à cette maladie.

La néphroptose peut survenir en raison d’une perte de poids soudaine, de blessures antérieures ou d’une activité physique excessive.

Les symptômes de cette maladie comprennent une douleur intense, une forte fièvre et un gonflement. Le traitement de la maladie dépend de sa négligence. Cela peut être médicinal, chirurgical ou populaire (en utilisant des décoctions de plantes).

Insuffisance rénale

L'insuffisance rénale est une maladie dans laquelle ces organes perdent partiellement leurs fonctions. Ceci, à son tour, entraîne un déséquilibre de l’équilibre hydrique du corps, des douleurs, un gonflement et une inflammation des reins eux-mêmes.

L'insuffisance rénale est traitée par un traitement médicamenteux à long terme visant à restaurer le fonctionnement de ces organes.

L'un des facteurs importants qui contribuent à réduire la charge sur les reins est.

Anton Palaznikov

Gastro-entérologue, thérapeute

Expérience professionnelle de plus de 7 ans.

Compétences professionnelles: diagnostic et traitement des maladies du tractus gastro-intestinal et du système biliaire.